Une hausse de 250 F Cfa notée sur le sac de pomme de terre
Le prix de la pomme de terre a connu une hausse sur le marché. Actuellement, le kilogramme de la pomme de terre est vendu à 350 F Cfa et le sac à 7 500 F Cfa, nous informe iRadio. Soit une hausse de 250 F Cfa sur le prix du sac.
Les commerçants estiment qu’il y aura suffisamment de pomme de terre sur le marché, à l’approche de la fête de Korité. Mais les prix risquent de grimper. Car le kilogramme peut-être vendu jusqu’à 500 F Cfa, voire plus.
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PRODUITS BIO NATUREL Biotechnologie POUDRE DE COMPOSITION D’HUîTRE ET DE POLYGONE DE RHIZOME Bio NATUREL
Ingrédients : Poudre de Maca, Rhizoma Polygonati,extrait de rhizoma Dioscoreae, Poudre concentrée des huîtres, Cordyceps militaris,Abelmoschus esculentus,Ginseng en poudre, Arginine, Dextrimaltose, Dextrine résistant, Retraits de Maca, et collagène
Ce produit est riche en Phosphore, fer, zinc, cuivre, sélénium, manganèse, magnésium, calcium vitamine B2, vitamine B12, vitamine B3, vitamine A, vitamine K, vitamine B6, vitamine B9, vitamine C, etc..
• Voici un produit bio naturel est à base de 11 éléments essentiels Pour la stimulation sexuelle naturelle,promouvoir la sécrétion du sperme (qualité et volume), lutter contre la fatigue, etc..
Il s'agit notamment de :
L'HUîTRE : mollusque marin fixé dont la coquille est constituée de deux valves Son importance est de combattre l’ . impuissance Sexuelle en facilitant la circulation sanguine.
Le POLYGONE DE RHIZOME: tige charnue poussant horizontalement sous la surface du sol.C’ est le rhizoma du gingembre, son rôle est d’apporter de la virilité sexuelle et renforcer le cerveau.
Mais qui a entre autre rôle de d'améliorer le système immunitaire, favoriser la synthèse d'ADN, l'ARN et la protéine et favoriser la transformation des lymphocytes,lutter contre les mycobactéries, inhiber une variété de champignons pathogènes,de bacilles typhoïdes etc..,
Les autres composants sont aussi le Maca (Ginseng des Andes), du ginseng ("Roi des Médicaments " en Asie) , le cordyceps ( "chenille qui vaut de l'or ") , le collagène, et l'igname chinoise qui a entre autres effets de renforcer la rate et l'estomac, nourrir les reins car contenant des nutriments qui rendent le corps plus fort, augmenter le nombre de spermatozoïdes et améliorer la qualité du sperme.Mais aussi très bénéfique aux poumons pour arrêter la toux, réguler la glycémie, promouvoir la longévité, prévenir le coma hépatique, améliorer l'humeur et réguler le sommeil.
PRIX 22 000
Contact : 77 745 22 36
AUCHAN!!AUCHAN!!AUCHAN!!
Cette hausse du prix du kilo de pomme de terre est la faute des halpulaar.Les halpulaar sont des pédophiles invétérés qui pratiquent le mariage entre eux (consanguinité);dés que le bébé est dans le ventre de sa mère on lui a déjà trouvé son mari,ce sera soit un cousin un oncle en tout cas quelqu'un de la famille.Alors arrêtez de faire les offusqués par la pure et simple vérité qu'a osée dire Adja Astou elle même halpulaar qui connaît bien ces traditions d'un autre âge.Alors cessez de nous emmerder avec vos conneries halpulaar de merde.
Vous nous déranger là nous les bouffeurs
Suite à l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le 04 avril 1960, Mamadou Dia, tout nouveau président du Conseil (Premier ministre) était une des personnifications au sommet de l’État d’un singulier système politique bicéphale. Il avait en charge la sécurité intérieure et la politique économique, pendant que la politique extérieure était dévolue au Président de la République, Léopold Sedar Senghor.
Mamadou Dia, qui militait pour une rupture radicale d’avec l’ancienne puissance coloniale, concocta un désengagement progressif du Sénégal du modèle de production agricole, imposé par la Métropole, et qui fondait toute l'économie du pays sur une seule culture de rente (essentiellement destinée à l'exportation, en raison de la masse de devises qu'elle génère) : la culture arachidiére. Ce qui desservait les intérêts de l’ancien colonisateur. Et indisposait également une certaine élite politico-maraboutique.
Mamadou Dia prôna, dans un discours historique radical, tenu le 8 décembre 1962 à Dakar, axé sur «Les diverses voies africaines du socialisme», le «rejet révolutionnaire des anciennes structures» et une «mutation totale, aux fins de substituer à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement». Cette déclaration motiva des députés à déposer une Motion de censure contre le gouvernement, qu’il dirigeait. Jugeant cette motion irrecevable, Mamadou Dia tenta d’en empêcher son examen par l’Assemblée nationale, préférant que cette tâche fût dévolue au Conseil national de son Parti (Ups).
Il fit évacuer manu militari le Parlement, le 17 décembre 1962, et en fit bloquer l’accès par la Gendarmerie. Mais l’Assemblée nationale fut rapidement dégagée par l'Armée, restée fidèle au président Senghor, pendant que le président de l'Assemblée, Me Lamine Guèye, était «protégé» par une foule de manifestants, venue en bouclier envahir l’Hémicycle. La tentative du Président du Conseil, Mamadou Dia, de démettre le Parlement de ses prérogatives ayant échoué - en dépit de son coup de force, alors qualifié de «tentative de coup d'État» -, la motion de censure fut votée dans l'après-midi au domicile du président de l’Assemblée, Maître Lamine Guèye.
Arrêté le lendemain, avec quatre de ses compagnons (Valdiodio Ndiaye, Ibrahima Sarr, Joseph Mbaye et Alioune Tall), par un détachement de paras-commandos, le Président du Conseil, Mamadou Dia, fut traduit devant la Haute Cour de justice. Lors de son procès, qui s’est tenu du 9 au 13 mai 1963, il compta parmi ses avocats Me Robert Badinter (ancien Ministre de la Justice du Gouvernement de François Mitterrand), et un certain… Me Abdoulaye Wade. Mamadou Dia fut lourdement condamné, à la perpétuité. Peine qu’il devra purger dans une enceinte fortifiée à Kédougou, après une courte transition à la Prison de l’Ile de Gorée.
Durant son incarcération, des personnalités occidentales de premier plan et de célèbres intellectuels, dont Jean-Paul Sartre, François Mauriac, René Cassin (Prix Nobel de la Paix), Aimée Césaire et le Pape Jean XXIII, ont demandé sa libération. Mais Senghor resta de marbre. Ce n’est que 12 années plus tard, le 26 Mars 1974, qu’il consentit à le gracier, avant de l’amnistier, en avril 1976, à la faveur d’une réforme constitutionnelle, qui institua le multipartisme au Sénégal – alors limité à quatre courants de pensée (Socialiste, Libéral, Marxiste, Conservateur).
«Celui qui, en tant que Président du Conseil, détenait presque tous pouvoirs entre ses mains, avait-il véritablement besoin d'un coup d’État», s’interrogera plus tard le Général Jean Alfred Diallo (chef d’État-major des Armées au moment des événements du 17 décembre 1962): «Mamadou Dia n'a jamais fait de coup d’État contre Senghor. C'est de l’affabulation»!
Il n'empêche que le (1er) Premier ministre du Sénégal, Mamadou Dia, fait toujours l'objet d'un ostracisme qui ne dit pas son nom. Aucun édifice public (avenue, stade, école...) ne porte son nom. Son œuvre est quasiment occulté par certains historiens, au point qu'il est presque un inconnu pour la génération montante.
Il est grand temps de réhabiliter la mémoire et l’œuvre de ce grand patriote, qui s'est battu sans relâche pour notre véritable indépendance économique; pour la liberté des peuples d'Afrique de décider par eux-mêmes et pour eux-mêmes des modèles de développement qu'ils estiment les mieux adaptés à nos réalités socio-culturelles
BAYILén sakou pombi terre yi ngéni yok ci evénement yi ish
dem auchan rek
Suite à l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le 04 avril 1960, Mamadou Dia, tout nouveau président du Conseil (Premier ministre) était une des personnifications au sommet de l’État d’un singulier système politique bicéphale. Il avait en charge la sécurité intérieure et la politique économique, pendant que la politique extérieure était dévolue au Président de la République, Léopold Sedar Senghor.
Mamadou Dia, qui militait pour une rupture radicale d’avec l’ancienne puissance coloniale, concocta un désengagement progressif du Sénégal du modèle de production agricole, imposé par la Métropole, et qui fondait toute l'économie du pays sur une seule culture de rente (essentiellement destinée à l'exportation, en raison de la masse de devises qu'elle génère) : la culture arachidiére. Ce qui desservait les intérêts de l’ancien colonisateur. Et indisposait également une certaine élite politico-maraboutique.
Mamadou Dia prôna, dans un discours historique radical, tenu le 8 décembre 1962 à Dakar, axé sur «Les diverses voies africaines du socialisme», le «rejet révolutionnaire des anciennes structures» et une «mutation totale, aux fins de substituer à la société coloniale et à l’économie de traite une société libre et une économie de développement». Cette déclaration motiva des députés à déposer une Motion de censure contre le gouvernement, qu’il dirigeait. Jugeant cette motion irrecevable, Mamadou Dia tenta d’en empêcher son examen par l’Assemblée nationale, préférant que cette tâche fût dévolue au Conseil national de son Parti (Ups).
Il fit évacuer manu militari le Parlement, le 17 décembre 1962, et en fit bloquer l’accès par la Gendarmerie. Mais l’Assemblée nationale fut rapidement dégagée par l'Armée, restée fidèle au président Senghor, pendant que le président de l'Assemblée, Me Lamine Guèye, était «protégé» par une foule de manifestants, venue en bouclier envahir l’Hémicycle. La tentative du Président du Conseil, Mamadou Dia, de démettre le Parlement de ses prérogatives ayant échoué - en dépit de son coup de force, alors qualifié de «tentative de coup d'État» -, la motion de censure fut votée dans l'après-midi au domicile du président de l’Assemblée, Maître Lamine Guèye.
Arrêté le lendemain, avec quatre de ses compagnons (Valdiodio Ndiaye, Ibrahima Sarr, Joseph Mbaye et Alioune Tall), par un détachement de paras-commandos, le Président du Conseil, Mamadou Dia, fut traduit devant la Haute Cour de justice. Lors de son procès, qui s’est tenu du 9 au 13 mai 1963, il compta parmi ses avocats Me Robert Badinter (ancien Ministre de la Justice du Gouvernement de François Mitterrand), et un certain… Me Abdoulaye Wade. Mamadou Dia fut lourdement condamné, à la perpétuité. Peine qu’il devra purger dans une enceinte fortifiée à Kédougou, après une courte transition à la Prison de l’Ile de Gorée.
Durant son incarcération, des personnalités occidentales de premier plan et de célèbres intellectuels, dont Jean-Paul Sartre, François Mauriac, René Cassin (Prix Nobel de la Paix), Aimée Césaire et le Pape Jean XXIII, ont demandé sa libération. Mais Senghor resta de marbre. Ce n’est que 12 années plus tard, le 26 Mars 1974, qu’il consentit à le gracier, avant de l’amnistier, en avril 1976, à la faveur d’une réforme constitutionnelle, qui institua le multipartisme au Sénégal – alors limité à quatre courants de pensée (Socialiste, Libéral, Marxiste, Conservateur).
«Celui qui, en tant que Président du Conseil, détenait presque tous pouvoirs entre ses mains, avait-il véritablement besoin d'un coup d’État», s’interrogera plus tard le Général Jean Alfred Diallo (chef d’État-major des Armées au moment des événements du 17 décembre 1962): «Mamadou Dia n'a jamais fait de coup d’État contre Senghor. C'est de l’affabulation»!
Il n'empêche que le (1er) Premier ministre du Sénégal, Mamadou Dia, fait toujours l'objet d'un ostracisme qui ne dit pas son nom. Aucun édifice public (avenue, stade, école...) ne porte son nom. Son œuvre est quasiment occulté par certains historiens, au point qu'il est presque un inconnu pour la génération montante.
Il est grand temps de réhabiliter la mémoire et l’œuvre de ce grand patriote, qui s'est battu sans relâche pour notre véritable indépendance économique; pour la liberté des peuples d'Afrique de décider par eux-mêmes et pour eux-mêmes des modèles de développement qu'ils estiment les mieux adaptés à nos réalités socio-culturelles
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