Les producteurs de Keur Mbir Ndao, un village de la commune de Notto-Gouye-Diama (département de Tivaouane), dans la zone des Niayes, menacent de durcir le ton.
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Les producteurs de Keur Mbir Ndao, un village de la commune de Notto-Gouye-Diama (département de Tivaouane), dans la zone des Niayes, menacent de durcir le ton.
La crue exceptionnelle des cours d'eau, dûe aux fortes pluies qui s'abattent sur les pays du Sahel depuis juin, a encerclé cette semaine la capitale du Niger, Niamey, presque entièrement coupée du reste du pays.
A trois jours de la célébration de la fête de la tabaski, le chef du service départemental de l’Elevage de Louga,
Le mois béni du ramadan tire à sa fin. Beaucoup de personnes ont la tête à la fête.
[Villa EFOR] Revivez le "Berndé" du matin
Le service du commerce de Mbour est en train d'afficher les tableaux des prix et d'informer la population avant de procéder à des opérations", a fait savoir Papa Amadou Bigué Ndiaye, chef du bureau des services de commerce de Mbour...
Grincement de dents des populations de Mako, localité située dans la commune de Tomboronkoto, département de Kédougou
Si des zones d’ombre entourent le mobile du crime, Thioro Mboup, témoin oculaire ou complice de ce meurtre est bien connue de la famille de la victime...
En assemblée générale, hier vendredi, à Sédhiou, les transporteurs des régions du sud ont exprimé leur déception de...
Avec la révision des listes électorales en vue des élections locales de 2022, c’est la ruée vers l'obtention de...
M.K âgé de 25 ans de nationalité malienne ne savait pas qu’il avait rendez-vous avec la mort en allant à la cascade de Dindéfélo.
À Podor, l'inquiétude commence à s'installer chez les populations qui commencent à se plaindre par...
L’augmentation du prix du pain ne fait pas l’unanimité. Lors de son intervention sur les ondes de Sud Fm rapporté par le journal Enquête
L’augmentation du prix du pain ne fait pas l’unanimité. Lors de son intervention sur les ondes de Sud Fm rapporté par le journal Enquête, le président de la Fédération nationale des boulangers du Sénégal (Fnbs) a expliqué sa volonté d’augmenter le prix du pain du fait de la hausse du prix du sac de la farine. Un avis qui n’est pas partagé par les principaux acteurs concernés.
Le Ramadan, période de grande consommation au Sénégal, est à quelques heures de son début pour la majorité des musulmans du pays, mais les prix de certaines denrées ont connu une légère hausse dans la capitale, a constaté APA mercredi dans un marché du centre-ville.
Pas de pièce de monnaie, s’il vous plait ! Pas de 'Macky' non plus (le petit billet de 500FCfa) dont il ne veut pas. Monsieur demande des billets de banque neuf ou vieux, peu importe. Entre 5000 et 10 000 FCFa, voilà ! Pour célébrer la nuit de la naissance du Prophète, ce dimanche, il mise gros et compte sur la générosité des usagers de lignes de bus «Tata». Objectif: collecter 1 milliard de FCfa qu’il a doit amener à Tivaoaune, en guise de Adiya.
Souriez, vous êtes accro à la boisson alcoolisée de plus en plus banalisée sur le territoire national. 800 FCFA, 1000FCA, 1.500FCFA, 2.000FCFA etc. L’alcool, il en existe pour toutes les bourses, renseigne un gérant de bar dont le témoignage est recueilli par le journal Sud Quotidien qui zoome, ce vendredi, sur la consommation de l’alcool au Sénégal, une terre musulmane.
La sortie du F CFA est-elle une nécessité pour les pays de la Zone Franc ? De l’avis de l’économiste Ndongo Samba Sylla, le défi est plutôt d’émerger du FCFA. Car les avantages qu’offre cette monnaie sont de loin inférieurs aux inconvénients.
«Injustices», «arnaques», «pratiques déloyales» Famara Ibrahima Cissé, ne mâche pas ses mots à l’endroit des banques. En effet, le Président de l’Association des clients et sociétaires des institutions financières (Acsif), dans cet entretien accordé à Seneweb, décrit, non sans le dénoncer, les «nombreuses arnaques» dont font l’objet la clientèle de banque.
A Kédougou, les travailleurs sont précarisés par la cherté du loyer avec des prix dépassant parfois la norme appliquée à Dakar. Il ne faut pas être surpris de tomber sur un bailleur qui vous demande 100 mille, 150 mille ou 250 mille pour un banal appartement. Les locataires étouffent et enragent, pour ramener la situation à une dimension normale. Surtout que Kédougou est ravagée par la pauvreté. Mais les travailleurs miniers ont réussi à redessiner l’offre au détriment des fonctionnaires qui sont contraints d’inventer des solutions de survie pour rester à Kédougou.