Fibre optique et data centers : le défi de l’équité numérique
The development of digital infrastructure in Senegal relies on massive investments in submarine cables, data centers, and broadband networks. These investments are essential to connecting the country to the global economy and supporting the emergence of a competitive digital ecosystem.
The financing of these projects combines public capital, sovereign wealth funds, regional development banks and international private partners.
Public-private partnerships are often preferred, but their structuring remains complex, requiring financial guarantees, revenue-sharing agreements and stable regulatory frameworks.
Geographic coverage remains uneven, with infrastructure concentrated in large urban areas such as Dakar, Thiès and Saint-Louis.
In rural areas, fiber optic penetration remains low, and few villages have regular access to broadband. This disparity creates a persistent digital divide that limits access to digital services, online commerce platforms, and distance education.
To reduce these disparities and optimize investments, the government is focusing on national coordination, regulatory harmonization, and support for local innovation. Strengthening the capacities of private and public stakeholders, as well as attracting concessional financing, could improve the efficiency of deployment and allow the entire country to benefit from the digital revolution.
Commentaires (2)
Depuis plus d' un an, nous courons derriere l'agence d'ORANGE de thiés ville pour une connexion internet par fibre et pourtant tout juste chez moi à peine 300m, il ya une maison qui a une connexion fibre. Nous sommes à keur issa dans les nouvelles habitations à peine 1km de la route principale de keur issa qui traverse la pharmacie MAME ASTA . Le seul alibi qu'ils ont: nous n'avons pas de poteaux, nous allons vous appeler. Nous nous tendons vers une concertation pour évaluer le besoin afin de signer une pétition et l'envoyer aux autorités compétentes( ORANGE ET ARTP)
l'ARTP: garantir l'accès au service universel, et de promouvoir l'innovation, la sécurité et les droits des consommateurs. Ces agences établissent les règles, tranchent les différends et veillent à l'application des politiques publiques pour le bon fonctionnement de l'économie numérique.
Ce qui est bizarre au Sénégal est que les noms Câbles sous-marins, Data centers réseaux Haut Débit. Fibre optique etc sont galvaudés et dénués de leurs sens réel et se traduit sur le terrain à la médiocrité et la stagnation technique à la place du progrès. Si on parle de CÂBLES SOUS -MARINS on fait référence à l'acquisition d'une grande capacité en BANDE PASSANTE qui est la ressource en matière d'internet qui si elle est insuffisante sa rareté se traduit par des offres d'abonnement à des débits dérisoires et faibles et une grande latence des connexions. Comme en faite c'est le cas chez nous où l'internet en 2025 a des débits faibles de 10 Mbps voir 20 Mbps par seconde comme jadis il fut possible il y'a deux décennies avec l'obsolète ADSL en câble en cuivre techniquement limité à ces vitesses. La FIBRE OPTIQUE existe et a été adoptée comme étant un progrès technologique en ce sens qu'elle permet de transporter les données sur un efiltre de verre avec la résilience du verre aux intempéries des débits ( vitesse par seconde) supérieurs de plusieurs Gigabits par seconde ( 1 Gbps/s = 1000 Mbps/s) resultant sur des offres d'abonnement domestiques en Gigabits , dans le reste du monde le 1 Gbps/s est devenu le standard soit 100 fois plus que les 10 Mbps par seconde standard de chez nous. Alors nous parler de HAUT-DÉBITS dans un environnement pareil c'est pas loin de nous manquez de respect.
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