Ouverture des classes : Le message du Président de la République à la communauté éducative
L’ouverture des classes c’est ce mercredi. Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, en a profité pour adresser un message aux apprenants.
«Près de 4,5 millions d’apprenants, élèves et étudiants, reprennent ce matin le chemin des classes à travers tout le Sénégal. Je leur souhaite, ainsi qu’à leurs enseignants, à leurs parents et à toute la communauté éducative, une excellente année scolaire 2025-2026, placée sous le signe de l’équité, de la qualité et de la transformation humaniste de l’école», a-t-il publié sur ses plateformes numériques.
Commentaires (6)
Saway yow amo liggey quoi! le message du ministre nous suffit petit faiblard
Nous vous demandons solennellement de démissionner, car vous ne méritez le poste de président de la république de même que votre premier ministre qui a pris votre place. C'est pathétique ce qui se passe au Sénégal.
Ousmane Sonko : le courage politique ou la tentation du spectacle ?
En déclarant qu’il faut « un courage politique dans les prises de décisions, surtout sur la monnaie pour la zone Afrique de l’Ouest », Ousmane Sonko cherche une fois de plus à se poser en figure de rupture et de détermination. Le message est clair : il veut incarner ce leadership audacieux qui oserait affronter les tabous économiques et monétaires de la région. Mais derrière le ton tranchant, la méthode interroge.
Ses prises de parole, souvent improvisées, manquent parfois de profondeur sur le plan géopolitique. Les enjeux autour du franc CFA, de l’ECO ou des équilibres régionaux dépassent le cadre national et exigent une approche concertée, diplomatique et techniquement maîtrisée. En simplifiant ces débats à l’extrême, Sonko donne parfois l’impression de jouer plus sur l’émotion que sur la stratégie.
Autre paradoxe : il continue de se présenter comme le seul « courageux » prêt à changer le système, alors qu’il dirige déjà le gouvernement. En insistant sur sa posture d’opposant à l’intérieur même du pouvoir, il entretient un flou politique qui peut desservir sa propre action. Il ne suffit plus de dénoncer : il faut gouverner.
Surtout, Sonko gagnerait à éviter de décrédibiliser le président de la République qui l’a nommé à ce poste. À force de vouloir se distinguer, il brouille le message gouvernemental et alimente le sentiment d’un exécutif fragmenté. Dans un contexte où la stabilité politique est essentielle, ces dissonances fragilisent l’image du pouvoir et brouillent les repères du débat public.
Ousmane Sonko a sans doute raison de parler de courage. Mais le véritable courage, aujourd’hui, serait peut-être de transformer la rhétorique en action concrète, et de montrer qu’on peut gouverner avec conviction sans diviser le camp qu’on prétend servir.
Ce commentaire de haute portée mérite d'être un article d'un journal sérieux
mr le PR avec tous le respect qu'allons nous faire à l'ecole sans fournouture ni scolarite ni inscriptioon jusqua present pas de salaire meme le paiement du loyer est maintenant vous nous souhaiter une bonne rentre sawaye kholotal mim rew bougewoul metre
Il faut parler a ton ministre de l'éducation
Mais franchement qui habille Diomaye? …C’est une catastrophe!!!! Lo donoul talibém, do done serigname ba ci soklou
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