25 ans après, le Sénégal accueille à nouveau le concours d’agrégation du CAMES
L’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) va abriter pour la première fois depuis 1999, la 22e session du Concours d’agrégation en sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion du CAMES. En effet, la communauté universitaire africaine s’est donné rendez-vous à Dakar pour magnifier le savoir, la rigueur scientifique et le mérite.
Présidant la cérémonie d’ouverture au nom du Premier ministre Ousmane Sonko, le Pr. Daouda Ngom a souligné la portée symbolique et académique de l’événement.« Le concours d’agrégation s’inscrit pleinement dans la mission de l’université centrée sur la recherche et l’innovation », a affirmé le ministre, rappelant que son département accorde une attention particulière à la formation des formateurs et au renforcement de la qualité académique. Le Sénégal, qui n’avait plus accueilli cette épreuve d’excellence depuis plus d’un quart de siècle, voit dans ce retour un signe de confiance renouvelée du CAMES à l’endroit de son système universitaire.« Ce choix honore notre pays et témoigne de la vitalité de notre diplomatie académique », a déclaré le Pr. Ngom.
L’université sénégalaise, un ancrage africain assumé
Revenant sur la trajectoire historique de l’université sénégalaise, le ministre a rappelé sa vocation panafricaine, de l’École africaine de médecine de Dakar en 1917 à l’actuelle université Cheikh Anta Diop. « L’Afrique est inscrite au frontispice de l’université sénégalaise. C’est ici que s’est formée une bonne partie de l’élite scientifique, intellectuelle et politique post-indépendance du continent », a-t-il rappelé, soulignant que les universités sénégalaises accueillent aujourd’hui des étudiants issus de plus d’une cinquantaine de nationalités.
S’adressant aux candidats, le Pr. Ngom a tenu à leur adresser des mots d’encouragement et de résilience.« L’échec est consubstantiel à la profession universitaire. Mandela ne disait-il pas : “Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends », a-t-il cité, avant d’ajouter que « nos déceptions scientifiques d’aujourd’hui préparent souvent nos gloires académiques de demain ».
Il a également salué la rigueur du processus d’évaluation du CAMES, qu’il qualifie d’« outil précieux pour les États membres soucieux de bâtir un modèle d’enseignement supérieur reconnu à l’international ».
Commentaires (1)
Les raisons de la colère d’Aïssatou Diop Fall (par Marvel NDOYE:
Aissatou Diop Fall éprouve une haine devenue maladive envers Ousmane Sonko au point que 99% de tout ce qui sort de sa bouche du Lundi au Dimanche, ce sont soit des gros mots à l’endroit de Sonko, soit des mensonges préfabriqués, soit des éléments de langage du camp des ordures qu’elle défend.
Les raisons de cette haine maladive n’ont rien d’idéologique ou autre. Cette haine a 3 sources :
1° Une raison mercantile.
Sous l’ère du tyran cleptomane Macky Sall, il fallait s’afficher anti-Sonko pour obtenir des passe-droits, gagner des marchés complaisants, ou recevoir des enveloppes d’argent sale. Alors ADF, comme tout bon chasseur de primes a rejoint le clan de la vermine anti-Sonko.
Plus la chute du tyran et de sa coalition au pouvoir se précisait, plus les intérêts de ADF étaient menacés, plus elle devenait hystérique, vulgaire, nerveuse, et baveuse vis-à-vis de Sonko.
2° La révélation accidentelle de Farba
Farba a révélé par mégarde, alors que les micros étaient ouverts, ce qu’il faisait avec ADF quand elle vient la voir. Au lieu de s’en prendre à elle-même ou d’en vouloir à Farba, ADF impute à Sonko cette Téra-humiliation qui la suivra toute sa vie, suivra sa progéniture et les générations à venir. D’ailleurs son mari n’a pas attendu la monnaie, comme tout homme aurait fait de même.
ADF considère ainsi que c’est Sonko et son ange protecteur qui lui ont tendu un tel piège. Cette révélation de Farba a détruit sa vie même si elle fait semblant d’avoir oublié. Ses tentatives de banaliser la chose n’ont fait que confirmer. Elle sait que l’ensemble des Sénégalais ne la voient plus que comme Aissatou Diop Fall. Elle sait donc qu’elle n’a plus rien à perdre en matière d’honneur, de dignité, de respect de soi. N’importe quelle autre femme se serait suicidée, mais elle a décidé de ne pas le faire dans le seul but d’assouvir sa vengeance contre Sonko.
3° La fin de son Tok Mouy Dokh
La chute du régime APR/BBY a aussi sonné le glas de ses magouilles et privilèges indus. Ses contrats ou conventions sans contenu réel ont été annulés. Les prêts complaisants en contrepartie de ses insultes et mensonges contre Sonko ont pris fin. Maintenant il va falloir travailler honnêtement et rembourser, ce qui la rend chaque jour un peu plus folle de rage. Là encore, elle en impute toute la responsabilité à Ousmane Sonko.
Voilà donc les 3 principales raisons qui ont conduit ADF à la démence, à décider de réserver le restant de sa vie à la vengeance contre Ousmane Sonko. Elle l’a dit sans détour, et on l’a entendue de nos propres oreilles, en ces termes : « La seule raison de vivre de ma télé, c’est d’insulter Ousmane Sonko. Et j’accueillerai sur mon plateau quiconque insultera Sonko ».
ADF a donc plus besoin de séances de psychiatrie, que d’emprisonnement. Au fond elle vie chaque de plus comme un cauchemar. Ses fréquentations se limitent à quelques racailles ou mange-mils qui font semblant de n’avoir jamais entendu ses aveux ou la révélation de Farba.
Ceux que la vie de cette névrosée intéresse se doivent de l’aider. A bon entendeur !!
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