Service numérique : Le Sénégal veut devenir le leader en Afrique
This report, which highlights the country's impressive progress, indicates that this digital expansion could open new doors in various sectors such as education, health, finance and agriculture, thus offering new opportunities for Senegalese people and the region as a whole.
Senegal now has only one ambition: to become the African leader in the digital sector. This was announced at the summit by Brelotte Ba, CEO of Sonatel.
“Digital technology is an important industry, not only because it contributes significantly to investment in a country, to land development, to training and to employment, but it is even more crucial as a catalyst for development. Today, it is clear that without digital technology, no substantial development is possible, whatever the field,” said Brelotte Ba.
"Our ambition is to become number 1 in Africa," added the CEO of Sonatel.
The Digital Africa Summit, held in Dakar, is a forum where leaders in the digital sector meet to exchange ideas and outline the continent's digital future. This 2025 edition aims to strengthen Africa's economic competitiveness and focus on projects that can improve people's lives while integrating digital solutions accessible to all.
Angela Wamola, GSMA's Africa Director, explained that the summit's primary objective is to build an inclusive and sustainable digital future for Africa, within the framework of Senegal's 2050 vision. This vision is based on pillars such as economic competitiveness, the quality of human capital, equity and inclusion.
Commentaires (3)
Excellent
Avec des connexions à 10 Mbps par seconde Ha Ha Ha Thieuw le nègre daye nakh bopam
La colonisation s'est bien finie y'a longtemps. Laissez le reste de l'Afrique tranquille ceux qui sont ici sont aussi là-bas., Orange doit savoir que les africains ensemble regardent comment il tient le réseau numérique français et ses débits, tarifs performances etc et se comparent avec.
Très clair … une très bonne maitrise du sujet
Orange usimple opérateur fournisseur d'accès internet et de téléphonie qui a tord de vouloir s'arroger le numérique du Sénégal, un opérateur qui n'est ni fabricant d'équipements hardware, ni producteur de software, qui est tout simplement un commercial qui se ravitaille en Chine chez les équipementiers de réseaux Huawei, ZTE, Nokia, Ericsson pour tous ses équipements, qu'il vient nous installer chez nous avec des performances bridés à dessein et des tarifs exorbitants les plus chers et les débits de réseaux les plus lents du monde. La fibre optique à la base de l'infrastructure est mal faite: non mutualisée donc non concurrentielle pour que chaque opérateur accède aux abonnés sans démultiplier les installations d'un réseau parallèle, aérien, polluant des câbles qui pendent partout et souvent à terre etc. Un réseau aux débits offerts à l'abonnement le plus lent au monde 10 Mbps par seconde pour la plupart des abonnements à la place du GIGABIT devenu la référence dans le reste du monde. Orange doit être obligé de se limiter dans son rôle commercial de fournisseur d'accès FIA point et ses performances seront appréciées là-bas sur la qualité de ses services et même totalement de la finance numérique FINTECH, de ses formations aux rabais qu’il se glorifie et tout court du débat intellectuel sur le numérique. Il faut aller chez eux en France pour voir comment ils ont si bien fait le réseau français un des meilleurs du monde, là-bas après la mise à la disposition du grand public l'abonnement 2 Gbps/s et du 8 Gbps/s ils sont entrain de passer à la technologie 50G-PON, qui pourrait atteindre 40 Gbit/s pour les abonnés français en intégrant les trois standards PON (2, 8 et 40 Gbit/s) sur une même fibre qui ne nécessitera pas de reprendre l'installation d'un nouveau réseau parce ils ont établi chez eux un réseau solidement bien fait en anticipant sur l'avenir de l'évolution technologique.
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