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Telecoms in Senegal: the State wants to review the rules of the game

Auteur: AÏcha Fall

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Télécoms au Sénégal : l’État veut revoir les règles du jeu

The economic and financial report accompanying the 2026 finance bill mentions the revision of the Sonatel and Expresso concession agreements, a decision that marks a turning point in the regulation of the telecommunications sector in Senegal.

This measure reflects the State's desire to clarify certain contractual grey areas, improve transparency and consolidate its economic sovereignty in a strategic area.

However, this initiative could revive tensions with incumbent operators, whose investments support a significant part of the national digital economy.

The challenge will be to find a balance between compliance requirements, maintaining the attractiveness of the sector and preserving a stable business climate.

In this context, the success of this review will also depend on the authorities' ability to establish a constructive dialogue with the stakeholders concerned, while ensuring that regulation serves the national interest without discouraging innovation and future investment.

Auteur: AÏcha Fall
Publié le: Lundi 20 Octobre 2025

Commentaires (9)

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    L'enseignant en vacances il y a 1 jour

    Ils sen fichent des règles du jeu. L'état veut plus de jus rek. La connectivité l'accessibilité et la réduction de la fracture numérique ne sont pas leurs soucis.

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    Orange dehors il y a 23 heures

    Il faut reprendre notre souveraineté sur les télécommunications, la SONATEL était très bien gérée pourquoi avoir ouvert la porte à Orange ?

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    Darkpenguin il y a 23 heures

    Au Sénégal au delà du cadre réglementaire à revoir, il y'a des manquements dans le paysage des télécoms qu'ils faut corriger. L'urgence principale est l'augmentation de la ressource en Bande passante, qui est l'essentiel en matière de réseaux. Le problème dans ce pays les opérateurs fournisseurs d'accès propriétaire des infrastructures concurrencent les autres acteurs du monde des finances numérique en faussent l'écosystème du Fintech sénégalais: Banking, Transfert d'argent etc dont les acteurs sont tous leurs clients, l'état doit les obliger à revenir et se confiner à leurs rôles de FIA pour ne pas fausser la concurrence dans l'écosystème numérique.
    Au Sénégal contrairement au reste du monde les débits offerts à l'abonnement fibre optique, le réseau backbone qui compose les bases de la structure des infrastructures numérique nerfs de l'économie moderne sont dérisoires, faibles et ridicules une dizaine voir deux ou trois dizaines en Megabits par secondes à la place de la norme mondiale qui est désormais au minimum le GIGABITS par seconde ( 1 Gbps/s=1000 Mbps/s). La qualité et les performances d'un réseau s'apprécient par sa capacité à convoyer le MAXIMUM DE DONNÉES PAR SECONDE comme le serait pour un autoroute où les voitures se mettraient en queue dans des embouteillage avec un chaussé d'une dizaine de mètres de large comparée une autre autoroute de plusieurs voies par sens et chaque assez larg.
    En Outre aussi un autre aspect qui mérite d'être signalé il faut parler du scandale de la pénétration de l'internet en milieu rural et de la couverture totale du territoire où c'est réseau sans 3G et 4G avec ses Pass qui font la loi voir le vide en périphérie plus éloignée dans les zones centre et frontalière qui sont sans solution obligées d'innover et on voit apparaître et se développer un nouveau phénomène avec l'arrivée de KIT STARLINK alimentés au solaire ou batteries de voitures avec l'ouverture des pays des Etats du Sahel Mali Burkina et Niger qui ont autorisé l'opérateur internet satellitaire d'exercer. Les kits Starlink sont achetés dans ces pays voisins dans nos zones frontalières où les populations sans alternatives locales sont obligées de s’y rabattre on commence alors à les voir chez nous dans ces zones. Plus fiables et rapides en connexion les débits voisinent les 200 Mbps/s et les abonnements autour 20000 f cfa sont facilement payés en cotisations en établissement d’un réseau local entre maisons ce qu’Orange SN refuse ici ou par les cyber points de connexion où les populations se regroupent et les taxes et TVA y afférente payés avec les abonnements sont aux profits de ces états voisins de la sous région une perte de l'état du Sénégal qui devait être le premier à offrir cette solution satellitaire qui au delà de trouver une solution durable pour couverture totale du territoire, les zones éloignées du centre etc serait une alternative sécuritaire de notre INDÉPENDANCE et notre souveraineté numérique avec la multiplication des sources d'accès aux autoroutes internationales de la communication du réseau mondial.

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    Elon il y a 23 heures

    Starlink

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    Anta Fall il y a 23 heures

    Il y'a une standardisation de faite dans le monde des infrastructures de télécommunications, les réseaux sont tous les mêmes de pays en pays Hardware comme Software, matériels comme logiciels achetés en Chine chez les équipementiers Huawei, ZTE, Nokia, Ericsson qui envoient leurs ingénieurs pour les maintenir par des multinationales de télécoms pour venir les exploiter de manière commerciale dans nos pays . Les erreurs de nos pays sont de s'être laisser pris en otages par des intermédiaires qui ne sont rien d'autres que de simples firmes commerciales qui n'ont rien de technologique malgré qu'ils s'en réclament à tort et qui ne suivent que leurs intérêts exclusivement mercantiles.

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    amicale des guenons il y a 23 heures

    les golos bavent sur tout

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    Ramatoulaye Ndiaye il y a 22 heures

    À travers ces mesures qui concernent le secteur des télécommunications, quelque chose de grandiose transparaît au delà de des raisons données. C'est qu'il y’a une avancée manifeste de la reprise en main de l'autorité de l'état et le retour effectif des leviers du pouvoir de gouvernance de la république exclusivement dans les mains de ses élus les seuls dépositaires de la souveraineté par la volonté populaire. Désormais ce sont ceux désignés par le peuple Sénégalais qui décident de notre destinée. Il ne fesait l'ombre d'un doute et ce n’était pas un secret que quant il venait des mesures à prendre sur le secteur des télécommunications, la multinationale française des télécom Orange avait les initiatives, toute la main mise sur les contours et rédigeait les mesures à prendre à la lettre près des décisions dont il devait se soumettre. Il faut se souvenir de la réponse humiliante donner aux injonctions de l'ancien président Sall quant il demandait un retour aux tarifs précédents où en période de Covid-19 en plein couvre feu les tarifs de connexion avaient été brutalement augmentés.... Cette perte de l'autorité avait contribué à d'énormes pertes de recettes pour l'état, les exemples foisonnent pour ne citer que l'annulation des Appels Entrant et l'abandonne de la majoration de l'unité d'appel par un pourcentage au profit du trésor. Pour les populations la liberté de prises de décisions sur ses activités par l'opérateur avait résulté sur des blocages pour adopter et l'appropriation de l'économie numérique et ça duré pendant plus d'une décennie avec une situation où le paiement numérique était économiquement non rentable perturbant toutes les économies de chaîne en avale qui s'en suivent dans des secteurs divers .Avec les tarifs exorbitants d'OM d'alors où pour 5000f il fallait payer 500f soit 10% pour le simple fait de transférer de l'argent d'un compte client à un autre pour un envoi ou un paiement et cela au-delà des taux d'intérêts fixés par la BCEAO à l'époque pour les emprunts dans les institutions financières, heureusement l'arrivée de WAVE avec ses 1%y metta fin et ainsi les opportunités du commerce et autres services en ligne explosèrent.

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    Ðu vrai il y a 22 heures

    En tous cas le reseau d'orange est trop faible a Dakar, je ne depasse jamais 2 barres. Je n'ose pas imaginer pour les zones reculées. Orange et Senelec = Doyna war

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    les 3 I A il y a 22 heures

    les 3 I A ( Inspecteurs des impôts incultes et analphabètes)vont presser les entreprises comme du citron pour obtenir le financement de leur bamboula . Mais les crétins risquent de tuer la poule aux œufs d'or

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    Mbaye il y a 20 heures

    C'est quoi l'alternative que vous proposez comme vous acceptez que des structures étrangères dans ce pays qui respectent pas leurs devoir envers les impôts peuvent être laissées tranquille

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