Violences, blessés et chaos dès la 2e journée de Ligue 1 : Où est passée la Ligue sénégalaise de football professionnel ?
Barely two matchdays played and already scenes unworthy of a so-called professional championship. The Ouakam-Jaraaf match, eagerly anticipated for its sporting interest, turned into a nightmare: journalists, supporters and players on the ground, some unconscious, others injured.
The pitch at Ngor Stadium was transformed into a battlefield. At the final whistle, clashes erupted: insults, stones thrown, tear gas… total chaos. Even the players weren't spared. Adama Wade and Moussa Diallo of Jaraaf were affected by tear gas, requiring the swift intervention of emergency services.
How can we already be talking about violence, injuries, and fainting spells in the second matchday of Ligue 1? Where were the security measures? Where was the Senegalese Professional Football League (LSFP) in all of this? Its deafening silence speaks volumes.
Every season, the same scenes repeat themselves, the same post-match speeches promise sanctions, but nothing changes. The stadiums empty of passion, replaced by fear. Senegalese football deserves better than these excesses that tarnish its image and endanger those who keep it alive. It is urgent that the league take responsibility. Enough is enough!




Commentaires (12)
Le jaraaf a chaque fois qu'il perd c'est comme toujours il y'a violences
Dans les quartiers et villages lébous en général, les matchs de football sont des occasions pour se faire la guerre et pour se battre. C'est dans leur ADN. Les sages doivent parler aux jeunes. Le football est un jeu, une passion qui est sensé unir les gens mais pas pour créer des ennemis.
Gnoy togn ta dou moudiè féne kw
Jaraff ne digéré pas la défaite
Jaraff mi n’est jamais sanctionné
2 buts indiscutables refusés
L'ASC Jaraaf privilégiée
Les supporters de Ouakam sont venus jubiler, je dis bien jubiler en descendant sur le terrain et c'est ainsi que ceux du Jaraaf ont commencé des jets de pierre car sur la pelouse il n'y nullement de pierre qui leur ont été renvoyé et juste un moment que les forces de l'ordre ont tiré des lacrymogènes pour disperser la foule
Les vidéos sont témoins de la scène
Hier plus de 10 organes de presse ont été contactés pour matraquer contre ouakam.
Et bizarrement aucun blessé grave, aucun bus cassé, aucun arbitre violente.
Combien ces organes de presse ont reçu pour orienter le discredit sur ouakam qui ces 8 dernières années depuis les malheureux incidents de demba diop n'a jamais été épinglé.
Le jaraaf a casse le bus de pikine, tfc, gfc et hlm la semaine dernière et rien ne se passe depuis.
Le jaraaf battu c'est l'argent qui parle toujours.
C'est 1 premier test grandeur nature pour babacar Ndiaye qui on espère arretera definitely la furie du jaraaf et sa puissance financière.
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