C’est avec de l’électricité trafiquée que le patron de Satrec Vitalait, Chaikou Haidouz, faisait fonctionner son unité industrielle, nous informe L’Observateur. Une pratique frauduleuse qui a coûté des milliards de FCfa de pertes à la Société nationale d’électricité.
Pris sur le fait, le Libano-sénégalais a été obligé de transiger pour ne pas être traîné devant la justice. Il a payé la coquette somme de trois-cent (300) millions de francs Cfa à la Senelec pour échapper à la prison, informent nos confrères.
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