Oh attention il faut pas confondre un rat ambulant et vagabond sexuel de lupanar sweet beauty et héros mondial. SACRILÉGE
taeroil y a 7 heures
Surtout qu'elle ne salisse pas la mémoire de Mandela. Please.
Ex pastefil y a 2 heures
Je sais une chose, Mandela ne trompé pas sa femme, il ne mentais pas, il ne calomnier pas, ne manipuler pas.
Répondre à Oms
Sénégalil y a 9 heures
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
Répondre à Sénégal
Sénégalil y a 9 heures
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
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Sénégalil y a 9 heures
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
Répondre à Sénégal
Serereil y a 9 heures
⸻
Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
Répondre à Serere
Serereil y a 9 heures
Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
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Serereil y a 9 heures
Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
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Serereil y a 9 heures
Cette tentative pour éclipser la couverture médiatique de Macky est vouée à l’échec, surtout si c’est Queen Biz qu’on envoie sur les plateaux de télévision.
Répondre à Serere
Serereil y a 9 heures
Cette tentative pour éclipser la couverture médiatique de Macky est vouée à l’échec, surtout si c’est Queen Biz qu’on envoie sur les plateaux de télévision.
Répondre à Serere
Khar mbeeil y a 9 heures
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme tu poison
Répondre à Khar mbee
Khar mbeeil y a 9 heures
l'instant
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme du poison
Répondre à Khar mbee
Khar mbeeil y a 9 heures
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme du poison
Répondre à Khar mbee
Guillaumeil y a 9 heures
Tu compares le grand Madiba qui a passé 27 ans de prison à un violeur qui était allé se caché à Ziguinchor et appelé à l'insurrection.
Lamineil y a 2 heures
Surtout qui a négocié sa sortie de prison après quelques mois. Et qui en plus jouer le malade imaginaire
Lamineil y a 2 heures
Surtout qui a négocié sa sortie de prison après quelques mois. Et qui en plus jouer le malade imaginaire
Répondre à Guillaume
Fonds politiques haramil y a 8 heures
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Ghjil y a 8 heures
Mon cher, ne vous en faites pas . Sonko rendra compte jusqu'au dernier franc troué de l'usage de ces fonds politiques !
Répondre à Fonds politiques haram
Fonds politiques haramil y a 8 heures
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Kplil y a 8 heures
Mon cher ne vous en faites pas. Sonko rendra compte jusqu'au dernier franc troué de l'utilisation de ces fonds politiques !
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Fonds politiques haramil y a 8 heures
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Répondre à Fonds politiques haram
Fonds politiques haramil y a 8 heures
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
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Fonds politiques haramil y a 8 heures
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
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Nianthioil y a 8 heures
Oui elle aussi a sorti sa langue pour sucer.
Mandela? Cette guenon a le bas qui gratte. Respectez les gens!
Répondre à Nianthio
Nitou deugil y a 8 heures
Mai queen bisss khana da faté nane c 💊 aujourd'hui
Ndeysane j'ai pitié barké sama dieukerou mame
Répondre à Nitou deug
Serereil y a 7 heures
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
Répondre à Serere
Serereil y a 7 heures
l'instant
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
Répondre à Serere
Sénégalil y a 7 heures
l'instant
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
Répondre à Sénégal
BIC ROUGEil y a 7 heures
Attention à la confusion ! Demande à ton leader qui est la maman de Mouhamed ? Tu sauras qu'il est un simple individu
Répondre à BIC ROUGE
porozetil y a 5 heures
Kanel : Une fillette de 5 ans enlevée dans son sommeil puis violée
Répondre à porozet
Tout sauf corrompuil y a 5 heures
De toute facon tout es mieux que Macky et ses companions
Bonne election 2029 toutsauf Diomaye
Quand a cette dame Elle na pas appris que l'on ne melange pas politique avec ta career a moins que tu nes pas brilliant en music ou culture
Répondre à Tout sauf corrompu
Sénégalil y a 1 heure
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Répondre à Sénégal
Sénégalil y a 1 heure
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Répondre à Sénégal
Senegalil y a 1 heure
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Commentaires (31)
Oh attention il faut pas confondre un rat ambulant et vagabond sexuel de lupanar sweet beauty et héros mondial. SACRILÉGE
Surtout qu'elle ne salisse pas la mémoire de Mandela. Please.
Je sais une chose, Mandela ne trompé pas sa femme, il ne mentais pas, il ne calomnier pas, ne manipuler pas.
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
Les réalités sociologiques, géographiques et culturelles de nos frontières — qu’il s’agisse de la Gambie, de la Guinée ou de la Mauritanie — sont telles que l’a souligné l’ex-capitaine. En procédant au limogeage du DIC et du directeur des frontières, Bamba Cissé adopte une démarche essentiellement populiste. Ces deux responsables ne peuvent en aucun cas être tenus pour responsables de la fuite de Madiambal.
En revanche, ce brillant capitaine mérite le poste de ministre de l’Intérieur bien plus que Bamba Cissé. Il possède une véritable expérience dans le commandement territorial, contrairement à Bamba, qui n’a été qu’un simple avocat, connu pour son rôle dans des manipulations telles que la grève de la faim et la fuite en Casamance.
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Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
Queen Biz exprime son soutien à Sonko, mais son niveau d’études et ses connaissances limitées ne lui permettent pas d’évaluer pleinement la situation. En revanche, Macky Sall bénéficie de l’appréciation des grandes instances internationales. Les critiques dirigées contre lui, souvent calculées à dessein, n’entament en rien son influence ni sa position sur la scène mondiale. Comme il le souligne lui-même, son parcours l’a mené du local au régional, puis à l’international.
Cette tentative pour éclipser la couverture médiatique de Macky est vouée à l’échec, surtout si c’est Queen Biz qu’on envoie sur les plateaux de télévision.
Cette tentative pour éclipser la couverture médiatique de Macky est vouée à l’échec, surtout si c’est Queen Biz qu’on envoie sur les plateaux de télévision.
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme tu poison
l'instant
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme du poison
Venue en rescousse pour sauver Sonko de son impopularité et sa chute . C’est peine perdue les sénégalais l’ont vomi comme du poison
Tu compares le grand Madiba qui a passé 27 ans de prison à un violeur qui était allé se caché à Ziguinchor et appelé à l'insurrection.
Surtout qui a négocié sa sortie de prison après quelques mois. Et qui en plus jouer le malade imaginaire
Surtout qui a négocié sa sortie de prison après quelques mois. Et qui en plus jouer le malade imaginaire
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Mon cher, ne vous en faites pas . Sonko rendra compte jusqu'au dernier franc troué de l'usage de ces fonds politiques !
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Mon cher ne vous en faites pas. Sonko rendra compte jusqu'au dernier franc troué de l'utilisation de ces fonds politiques !
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Depuis l’indépendance en 1960 jusqu’en 2024, aucun Premier ministre du Sénégal n’a jamais bénéficié de fonds politiques.
De Mamadou Dia à Sidiki Kaba, aucun chef du gouvernement n’a disposé de tels moyens financiers.
Cependant, depuis avril 2024, Ousmane Sonko est devenu le tout premier Premier ministre à bénéficier de fonds politiques, estimés à 9 milliards de francs CFA par an.
Il reçoit ainsi davantage que les anciens présidents Abdoulaye Wade et Macky Sall.
C’est une situation inédite dans l’histoire politique du pays.
Oui elle aussi a sorti sa langue pour sucer.
Mandela? Cette guenon a le bas qui gratte. Respectez les gens!
Mai queen bisss khana da faté nane c 💊 aujourd'hui
Ndeysane j'ai pitié barké sama dieukerou mame
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
l'instant
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
l'instant
Chute libre . Depuis deux heures même pas mille vues alors un article sur Macky Sall en une heure a fait plus de 27000 vues . C’est incroyable . Si Macky vient au Sénégal le pays va exploser
Attention à la confusion ! Demande à ton leader qui est la maman de Mouhamed ? Tu sauras qu'il est un simple individu
Kanel : Une fillette de 5 ans enlevée dans son sommeil puis violée
De toute facon tout es mieux que Macky et ses companions
Bonne election 2029 toutsauf Diomaye
Quand a cette dame Elle na pas appris que l'on ne melange pas politique avec ta career a moins que tu nes pas brilliant en music ou culture
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Sagna, Gassama, Sonko, Tine, Bodian : faut-il les considérer comme de simples opposants politiques ou comme des rebelles en puissance ? La question mérite d’être posée.
Le cas de la France nous offre un parallèle intéressant. Une partie des personnes issues de l’immigration y vit, y travaille, y étudie, mais reste attachée au pays d’origine de leurs parents. Elles peinent à s’identifier pleinement à la France et, dans des moments symboliques comme les compétitions sportives, elles soutiennent presque toujours l’équipe du pays d’origine plutôt que l’équipe nationale française.
Ce rapport ambigu à la nation se retrouve aussi au Sénégal, particulièrement en Casamance. Certains Casamançais, installés à Dakar ou à l’étranger, se définissent d’abord par leur identité régionale avant de se dire Sénégalais. Plus inquiétant encore, beaucoup ont exprimé par le passé leur sympathie, voire leur allégeance, à l’ex-dirigeant gambien Yaya Jammeh, plutôt qu’aux institutions du Sénégal.
Cette posture nourrit la défiance, le sabotage permanent et fragilise l’unité nationale. Les émeutes entre 2021 et 2024 ont rappelé qu’il existe des forces prêtes à incendier le pays pour faire avancer une logique séparatiste.
L’histoire l’enseigne clairement : on ne confie pas la gestion d’une nation à des acteurs dont la loyauté patriotique est douteuse. Le Sénégal a besoin de dirigeants engagés sans ambiguïté pour l’unité et la cohésion nationale.
Queen Biz kharitou Sonko. Quelle blague!
C'est une prostituée qui defend un prostitué.
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