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Mame Maodo : La grande école (Par Abdoul Aziz Mbaye)

Auteur: Abdoul Aziz MBAYE

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Le monde musulman fête ce mois ci la naissance de la meilleure des créatures. Cependant tous les historiens et intellectuels honnêtes s'accordent au moins sur un fait : C'est grace à Maodo Malick que le Sénégal, l'Afrique et le monde entier célèbrent l'anniversaire de la naissance du prophète Mohamet (PSL).

El hadj Malick sy, depuis la ville sainte de Tivaouane initia cet événement avant de le propager à travers les contrées les plus lointaines du Sénégal et même en Afrique. Aujourd'hui, même les pays arabes jadis récalcitrants pour tout ce qui peut ressembler aux pratiques innovatrices post prophétiques c'est à dire "Bida" ont inséré cet événement dans le calendrier des fêtes musulmanes.

En Europe les fidèles musulmans, particulièrement les tidjanes donnent un cachet particulier en faisant retentir les louanges dédiés au prophète le temps d'une nuit en ces lieux de plus en plus hostiles à l'Islam. Tout ceci pour expliquer la dimension universelle de la mission et du message du Mame Maodo. Avant tout, force est de reconnaître que cet œuvre immense ne peut être le fruit du hasard ou de la fatalité. El Hadj Malick Sy a pensé et élaboré sa stratégie.

Il a mis en place un système de management décentralisé qui allait lui permettre d'envoyer partout ses lieutenants, qui à leur tour vont créer des Daras pour propager la religion à travers la transmission du message prophétique dans son authenticité, ne serait-ce que pour cela il est lui-même une école.

L'ÉCOLE DE MAME MAME MAODO

D'abord pour parler d'école il faut absolument trois éléments un professeur, dès élèves et un enseignement. Dans ce cas précis le maître c'est Maodo lui même, les élèves ce sont les moukhadams et l' enseignement c'est la charria et la Sunna.

Cependant pour comprendre l'œuvre de Maodo, il faut d'abord étudier le contexte de l'époque. La domination coloniale combinée aux croyances païennes allait rendre encore plus difficile la volonté de Maodo de faire des sénégalais des musulmans purs pratiquants, et pourtant c'est à travers une méthode bien réfléchie que le sage de tivaouane déroula son programme de conquête du pouvoir spirituel qui allait avoir raison sur le temporel incarné par l'autorité coloniale. Alors que la résistance armée était écrasée partout en Afrique, Mame Maodo avait très tôt compris qu'il fallait adopter une nouvelle méthode basée fondamentalement sur la connaissance et l'éducation.

En ce sens Mame Maodo va élaborer un plan efficace de resistance passive contre le processus d'assimilation, il s'est lancé à la conquête des idées. L'implantation des universités populaires á Ndiarnè, à Diacksaw et Tivaouane où il enseignait toutes les matières et sciences islamiques lui donne l'occasion de former des milliers de disciples. Il s'opposa à l'éducation coloniale par la généralisation de l'education religieuse. Partout au senegal et en Afrique, les Moukhadams formés à la meilleure des écoles intensifièrent l'œuvre du maitre des maitres en ouvrant chacun dans sa localité un foyer religieux de propagation de la civilisation islamique.

Si le Sénégal arbore fièrement la réputation du pays de la Teranga, Il le doit à Cheikhe Seydi Hadj Malick et à son école qui a su inculquer des valeurs de paix de fraternité de solidarité et de tolérance à ses adeptes. L’école de Maodo a également produit des citoyens nobles et dignes cultivés et ouverts, débarrassés de toutes les formes de fanatisme ou d'extrémisme, ne nourrissant aucun complexe de l'homme blanc.

Les valeurs d'humanisme qui caractérisent les fidèles de la hadara Malikite sont exaltées partout en se sens qu'ils constituent une exception en Afrique. Apres avoir étudié le phénomène religieux au Sénégal, Paul Marty administrateur colonial produit un rapport où il disait à peu près ceci :

"La caractéristique de la Zawiya de Tivaouane, c'est que c'est une véritable université populaire. Elle a réussi a former un nombre considérable de maîtres coraniques qui à leur tour se sont répandus à travers le Senegal et ont formé à leur tour une nouvelle pleiade de maitres qui ont contribué a répandre largement l'enseignement musulman dans tout le Senegal. L'enseignement de El Hadj Malick fut d'abord ambulant, puis fixe à Tivaouane. Maodo est le facteur principal de la diffusion de la science islamique et partant,le plus grand agent de l'islamisation intense du Sénégal Cet orphelin de père faisait partie des saints qui vivaient pour servir la religion et non pour se servir de la religion."

Ce témoignage assez illustrant et objectif par ce que venant d'un auteur à équidistance des clivages sociaux de l'époque devrait certainement aider à clore le débat sur l'existence ou non de l'école de Mame El hadj Malick. Plus qu'une école, une pensée où une philosophie Mame Maodo a crée une civilisation qui a fait de tivaouane la capitale de l'Islam au Senegal et le foyer explosif de la charria et de la Sunna.

La projet idéologique de Mame Maodo est exclusivement basé sur l'amour du prophète Mohamed(PSL). En fait, son plus précieux héritage c'est de nous avoir donné le khilazoul zahab car l'objectif principal est de s'oublier pour montrer le modèle parfait qu'est le prophète par ce que pour lui celui qui connait le prophète l'aimera et celui qui aime le prophète en fera son modèle et celui qui en fera son modèle sera une âme sauvée par la grâce du tout puissant,Allah soubhana wa taAllah.

Dieuredieuf Ndiol FAMA de nous avoir abreuvé à la source intarissable qu'est Ndiol MACCA Yalnagnou YaAllah fayale Mame Maodo.

ABDOUL AZIZ MBAYE

ANALYSTE CONSULTANT

Auteur: Abdoul Aziz MBAYE
Publié le: Dimanche 03 Novembre 2019

Commentaires (9)

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    Sop naby il y a 5 ans

    C'est seulement la modestie de maodo si il disait qui est maodo vous allez courrir vers maodo bayilene sokhor vous les mécréants.maodo is the best pour tjr

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    Moussa Niang il y a 5 ans

    Tuoutes mes felecitation smon cher

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    Tes il y a 5 ans

    Texte trop leger et ça se dit consultant analyste. Médiocrité comme c'est devenu de coutume dans ce pays.

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    Neufsou il y a 5 ans


    La science de l'âme

    Voici l’éducation sublime fournie sur le thème de la science de l’âme (‘Ilmou Nafs) par celui qui ne cesse de m’irriguer à travers son enseignement, mon maître, mon guide et mon éducateur, Seïdina Ahmed Tidjani, qu’Allah sanctifie son précieux secret. Le pauvre esclave en Allah, Mohamed El Mansour El Mohieddine Tidjani.

    Sidi ‘Ali Harazim (qu’Allah l’agrée) a dit :

    « J’ai interrogé Seïdina Ahmed Tijani (qu’Allah sanctifie son précieux secret) au sujet de l’âme (Nafs), de l’esprit (Rouh), du cœur (Qalb) et du secret (Sirr). S’agissait-il de noms différents pour un seul nommé ou pour plusieurs ?

    Si on suppose que ces noms ne désignent qu’un seul nommé, alors pourquoi se fatiguer à diversifier les noms ?

    Si on suppose que chacun est dissocié de l’autre, cependant celui à qui s’adresse le Discours Divin est bien l’esprit (Rouh), car c’est lui qui goûte au délice et à la douleur du supplice ? »

    Il nous a clarifié cela de façon convaincante, que la paix soit sur notre maître et notre professeur, ainsi que la miséricorde d’Allah le Très-Haut et sa bénédiction.

    Seïdina Ahmed Tijani (qu’Allah sanctifie son précieux secret) a répondu comme suit :

    « Sache que ces différents noms ne sont en réalité que pour un seul nommé qui n’a pas de pluralité, mais les noms ne sont multiples qu’en fonction du degré de l’esprit (Rouh).

    Ce qui clarifie cela est qu’Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) a créé l’esprit humain de la pure pureté de la Lumière Divine et son établissement provient des hautes nuées Seigneuriales déversées (‘Amma Rabbani) et Il a fait habiter l’esprit à l’emplacement de l’Esprit Vivifiant.

    Là, il ne cesse de connaître parfaitement Allah le Très-Haut, en étant établi dans Son Amour et Son Unicité, connaissant Ses noms et Ses qualités, sans être préoccupé par autre que Lui. Il ne cesse d’être ainsi dans la pureté la plus totale, très éloigné de ce que peut comprendre la raison.

    Puis l’esprit a habité le récipient du corps humain. Le corps s’approprie la vie et la compréhension en fonction de l’établissement de l’esprit en lui. Il existe dans le corps en l’état de « l’esprit nafs » (Rouh Nafs). Il est une vapeur subtile qui contient la force de la vie, de la sensation, du mouvement et de la compréhension.

    Ainsi, le nafs n’existe qu’en tant que définition et non en tant qu’essence puisqu’il se forme à partir de la rencontre de l’esprit avec le corps. Si jamais ils se séparent (l’esprit et le corps) le nafs n’existe plus en tant que nafs qui n’est qu’une vapeur subtile.

    Cette chose qu’on nomme nafs est la source des mauvaises moralités et des vices maladifs tant qu’il impose son autorité sur la personne, car l’esprit est détenu entre ses mains. Il ne se manifeste qu’en vue de l’agrément du nafs dans la perte totale et l’éloignement complet de la Présence Divine. Cela se fait par la force lumineuse de l’esprit qui s’est inversée en raison de son établissement dans les ténèbres du corps.

    Ainsi, l’esprit est souillé par les impuretés et les saletés du corps et il est accaparé par la fonction du nafs corrompu (Nafs Khabitha). Il devint alors un désobéissant à l’ordre d’Allah. C’est le reflet de l’autorité du corps, celui-ci est de source ténébreuse, il provient de l’eau et de l’argile et il est en état de consistance.

    Quant à l’esprit, il est la résultante de la pureté claire de la Lumière Divine dans un état de parfaite pureté et de préciosité. C’est la plus pure des quintessences et la plus élevée. L’esprit a été imprégné des ténèbres dans le monde sensible. Tant qu’il tend vers les désobéissances, les infractions et la poursuite des passions, il se nomme dans cette station : « le nafs qui ordonne le mal »(Nafs El Amara bi sou-i).

    Alors, s’il apparaît en lui les Lumières Divines lui permettant de sortir des caractères de la désobéissance et de l’infraction par l’existence du repentir (Tawba), il commence à se blâmer et à se discréditer à cause de ce qu’il a négligé comme Droits Divins.

    Le nafs commence alors à s’éloigner du mal et à se blâmer pour revenir vers la porte du Généreux bienfaisant, il est alors appelé dans cette station « l’âme qui se blâme » (Nafs Lawwama) car il se blâme de ce qu’il a négligé comme Droits d’Allah le Très-Haut.

    Puis s’il apparaît à l’esprit la Lumière Divine qui la purifie en chassant de lui la densité des péchés qu’on appelle les péchés capitaux (El Kaba-ir), il ne lui reste plus alors que les infractions subtiles et mineures, il s’appelle dans cette station « un cœur » (Qalban). Il a senti l’odeur de la Sainte Présence. Quelquefois il est pris par les Odeurs Sacrées de telle manière qu’il éprouve de la nostalgie pour ce qu’il était lors de sa première existence.

    De temps à autre, il est vaincu par la densité des ténèbres de sa nature acquise lors de son établissement dans le corps, à ce moment-là, il a de la nostalgie pour ses désirs et le suivi de ses passions. C’est parce qu’il est basculé entre ces deux états qu’on l’appelle « cœur ». Il connaît les désirs, les attractions et il a tendance à s’y attacher, c’est pour cette raison qu’on l’appelle dans cette station « cœur », en conséquence de ses changements permanents.

    Ensuite si les Lumières de la Sainte Présence se déversent sur lui, le purifiant complètement de toutes désobéissances lourdes et légères, petites et grandes et qu’ainsi ses pieds s’enracinent dans l’orientation vers Allah et son obéissance, alors son agitation s’apaise.

    On l’appelle à ce degré « le Nafs apaisé » (Nafs Moutma-ina) mais il lui reste une attirance vers autre qu’Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) même si c’est licite et il reste en lui une trace de déviance par rapport à la rectitude ainsi qu’une sorte de préoccupation dans l’arrangement et le choix de ses propres intérêts.

    Ensuite, si les Lumières Divines se déversent sur lui, elles entraînent la destruction de toutes formes de choix et habitudes. Il revient à Allah dépouillé de toute autre chose qu’Allah. À ce moment-là, il s’appelle « Nafs satisfait » (Nafs Radiya) mais il reste en lui la trace des formes qui a été détruite auparavant et ses traces sont semblables à des cicatrices laissées par des plaies après la guérison. Pour cette raison, il est crispé face à la Présence Divine.

    Puis s’il reçoit les lumières de la Sainte Présence, ce qui le conduit au parachèvement de sa pureté, il rompt définitivement avec la trace des illusions et le brouillard des sens, sa connaissance disparaît, son existence s’anéantit. Ce flux, qui est la plus grande lumière, fut exprimé dans la terminologie des Connaissants par « l’Ouverture Suprême » (Fath El A’dham).

    L’esprit se nomme dans cette station « l’âme donnant satisfaction » (Nafs Mardiya) car elle a perdu toute sensibilité et compréhension, il ne lui reste plus ni connaissance, ni image, ni nom, il ne lui reste plus que la contemplation de la Vérité, dans la Vérité, pour la Vérité venant de la Vérité.

    C’est ce qu’on appelle « l’extinction de l’extinction » (Fana-ou-l-Fana). Là, son créateur l’a complètement agrée c’est pour cela qu’on le dénomme « l’âme donnant satisfaction ».

    Puis, s’il reçoit les Lumières de la Sainte Présence, qui induit à l’anéantissement des orientations et l’ébranlement des expressions palpables, il est imprégné par cela extérieurement et intérieurement. Lorsqu’il est irrigué par les Lumières de sa Sainte Présence, il retrouve la pureté originelle dans le degré caché à l’exemple de la lumière du soleil lors de son apparition sur la nuit. Il est appelé dans cette station « caché » (Ikhfa) car il s’est éloigné de la perception de la raison et des pensées compréhensives.

    Après quoi, il est dans une perpétuelle élévation à travers les stations, sans fin, au cours de son existence ici-bas aussi bien que dans le Barzakh que dans l’éternité du Paradis sans que son élévation ne prenne fin ou n’aboutisse.

    À chaque station se révèlent à lui des Attributs d’Allah, Ses Noms, Ses Influx. Ainsi, la station précédente par rapport à celle qui est nouvellement acquise n’est, en proportion, qu’une goutte par rapport à l’océan.

    Par conséquent, à chaque fois qu’il acquiert une station, il reçoit des influx (Fouyoudat), des théophanies (Tajaliyat), des connaissances (Ma’arif), des sciences (‘Ouloum), des secrets (Asrar), des ouvertures (Foutouhat).

    Dans cette phase, il se situe au-dessus de la station « le caché », celle-ci s’appelle « le secret de l’ardeur » (Sirrou Chaddah).

    À la question :

    À qui s’adresse le Discours Divin, est-ce à l’esprit, au nafs ou au corps ?

    La réponse est :

    Celui à qui s’adresse le Discours Divin est bien l’esprit (Rouh) car, comme nous l’avons précisé, il représente le cœur et le Nafs lors de sa progression. Ce n’est pas non plus au corps que s’adresse le Discours Divin car il est créé comme récipient pour l’esprit et comme monture disponible lui permettant d’accomplir les devoirs qui lui incombent vis-à-vis de son Créateur.

    L’esprit est donc responsable, c’est lui qui accomplit le pacte, c’est lui qui est récompensé ou puni, c’est lui qui vit dans le délice ou dans le tourment.

    Il ne reçoit de châtiment ou de bienfait que par l’intermédiaire d’un corps et cela se fait par Décret Divin. L’esprit est introduit dans le corps et donc il est châtié à travers le châtiment du corps et gracié par la grâce accordée à celui-ci.

    Après la mort l’esprit, dans le monde du Barzakh, est introduit dans un autre corps. Par sa cause il goûte au délice comme au châtiment.

    La preuve de ceci est dans la parole du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) qui a dit : « Les esprits des martyrs sont introduits dans les gésiers d’oiseaux verts.» Ainsi que sa parole (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) : « Lorsque le croyant meurt, on lui accorde la moitié du Paradis. »

    La signification de ce hadith est que l’esprit séparé du corps n’aura que la moitié du plaisir, l’autre moitié étant réservée au corps. Puisque l’esprit n’est pas introduit dans le corps dans le monde du Barzakh, elle goûte ainsi au délice du Paradis sans sa présence. Elle n’a ainsi que la moitié du plaisir c’est ce qui est exprimé dans le hadith par la moitié du paradis.

    Cela est exclusivement réservé aux Connaissants et aux martyrs, le reste parmi les croyants est voilé et n’a pas la possibilité de voguer au paradis, ils verront seulement leur place matin et soir. »

    Recherche et traduction par la Zaouiya Tidjaniya El Koubra d’Europe

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    Rien que ça il y a 5 ans

    «C'est grace à Maodo Malick que le Sénégal, l'Afrique et le monde entier célèbrent l'anniversaire de la naissance du prophète Mohamet (PSL).
    El hadj Malick sy, depuis la ville sainte de Tivaouane initia cet événement avant de le propager à travers les contrées les plus lointaines du Sénégal et même en Afrique»
    Rien que ça!
    Yéna khoromou deug

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    il y a 6 ans

    Comme toi tu connais ces enseignements specifiques qui sont les veritables sciences de Cheikh Ahmet Tijan donc essais de les enseigner aux Tijans de Tivaouane. Mieux, fais comme El Cheikh en faisant un nouveau courant. Tivouane vous derangera tjrs.

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    Ma'arifa il y a 6 ans

    Le soufisme est une science de goût pas d'enseignement. L'ouverture spirituelle, le fana, le baqa, ça s'expérimente.
    Un disciple tidjani devrait avoir l'ambition d'accéder à cette science.
    Si ça vous suffit de dire que mon école est la plus grande des écoles. Que Maodo est le plus grand etc tant mieux pour vous.
    Si ce à quoi sert le soufisme et la tidjaniya en particulier.
    De plus des indications de cette science sont déjà dans le jawahir al ma'ani, pas besoin d'être un imposteur comme El Cheikh que tu cites pour faire croire que ce qui n'est pas à Tivaouane est forcément de l'odre de l'imposture.
    Dommage d'avoir des disciples si peu ambitieux.
    Lis Jawahir al Ma'ani, le Jami de Sidi Mohamed ibn Mechri et les lettres de Sidi Cheikh Tidjani. Si tu n'y comprends rien, faudrait revoir votre prétention.

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    Ma'rifa il y a 6 ans

    IL y a un constat à faire sur le disciple typique de Tivaouane. IL va te parler de zawiya, de Maodo, de Serigne Babacar, de mosquées etc mais jamais de ma'arifa, la connaissance en Allah qui est l'un des objectifs de la tariqa tidjane.
    Je n'ai jamais rencontré un disciple de Tivaouane qui a vécu l'expérience du Fana, ou fathou.
    Il n'a aucune idée des présences, Hahout, Lahout etc. Et pourtant toute cette science est dans les livres de la tariqa comme Jawahiroul Ma'ani ou en encore Jami'.
    Dans ces livres, l'on se rend compte que le Cheikh Tidjani cherchait à faire accéder ses disciples à ces connaissances.
    L'absence de cette connaissance en Allah entraîne les disciples de Tivaouane à des querelles de borne fontaine comme l'école de Maodo ou de khalif général.
    Moi j'aimerai bien entendre une discussion de ma'rifa de la part du khalif de cette "école" ou un écrit et là on saura si réellement vous êtes des khalif de Cheikh Tidjane parrce qu'à voir la carence des disciples de cette école en terme de soufisme, j'ai des doutes.
    A quoi sert de pratiquer le wird tidjane si ce n'est pour atteindre l'Ouverture et par la suite essayer d'accéder à la Connaissance en Allah.

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    reply_author il y a 5 ans

    votre haine et votre mechanceté va vous tuer epuis vous ne faite que copier tivaouane sur tout méme les dahira que vous avez viennent de tivaouane donc arretez vos critique et continué à copié c tout

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    Xxx il y a 6 ans

    Très bel article mon grand tant dans la simplicité et la fluidité du récit...Merçi Abdul Aziz. Nous attendons le prochain dédié à notre bien aimé DABAKH MALICK.

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    il y a 6 ans

    Maodo est une valeur sure de l'islam.

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