Ousmane Sonko lance l’ECOFEST et appelle à cimenter la CEDEAO par un « marché commun de la créativité africaine »
Le Grand Théâtre a accueilli ce dimanche 30 novembre la cérémonie d’ouverture du Festival des Arts et de la Culture de l’Afrique de l’Ouest (ECOFEST), un événement majeur dédié à la célébration de la richesse et de la diversité du patrimoine artistique et culturel ouest-africain.
Représentant le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko a pris la parole pour souligner l’importance de cet événement, le qualifiant de « grand moment de partage, d’échange et de générosité artistique ».
Le Premier ministre a rappelé que ce festival, au-delà de la célébration de l’héritage culturel, est l’occasion de réfléchir aux défis communs. Il a alerté sur les « pressions sans précédent » et « l’hégémonie de certains modèles exogènes qui menacent l’identité de nos peuples ».
Insistant sur le rôle central de la culture dans l’intégration, Ousmane Sonko a déclaré : « ces mécanismes culturels rappellent une vérité fondamentale : l’intégration culturelle est le socle durable. C’est sur ce principe que la CEDEAO a été créée. L’actualité géopolitique nous rappelle qu’aucun acquis n’est éternel s’il n’est cimenté par la culture. ».
Ousmane Sonko a présenté la vision du Sénégal pour le secteur culturel, qui est de le transformer en un pilier du développement économique et social. Il a vanté la « créativité contemporaine qui fascine le monde » et le fait que les artistes, cinéastes et développeurs de jeux vidéo ouest-africains « partent à la conquête du globe ».
Dans cette optique, il a lancé un appel vibrant à la création d’un marché commun de la créativité africaine, exhortant à : faciliter la circulation des artistes et des œuvres, protéger le droit d’auteur, investir massivement pour soutenir le secteur.
L’objectif est clair : « Nous devons offrir à la jeunesse des raisons d’espérer, de créer et de s’épanouir ici, par le développement équitable de nos territoires. »
Le Premier ministre a conclu en félicitant les organisateurs et les autorités chargées de la Culture, encourageant le public sénégalais à s’approprier l'ECOFEST, car « la culture est le chemin le plus court d’un peuple à un autre ».
Commentaires (12)
SONKO SEUL. SONKO ALWAYS . SONKO FOREVER. SONKO FOR LIFE. FOCUS .SONKO 2029
Qu'il se taise ce sale rebelle.
Il est toujours en train de théoriser sans jamais pratiquer ou réaliser. Aucun chantier abouti. Fuite en avant rek
SONKO SEUL. SONKO ALWAYS. SONKO FOREVER. SONKO FOR LIFE . FOCUS . SONKO 2029
Il faut auditer d’abord lles marchés du hub aérien exécutés par Doudou à hauteur de 600 milliards. Même pour acheter un ordinateur, le marché a été stampille secret défense. Après il faudra revoir les équipes et l’organigramme ou le sommet stratégique est occupé par des personnes non expérimentées avec un faible niveau
Il faut auditer d’abord lles marchés du hub aérien exécutés par Doudou à hauteur de 600 milliards. Même pour acheter un ordinateur, le marché a été stampille secret défense. Après il faudra revoir les équipes et l’organigramme ou le sommet stratégique est occupé par des personnes non expérimentées avec un faible niveau
Il faut auditer d’abord lles marchés du hub aérien exécutés par Doudou à hauteur de 600 milliards. Même pour acheter un ordinateur, le marché a été stampille secret défense. Après il faudra revoir les équipes et l’organigramme ou le sommet stratégique est occupé par des personnes non expérimentées avec un faible niveau
Il faut auditer d’abord lles marchés du hub aérien exécutés par Doudou à hauteur de 600 milliards. Même pour acheter un ordinateur, le marché a été stampille secret défense. Après il faudra revoir les équipes et l’organigramme ou le sommet stratégique est occupé par des personnes non expérimentées avec un faible niveau
Thiéy Sonko sou Diomay diaré droite mou diar gauche. 🤣🤣🤣. Amoul KHAM KHAM ndeysane day lambatou rék. Il est dépassé de ce qui se passe dans le monde.
guenon/fumier/noiraud....endogènes !!
"marché commun de la créativité africaine"......
C'est quoi ce concept encore que l’africaine regorge de cultures totalement opposées avec des langues et langages différents.
L'assemblee doit voter une loi qui imposera desorme a tout President Senegalais qui perdra le pouvoir de ne pas quitter le pays pour au moins un ou deux ans, afin de pouvoir rendre compte et repondre aux questions du nouveau regime. C'est incomprehensible que tous nos Presidents qui ont perdu le pouvoir, a l'exception de Abdoulaye Wade, ont tous fuit le pays qu'ils ont dirige pendant des decennies. Vous n'entendrez jamais un President francais fuir la France apres sa chute, de meme pour un President Americain. Au Nigeria, les Presidents restent au Nigeria apres avoir perdu le pouvoir. Un president qui a eu a diriger un pays pendant au moins 7 ans, doit rester au moins un dans ce pays pour rendre compte de sa gestion. Ils fuient tous en asile parce qu'ils savent qu'ils ont fait trop de mal. L'assemblee du Senegal doit voter cette loi. Cela permettra a quiconque qui pretend a la magistrature supreme de savoir qu'il aura des comptes a rendre. C'est trop facile de diriger un pays pendant des decennies et d'aller se cacher dans un autre pays loin du sien et ne jamais avoir a rendre des comptes. TROP FACILE!!!
Ne risquent-ils pas de s'acrocher au pouvoir, s'il n'y a aucune échappatoire? Ngur dey soi nit, ngur dafa neex (il parait). Nul n'est parfait... Entre deux maux, ne vaut-il pas mieux de choisir le moindre?
ANASER : une agence prise en otage par son DG
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
... est comme un suppositoire pour yolom guenio, tellement il y est accroché
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