Pour les besoins d’une journée de réflexion, pour surtout procéder à un diagnostic des problèmes liés à la dialyse, les responsables du mouvement des insuffisants rénaux du Sénégal (MIRS) se sont retrouvés, en conclave, à Thiès.
Les délégués des différents centres de dialyse du Sénégal estiment que « le Dialysé au Sénégal souffre de multiples maux qui menacent l’existence des malades, en particulier la gratuité qui n’est que partielle ». Dans leur cri de détresse, les malades de dialyse évoquent le problème des analyses et des radios qui sont coûteux et fréquents, aussi des médicaments qui trop chers.
Le mouvement des insuffisants rénaux du Sénégal, qui vise à améliorer l'accès aux soins pour les patients, cherche à pallier le manque de centres de dialyse et les difficultés financières liées aux traitements, en plaidant pour la gratuité des analyses et une meilleure accessibilité aux soins.
Ces patients disent être confrontés à des coûts élevés pour la dialyse, les médicaments et les analyses, avec des déplacements fréquents vers Dakar pour certains soins. D'où, à leurs yeux, la décentralisation des soins en vue de soutenir la création de centres de dialyse péritonéale dans les régions. Ils évoquent l'amélioration de l'accès aux soins, donc la facilitation de l'accès aux traitements pour tous les patients, y compris les plus démunis, en insistant sur la lutte contre le manque de centres de dialyse, notamment en milieu rural.
Concernant la réduction des coûts, les malades de dialyse de plaider pour la gratuité des analyses médicales et la subvention des médicaments essentiels, afin de soulager le fardeau financier des patients. Le mouvement interpelle les autorités sanitaires et les partenaires pour une prise en charge plus globale de l'insuffisance rénale au Sénégal. Aussi d'encourager la solidarité entre patients et la mise en place de réseaux de soutien pour faire face aux difficultés.
Tu n a raconte que des conneries. Ca ne tombera pas du ciel, c est une vision. Et ces nullard n ont pas de vision
Répondre à N
il y a 1 mois
Ce régime préfèrent distribuer 5 milliards à ses militants qui ont brûlé le pays à régler les problèmes des hôpitaux. Ils ne considèrent pas ceux qui ne sont pas de leur secte. Tous les secteurs sont à l'arrêt pendant que leurs ministre, DG, députés, responsables politiques et mêmes les moutons pilleurs font la bamboula avec l'argent du contribuable.
On distribue 5 milliards à ses militants et on débloque 1,5 milliards pour soulager 10 000 ménages.
5 milliards pour moins de 1000 personnes et 1,5 milliards pour 10.000 ménages sachant que chaque ménage a au minimum 5 membres.
Cette discrimination illustre bien la manière de penser de Pasteef.
Répondre à
il y a 1 mois
L’avenir de la médecine est dans le numérique, dans l’intelligence artificielle avec des outils de diagnostique et de traitement très avancés qui pourront vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique est très prometteuse .
Ce pendant nous n’avons pas d’écoles d’ingénieurs outillées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit recommencer à attribuer la bourse d’excellence pour la France notamment dans les classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Également élargir cette coopération dans l’enseignement supérieur en Chine, au Japon , en Australie, au Singapour et en Angleterre pour pouvoir envoyer une centaine d’étudiants dans chacun de ces pays.
Beaucoup de pays développés comme le Maroc et la Chine continuent d’envoyer des centaines d’étudiants chaque année en France pour bénéficier des meilleures écoles d’ingénieurs et plus tard rentrer servir leurs pays.
Il faudra seulement faire de sorte qu’ils rentrent au Sénégal obligatoirement à la fin de leurs formations suivies de 3 ans d’expérience professionnelle optionnelle.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal alors que nous n’avons pas d’écoles d’ingénieurs pour les former c’est un gâchis.
Les quelques écoles que sont l’école polytechnique de Thies, l’école supérieure polytechnique de Dakar ne sont pas bien outillées pour former des ingénieurs qualifiés. A la sortie de ces écoles, les nouveaux ingénieurs ont des problèmes d’emplois et se voient proposer des salaires mensuels brut de l’ordre de 400 milles FCFA ou parfois moins.
Un jeune qui fait l’effort de réussir par exemple un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien, doit être soutenu pour intégrer de bonnes écoles qui lui permettront plus tard d’avoir un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire l’effort d’obtenir une bonne mention au bac et finir comme un goor goorlu c’est pas encourageant.
L’industrialisation du pays ne pourra se faire que si nous disposons d’un bon nombre d’ingénieurs bien formés dans les meilleures écoles du monde. Nous devons impérativement envoyer des étudiants à l’étranger pour bénéficier de l’expérience de ces pays dans les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, la neurosciences et la biotechnologie.
Commentaires (3)
Tu n a raconte que des conneries. Ca ne tombera pas du ciel, c est une vision. Et ces nullard n ont pas de vision
Ce régime préfèrent distribuer 5 milliards à ses militants qui ont brûlé le pays à régler les problèmes des hôpitaux. Ils ne considèrent pas ceux qui ne sont pas de leur secte. Tous les secteurs sont à l'arrêt pendant que leurs ministre, DG, députés, responsables politiques et mêmes les moutons pilleurs font la bamboula avec l'argent du contribuable.
On distribue 5 milliards à ses militants et on débloque 1,5 milliards pour soulager 10 000 ménages.
5 milliards pour moins de 1000 personnes et 1,5 milliards pour 10.000 ménages sachant que chaque ménage a au minimum 5 membres.
Cette discrimination illustre bien la manière de penser de Pasteef.
L’avenir de la médecine est dans le numérique, dans l’intelligence artificielle avec des outils de diagnostique et de traitement très avancés qui pourront vaincre n’importe quelle maladie. La collaboration entre médecins et ingénieurs du numérique est très prometteuse .
Ce pendant nous n’avons pas d’écoles d’ingénieurs outillées pour former dans ce nouveau domaine.
C’est pourquoi le gouvernement doit recommencer à attribuer la bourse d’excellence pour la France notamment dans les classes préparatoires aux grandes écoles d’ingénieurs. Également élargir cette coopération dans l’enseignement supérieur en Chine, au Japon , en Australie, au Singapour et en Angleterre pour pouvoir envoyer une centaine d’étudiants dans chacun de ces pays.
Beaucoup de pays développés comme le Maroc et la Chine continuent d’envoyer des centaines d’étudiants chaque année en France pour bénéficier des meilleures écoles d’ingénieurs et plus tard rentrer servir leurs pays.
Il faudra seulement faire de sorte qu’ils rentrent au Sénégal obligatoirement à la fin de leurs formations suivies de 3 ans d’expérience professionnelle optionnelle.
Mais garder tous les bacheliers au Sénégal alors que nous n’avons pas d’écoles d’ingénieurs pour les former c’est un gâchis.
Les quelques écoles que sont l’école polytechnique de Thies, l’école supérieure polytechnique de Dakar ne sont pas bien outillées pour former des ingénieurs qualifiés. A la sortie de ces écoles, les nouveaux ingénieurs ont des problèmes d’emplois et se voient proposer des salaires mensuels brut de l’ordre de 400 milles FCFA ou parfois moins.
Un jeune qui fait l’effort de réussir par exemple un baccalauréat S1 avec mention Bien ou Très Bien, doit être soutenu pour intégrer de bonnes écoles qui lui permettront plus tard d’avoir un bon salaire et une vie sociale épanouie. Mais faire l’effort d’obtenir une bonne mention au bac et finir comme un goor goorlu c’est pas encourageant.
L’industrialisation du pays ne pourra se faire que si nous disposons d’un bon nombre d’ingénieurs bien formés dans les meilleures écoles du monde. Nous devons impérativement envoyer des étudiants à l’étranger pour bénéficier de l’expérience de ces pays dans les nouvelles technologies, le numérique, l’intelligence artificielle, les sciences spatiales, la neurosciences et la biotechnologie.
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