Macky Sall, president de la Republique du Senegal (photo archive)
Les mouvements politiques commencent à essaimer comme les partis politiques. Le dernier né : « Pas-Pas/Sénégal niu nior » de Waly Fall, ancien directeur du Fonds national de promotion de la jeunesse (FNPJ) et jusque-là responsable de Rewmi. Pour l’enseignant chercheur en Sciences politiques Moussa Diaw, interrogé dans Le Populaire de ce mardi, le phénomène trouve sa source dans l’absence de structuration au sein des formations politiques.
Il dit : « Quand certains leaders ambitieux souhaitent qu’il y ait une structuration pour avoir une position de pouvoir au sein du parti, cela ne s’est pas fait. Eh bien, pour trouver une certaine autonomie, ils vont créer trouver la solution, c’est de créer un mouvement, de quitter le parti. » Cette stratégie qui peut mener à la transhumance vers la majorité provoque « un affaiblissement de la démocratie », ce qui « donne une mauvaise image des hommes politiques »
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