TRANSPORT AÉRIEN : Le Sénégal se dote d'un nouvel avion L410-NG
Dans une dynamique de modernisation de sa flotte aérienne, Air Sénégal a acquis son quatrième avion L410-NG, ce mardi 21 octobre, en République tchèque. Ce nouvel aéronef vient renforcer la connectivité intérieure.
Selon le ministère des Transports terrestres et aériens, ce quatrième avion fait partie d'une commande de cinq L410-NG destinés à renforcer le réseau domestique. "Il permettra d’améliorer la desserte des régions éloignées et de faciliter la mobilité à travers le territoire national et au-delà. Cette acquisition s’inscrit dans la dynamique de la Vision Sénégal 2050, qui vise à rendre le transport aérien plus accessible et à soutenir le développement économique des territoires", a dit le ministre Yankoba Diémé.
Il a ensuite salué la qualité de la coopération avec Aircraft Industries, tout en soulignant l’importance du transfert de compétences. "Trente-cinq agents sénégalais, dont 15 techniciens et 20 pilotes issus d'Air Sénégal, de l'armée de l'air, de l'ANACIM et de 2AS Technics bénéficieront d’un programme de formation de 45 jours sur ce type d’appareil", a-t-il annoncé.
Commentaires (23)
- Création d'une compagnie aérienne régionale civile avec 6 avions pour lignes régulières au Sénégal et sous-r
- Objectifs : desserte fiable, rentabilité, image commerciale solide, et adaptation aux infrastructures locales.
Hypothèses économiques :
- Flotte : 6 avions (L-410NG, Dornier 228NG, Beechcraft 1900D)
- Heures de vol par avion : 400 h/an
- Prix du carburant Jet-A1 : 1,10 USD/Litre
- Taux d’occupation moyen : 75%
- Prix moyen billet : 150 USD
Recommandation rapide :
- L-410NG : robuste et adapté pistes sommaires (zones rurales, humanitaire)
- Dornier 228NG : polyvalent, pressurisé, STOL, idéal pour combinaison confort/robustesse
- Beechcraft 1900D : pressurisé, confortable, rapide, idéal pour lignes commerciales inter-villes
Cette analyse montre que c’était pas le meilleur choix et qu’il faut chercher au plus profond de MACKYLAND les raisons de ce choix car c’est effectivement un choix de l’ancien régime.
- Pour votre flotte de 6 avions destinée à des lignes régulières commerciales au Sénégal
le Dornier 228NG représente le meilleur compromis :
• Pressurisé et confortable pour passagers
• Capable de STOL sur pistes courtes
• Avion moderne avec support constructeur actif
- Le L-410NG reste un excellent choix pour missions secondaires et pistes rurales difficiles.
- Le Beechcraft 1900D est recommandé pour vols inter-capitales où le confort et la vitesse sont prioritaires.
Stratégie :
- Acquisition progressive de 6 Dornier 228NG
- Maintien d’un ou deux L-410NG pour flexibilité pistes courtes/humanitaire
- Suivi strict des coûts d’exploitation et taux de remplissage pour assurer rentabilité
C’est ça la vérité
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Allez consulter les archives, nullards
le gag du jour : la charrue avant les boeufs : dixit : " "Trente-cinq agents sénégalais, dont 15 techniciens et 20 pilotes issus d'Air Sénégal, de l'armée de l'air, de l'ANACIM et de 2AS Technics bénéficieront d’un programme de formation de 45 jours sur ce type d’appareil"
Dans les autres pays, les piltotes et techniciens sont envoyée en formation durant plusieurs mois....
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