Le lutteur Ness de l’écurie Lansar confesse que les grandes dames (Diankés) lui courent après, alors qu’il est marié. Daouda Seck à l’état-civil, le vainqueur de Papa Sow étale son style « Happy Ness » dans l’arène. « Les femmes sont mes fans. Parce que je leur procure de la joie et du bonheur dans l’arène. J’accepte les cadeaux qu’elles m’offrent. Mais il y en a qui au début, vont jusqu'à pleurer pour dire qu’elles sont des fans. Après, elles vous appellent à des heures tardives pour demander de sortir avec vous ou elles vous invitent chez elles très tard. Les driankés m’offrent des cadeaux le jour et m’appellent la nuit pour me draguer », révèle le lutteur Ness, dans son entretien avec Week-end Magazine. «Je décline poliment. Je me suis marié à l’âge de dix-neuf ans. Donc j’ai pris très tôt mes responsabilités. Depuis mon dernier combat, je suis resté à coté de mon épouse. Parce que j’ai envie de ménager ma monture pour aller loin dans la lutte. Elles ne pourront pas m’atteindre parce que je suis très costaud. Les driankés insistent tout le temps pour m’inviter à venir prendre un repas, m’offrent de cadeaux comme des basins riches, des Gagnila, des chemises parce qu’elles m’adorent. Elles n’arrivent même pas à la cheville de ma femme. C’est donc peine perdue pour elles », poursuit l’ancien Faux lion (Simb Gaindé ). Eternel voyageur, Ness raconte, dans Week-end Mag, un de ses voyages en Angleterre, où il a pleuré, devant une grande quantité de « bouffe » à sa guise. « Je suis rentré une fois dans un restaurant et c’était du self-service. A 100 mille francs Cfa le buffet qui était bien garni et il y avait beaucoup de variétés de jus et de boisson. Quand j’ai regardé toutes ces choses-là bien présentées, j’ai commencé à pleurer. J’ai beau manger, je n’ai pu terminer ça. J’allais mourir parce que je n’y pouvais rien parce que la bouffe était tellement abondante », explique le lutteur qui compte se rendre en France, Espagne, Italie Grèce et Suède pour communier avec ses fans.