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Mauritanie : Une trentaine de Sénégalais expulsés, d’autres arrêtés

Auteur: igfm

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Mauritanie : Une trentaine de Sénégalais expulsés, d’autres arrêtés

Des ressortissants sénégalais vivant en Mauritanie ont été sommés de quitter le pays par les autorités mauritaniennes.  Selon la radio Rfm, cela fait suite aux incidents survenus lors de la présidentielle. Ces sénégalais seraient en situation irrégulière. Plus d’une centaine de ressortissants de l’Afrique de l’Ouest parmi eux des sénégalais, soupçonnés d’avoir participé aux affrontements survenus après la proclamation des résultats qui donne le Général Gazouani vainqueur, sont arrêtés et incarcérés dans les prisons mauritaniennes.

Auteur: igfm
Publié le: Mercredi 03 Juillet 2019

Commentaires (21)

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    Anonyme il y a 6 ans

    tous ça c'est les gouvernements des autres pays comme le Sénégal et le mali. si la Mauritanie expulse mes ressortissants j'expulse ces ressortissant avec les mains vide ils n'apporteront même pas un sac et je les conduit directement aux frontières c'est tout.

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    Anonyme il y a 6 ans

    tous ça c'est les gouvernements des autres pays comme le Sénégal et le mali. si la Mauritanie expulse mes ressortissants j'expulse ces ressortissant avec les mains vide ils n'apporteront même pas un sac et je les conduit directement aux frontières c'est tout.

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    gary il y a 6 ans

    salam, le problème en mauritanie c'est le racisme, les naars ne veulent pas que les noirs aient une forte représentation, du coup pour continuer à tenir le pouvoir et maintenir leur domination, ils se servent de prétextes non valables pour taxer certains individus d'étrangers
    tenez-vous bien, si un citoyen noir veut une pièce d'identité ou une nationalité on lui demande de fournir l'extrait de naissance de son arrière grand mère ou grand père alors que ce ne'est pas le cas si le demandeur est blanc. cela veut dire ce que cela veut dire

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    Anonyme il y a 6 ans

    tous ça c'est les gouvernements des autres pays comme le Sénégal et le mali. si la Mauritanie expulse mes ressortissants j'expulse ces ressortissant avec les mains vide ils n'apporteront même pas un sac et je les conduit directement aux frontières c'est tout.

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    Anonyme il y a 6 ans

    tous ça c'est les gouvernements des autres pays comme le Sénégal et le mali. si la Mauritanie expulse mes ressortissants j'expulse ces ressortissant avec les mains vide ils n'apporteront même pas un sac et je les conduit directement aux frontières c'est tout.

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    Anonyme il y a 6 ans

    tous ça c'est les gouvernements des autres pays comme le Sénégal et le mali. si la Mauritanie expulse mes ressortissants j'expulse ces ressortissant avec les mains vide ils n'apporteront même pas un sac et je les conduit directement aux frontières c'est tout.

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    N’exsiste pas il y a 6 ans

    Le Marco araison de dire que la mauritanie n’exsiste pas c le president senghor qui a brade notre pays pour des raisons politique

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    oui il y a 6 ans

    premierement le mot toucouleur n existe que pour toi. Nous sommes alpoularen...en plus, fous nous la paix.

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    il y a 6 ans

    Vous avez vu leur equipe nationale ? Pas un seul Naarou Baydane ! Dans ce pays d Apartheit ils sont coutumiers des faits. Ils expulseraient meme des joueurs de l equipe nationale et diraient qu ils sont des etrangers. Si le Senegal et le Mali n ont pas de caractere pour regler ce probleme de racisme anti noirs en Mauritanie, cette Affaire doit etre portee a L UA et qu on en finisse !

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    Lune il y a 6 ans

    Pour ce qui peuvent le faire, allez sur lefigaro.fr, vous trouverez un article édifiant sur un aspect révoltant de ce pays.

    "ENQUÊTE - Malgré l’abolition de cette pratique en 1981, les Haratines, noirs de peau, paient encore le prix de la servitude à laquelle ils furent longtemps réduits par les Maures. Le nouveau président, Mohamed Ghazouani, promet de corriger des inégalités sociales qui charrient un fort ressentiment et minent la cohésion du pays.
    De notre envoyé spécial à Nouakchott
    Le score de Biram Ould Dah Ould Abeid (18,59 %), arrivé deuxième à l’élection présidentielle de juin devant tous les autres opposants, est un sérieux avertissement. En Mauritanie, la question de l’esclavage continue de peser sur une société qui menace de se fragmenter, et elle a désormais trouvé en Biram, comme on l’appelle ici, son héraut. Autant de raisons qui devraient conduire le nouveau président élu, Mohamed Ghazouani, à respecter ses engagements envers les plus démunis, pour lesquels, parmi diverses promesses sociales, il entend rebâtir «une école publique de la République» et engager une réforme foncière.
    Biram, qui a été élu pour la première fois aux législatives du début de l’année, appartient à la caste des Haratines, les anciens esclaves, dont il défend la cause avec autant d’acharnement que d’outrance. Ces propos et actions ont plusieurs fois justifié, aux yeux du pouvoir, son incarcération, en cette Mauritanie qui, ces dernières décennies, a moins emprisonné les esclavagistes que ceux qui les combattent.
    «L’État est dirigé par des esclavagistes, auxquels on ne peut pas demander de lutter contre l’esclavage, puisque c’est leur mode de vie?!»?
    Biram
    À Nouakchott, la capitale, la mauvaise conscience, les mots et les codes d’une société hiérarchisée en clans, castes et tribus enveniment rapidement le débat sur l’esclavage qui, depuis la fin des années 1990, sépare ceux affirmant que la servitude est encore largement répandue de ceux qui ne voient plus que les «séquelles» économiques et sociales d’un fléau disparu. Peu ayant été fait pour concrètement sortir du dénuement les plus défavorisés, la société mauritanienne, éminemment conservatrice, continue ainsi de se déchirer, souvent selon les frontières séparant les trois groupes qui la composent: les Maures, Arabo-Berbères au teint blanc, qui détiennent tous les pouvoirs ; leurs anciens esclaves, les Haratines, noirs de peau avec lesquels ils partagent la même culture et la même langue, le hassania, l’arabe mauritanien ; et, enfin, les Afro-Africains, d’origines sonikée, wolofe ou peule, qui ont le français en partage, mais ne pratiquent généralement pas le hassania.
    «Les lois anti-esclavagistes sont en conflit avec la loi musulmane»
    Biram est né libre, il y a 54 ans. Son père l’était déjà. En Mauritanie, l’esclavage n’est heureusement plus ce qu’il était jadis, et même ce qu’il fut jusqu’au début des années 1970, quand la grande sécheresse frappant le Sahel poussa des milliers de Haratines à fuir des sols devenus incultivables pour s’installer en ville, loin de leurs anciens maîtres. Mais les quelques affaires mises en avant par les associations de défense des droits de l’homme prouvent qu’il existe encore en Mauritanie, ici ou là, des cas d’esclavage «traditionnel». L’avocat El Id Mohameden M’Bareck a ainsi fait condamner, pour «pratiques esclavagistes», plusieurs membres d’une famille qui, après avoir laissé partir une mère, exploitait encore deux de ses enfants en 2011. Tout juste entrés dans l’adolescence, n’ayant jamais été à l’école, ces deux garçons étaient utilisés pour garder des bêtes ou à des tâches ménagères, sans jamais être payés, et en étant parfois battus. «Il y a eu une affaire jugée à Néma, deux à Nouadhibou, une à Nouakchott», égrène l’avocat. Mais, assure-t-il, en accusant «une stratégie de déni qui persiste» de la part d’une justice traînant des pieds, «il y a beaucoup de dossiers pendants et encore plus de plaintes»…
    Au QG de son mouvement, où se pressent quémandeurs et sympathisants, Biram est plus harangueur: «L’État est dirigé par des esclavagistes, auxquels on ne peut pas demander de lutter contre l’esclavage, puisque c’est leur mode de vie!» Passé par l’ONG SOS-Esclave, Biram a fait en 2012 une entrée fracassante sur la scène publique mauritanienne en brûlant des codes de jurisprudence malékite. L’islam en principe interdit à un musulman d’asservir un autre musulman ; mais au cours des siècles la pratique n’a jamais suivi cette règle, et les livres de droit islamique, encore utilisés par les cadis mauritaniens dans des affaires privées, justifient la soumission de l’esclave au maître. D’où l’autodafé organisé par Biram, qui n’en démord pas: «Ces livres sont enseignés à tous les juges et ils sont la principale source de la justice en Mauritanie ; les lois anti-esclavagistes sont en conflit avec la loi musulmane, et il faut changer la Constitution»…
    On voit mal comment la République islamique de Mauritanie, qui est gagnée, comme tous les pays du Sahel, par l’intransigeance wahhabite et la bigoterie salafiste, pourra laisser sa justice tourner le dos aux références musulmanes. Peu importe, la Constitution et le droit mauritaniens s’ancrent aussi dans une modernité séculière. Sur l’esclavage, l’arsenal juridique n’a d’ailleurs cessé d’évoluer, preuve, selon les points de vue, que ce fléau a longtemps été nié, ou qu’il n’y a désormais plus de raison de dissimuler ce qui appartient au passé. À l’indépendance du pays, l’égalité entre citoyens a été érigée en principe constitutionnel, puis l’esclavage a été interdit en 1981, criminalisé en 2007, avant qu’une nouvelle loi, en 2015, charge trois tribunaux spéciaux de juger ce qui est aujourd’hui qualifié de «crime contre l’humanité».
    L’IRA, le mouvement que Biram a créé en 2008, comme le proclame son intitulé - «Initiative pour la Résurgence du mouvement Abolitionniste» - a favorisé cette évolution du droit sur l’esclavage en Mauritanie par ses actions coup de poing fortement médiatisées, et ses relais dans le monde occidental. Supporté notamment par des ONG nord-américaines, Biram rappelle ces leaders noirs qui jadis prônaient la révolution aux États-Unis. Son objectif politique est d’unir, en utilisant le combat contre l’esclavage comme un levier, les déshérités, Haratines et Afro-Africains, contre les Maures, plus nantis, selon une bonne vieille lutte des classes séparant grossièrement les Noirs des Blancs.
    «Les Haratines restent ségrégués, c’est le fait de l’État, qui n’a pas eu réellement la volonté de régler cette question»
    Messaoud Ould Boulkheir, engagé depuis la fondation, en 1978, de son mouvement el-Hor, dans le combat pour l’émancipation des anciens esclaves
    Les réalités mauritaniennes sont pourtant multiples et moins caricaturales. Jamais un Afro-Africain ne priera derrière un Haratine, souligne un membre de cette dernière communauté. Le racisme social entre Afro-Africains, divisés en castes, est également très fort. Quant aux Haratines, qui représentent peut-être 40 % de la population, ils n’ont pas la même vie dans les villages et dans les villes, ils sont plus ou moins conscientisés, et plus ou moins dépendants, économiquement ou psychiquement, de leur ancien environnement tribal. Il n’en demeure pas moins qu’ils assurent la domesticité des familles maures, mais aussi celle des Haratines ou Afro-Africains qui en ont les moyens, et tous les petits boulots, car, étant généralement très peu instruits, ils restent coincés, dans des conditions misérables, au plus bas de l’échelle sociale mauritanienne. À Nouakchott, des familles entières vivent ainsi sous des tentes ou des abris de fortune, et ne quittent leurs terrains vagues pelés que pour être bonnes, vendeurs de recharges téléphoniques, livreurs…
    Slogans de campagne
    Ayant dépensé environ 20 millions de dollars depuis sa création en 2013, l’agence Tadamoun, fondée pour lutter contre les séquelles de l’esclavage, est surtout intervenue dans les zones rurales. Elle a bâti plus de 88 écoles, construit quelque 23 barrages, distribué charrues et moulins à grains. Son directeur, Hamdi Ould Mahjoub, plaide pour une réforme foncière, qui permettrait de redistribuer la terre. «Si la propriété traditionnelle ne permet pas d’identifier clairement le propriétaire, dans le droit islamique la terre appartient à celui qui la fait vivre», rappelle-t-il. «Reste, ajoute-t-il, que l’éducation est l’ascenseur social le plus indiqué.»
    Tel était l’un des principaux slogans de la campagne présidentielle de Mohamed Ghazouani. «Depuis que l’école privée est devenue une entreprise», a-t-il expliqué au Figaro, «les enfants de familles riches ont eu tendance à déserter l’école publique, qui est presque à l’abandon, et vers laquelle se tournent les enfants des familles pauvres. Il est urgent de rebâtir une école publique.» Son conseiller politique, Mohamed Salem Ould Merzoug, un haut fonctionnaire appartenant à la communauté haratine, n’hésite pas à parler d’«une forme de discrimination positive temporaire», afin de permettre à la population issue de la caste des anciens esclaves de rattraper son retard sur le reste de la société mauritanienne.
    «Nous, les Maures, nous avons amené l’islam, nous avons été jadis des esclavagistes, puis des victimes des Français, mais c’est le passé?; nous allons continuer à créer notre État mauritanien avec tous ceux qui le veulent.»
    Daoud Ahmed Aicha, un défenseur de la cause maure
    «Si les Haratines restent ségrégués, c’est le fait de l’État, qui n’a pas eu réellement la volonté de régler cette question», souligne Messaoud Ould Boulkheir, engagé depuis la fondation, en 1978, de son mouvement el-Hor, dans le combat pour l’émancipation des anciens esclaves. Celui qui fut le premier Haratine à devenir président de l’Assemblée en veut au président sortant, Mohamed Abdel Ould Aziz, qui, selon lui, «a eu la plus mauvaise attitude qui soit vis-à-vis de ce problème». Niant la réalité de l’esclavage, aux yeux de Boulkheir, l’ex-président Aziz aurait aussi joué un jeu dangereux avec Biram, en mettant en scène le «discours très virulent, incitant à la haine et la guerre civile» de l’adversaire qu’il s’était choisi.
    De fait, durant les dix années de la présidence Aziz, les tensions sur cette question n’ont cessé de monter. Se présentant comme un défenseur de la cause maure, Daoud Ahmed Aicha a ainsi eu des propos aussi tranchés que ceux de Biram, qui ont choqué nombre d’Haratines et d’Afro-Africains. «Je ne suis pas complexé par l’Histoire», a-t-il déclaré au Figaro. «Nous, les Maures, nous avons amené l’islam, nous avons été jadis des esclavagistes, puis des victimes des Français, mais c’est le passé ; nous allons continuer à créer notre État mauritanien avec tous ceux qui le veulent. Et nous n’allons pas nous aplatir. Biram, qu’est-ce qu’il a fait concrètement pour les Haratines? C’est un opportuniste, qui ne pense qu’à son avenir politique…»
    De plus en plus instrumentalisé, le débat sur l’esclavage charrie désormais beaucoup de ressentiments communautaristes et mine dangereusement la société mauritanienne. Et c’est le principal défi du nouveau président que de parvenir à apaiser un climat politique de plus en plus tendu.
    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 03/07/2019."

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    Maurus=Brun il y a 6 ans

    Affaire de mauritaniens, le Sénégal héberge déjà d'éternels réfugiés mauritaniens à qui il a été offert la nationalité sénégalaise, mais certains d'entre eux l'ont refusée. La question raciale est très prégnante en Mauritanie. Les maures "blancs" ne veulent pas d'un président Obama pour ne pas dire plus.

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    abatou il y a 6 ans

    exactement ! ces descendants de bédouins ne veulent pas des noirs alors qu'historiquement ce sont les noirs qui étaient les 1ers habitants autochtones, comme les indiens d'Amériques, ainsi c'est après qu'envahissaient les ancêtres de ces nars aujourd'hui devenu des untellectuels bédouins et sauvages dans l'esprit et le coeur, en plus c'est Sadam hussouin qui vait donné l'idée à Mawouya Taya de supprimer tout nègre mauritanien, en faisant de ce pays à cheval entre l'afrique blanche et l'afrique, d'un pays purement arabe, ça craint dans ce pays du gua narr !

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    Aicha il y a 6 ans

    Après 4ans de mariage je suis tombé enceinte,JE VOUS FAIT UN TÉMOIGNAGE MIRACULEUX Salut je m'appelle Aicha GUEYE et je voudrais partager une histoire incroyable que j’ai traversée il y a de cela 3 ans. Juste après le mariage mon mari et moi avions décidé d’avoir un enfant, sans savoir que nous nous sommes engagés dans un problème sans fin, 2 ans après le mariage je n’arrivais toujours pas à tomber enceinte ce qui commençait sincèrement à nous inquiéter, dans la troisième année mon mari a décidé que je suive des traitements appropriés dans différents centres de santé sans aucun résultat. J’étais complètement désespéré. Mais par la grâce de Dieu l'une de mes amies qui avait eu ce genre de problème et dont elle a eu satisfaction par le biais d'un ... nommé HOUNON AZE GUÉRISSEUR TRADITIONNEL ( chercheur en Médecine Africaine ) . Au premier abord lorsqu'elle m'avait parlé de ce Mr je ne croyais pas j'avais des doutes et un peu peur, ne savais m'engager ou pas,mais au fur des jours vu ma situation elle insiste à ce que j'aille faire au moins la connaissance du maître en question, j’en ai parlé à mon mari et c’est de là, que nous avions décidé ensemble de contacter ce monsieur pour le même problème, et c'est comme cela que je suis heureuse aujourd'hui en vous parlant.Le maître nous a donné des recommandations à suivre après un rituel effectué par lui-même et des tisanes à base des plantes, c’est là il nous a donné un délai de 3 mois, je vous assure qu’au bout de 1 mois j’ai commencé à avoir des nausées et j’ai immédiatement effectué un test de grossesse qui s’est révélé positif.Mon mari était très content et moi aussi J’ai retrouvé la joie de vivre grâce au maître et je vous le recommande vivement si vous aviez le même problème. Vous pouvez contacter DAH AZE HOUNON MARABOUT VOYANT, GUÉRISSEUR TRADITIONNEL (chercheur en Médecine Africaine ,Veuillez consulter son site pour prendre ces contacts : voici son site : Appel(whatsapp+Imo+Viber) : 0022966547777

    www.grand-marabout-retour-affectif.fr

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    il y a 6 ans

    Putaiiinnn qu'est ce que vous allez faire dans ce pays???

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    malal il y a 6 ans

    le problème est que les maures sont entrain de réussir leur objectif. nous faire croire que tous le noirs mauritaniens sont des sénégalais. et nous tombons dans le piege. des villages peuplés des gens qui ont comme non de familles sy, diop, diaw , diagana ( tous les noms qui peuvent se reyrouver au sénégal) existent depuis des millenaires. l’état mauritaniens leur refusent la nationalité. et toute personne n 'ayant pas la pièce d'identité, fusse t elle être la depuis 200 ans est "sénégalais".

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    deugue dji il y a 6 ans

    Que ces mauritaniens se battent ppur faire reconnaîtte leurs droits. Le Sénégal n'a a dire dans les affaires intérieures de la Mauritanie.

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    il y a 6 ans

    le probeme avec la Mauritanie : on ne sait chez les negro africains ,qui est senegalais et ,qui ne l'est pas,les etnnies sont telllement melangés et les parentés dans la meme ethnie entre les deux rjves du fleuve si etroites qu'on ne s'y retrouve pas ,un toucouleur mauritanien peut facilement devenir senegalais et vis versa ,plutot vis que versa

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    il y a 6 ans

    le probeme avec la Mauritanie : on ne sait chez les negro africains ,qui est senegalais et ,qui ne l'est pas,les etnnies sont telllement melangés et les parentés dans la meme ethnie entre les deux rjves du fleuve si etroites qu'on ne s'y retrouve pas ,un toucouleur mauritanien peut facilement devenir senegalais et vis versa ,plutot vis que versa

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    lexx12 il y a 6 ans

    foutre le bordel dans un pays d'accueil en quoi les elections en mauritanie vous concernent elles; la mauritanie devait les punir

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    lexx12 il y a 6 ans

    foutre le bordel dans un pays d'accueil en quoi les elections en mauritanie vous concernent elles; la mauritanie devait les punir

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    papis il y a 6 ans

    tu a raison cest du nimporte quoi

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    deugue dji il y a 6 ans

    Apprenez à respecter les lois de vos pays d’accueil, sinon ils vous fouteront dehors!

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    reply_author il y a 6 ans

    ~

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    il y a 6 ans

    Le temps s'est arrêté en Mauritanie un pays qui lutte encore contre l’esclavagisme ils sont a des années lumière

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    reply_author il y a 6 ans

    Le problème est qu'ils ne luttent pas contre l'esclavage mais le maintiennent encore très haut.

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    Mamadou il y a 6 ans

    est ce qu'on peut savoir quand les autorités sénégalaises vont réagir ?

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    Mamadou il y a 6 ans

    Pour bâtir une nation, il ne faut pas seulement soutenir l'équiep de foot nationale, il faut aussi défendre les citoyens à l'intérieur comem à l'extérieur. Que fait Amadou BA ?

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    reply_author il y a 6 ans

    Sonko avait bien dit que mauritanie daff niou yapp

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    reply_author il y a 6 ans

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    reply_author il y a 6 ans

    réagissent à quoi? des citoyens Sénégalais en situation irrégulière qui participent sous le couvert d’élection au pillage de biens de citoyens de leur pays d'accueil, c'est du jamais vu. S'il y a réaction, il y aura une contre réaction musclée qui mettra à la porte des milliers de citoyens Sénégalais qui vivaient tranquillement de leur boulot et qui faisaient vivre des milliers de familles Sénégalaises.

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    reply_author il y a 6 ans

    réagissent à quoi? des citoyens Sénégalais en situation irrégulière qui participent sous le couvert d’élection au pillage de biens de citoyens de leur pays d'accueil, c'est du jamais vu. S'il y a réaction, il y aura une contre réaction musclée qui mettra à la porte des milliers de citoyens Sénégalais qui vivaient tranquillement de leur boulot et qui faisaient vivre des milliers de familles Sénégalaises.

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    reply_author il y a 6 ans

    réagissent à quoi? des citoyens Sénégalais en situation irrégulière qui participent sous le couvert d’élection au pillage de biens de citoyens de leur pays d'accueil, c'est du jamais vu. S'il y a réaction, il y aura une contre réaction musclée qui mettra à la porte des milliers de citoyens Sénégalais qui vivaient tranquillement de leur boulot et qui faisaient vivre des milliers de familles Sénégalaises.

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    reply_author il y a 6 ans

    réagissent à quoi? des citoyens Sénégalais en situation irrégulière qui participent sous le couvert d’élection au pillage de biens de citoyens de leur pays d'accueil, c'est du jamais vu. S'il y a réaction, il y aura une contre réaction musclée qui mettra à la porte des milliers de citoyens Sénégalais qui vivaient tranquillement de leur boulot et qui faisaient vivre des milliers de familles Sénégalaises.

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    reply_author il y a 6 ans

    réagissent à quoi? des citoyens Sénégalais en situation irrégulière qui participent sous le couvert d’élection au pillage de biens de citoyens de leur pays d'accueil, c'est du jamais vu. S'il y a réaction, il y aura une contre réaction musclée qui mettra à la porte des milliers de citoyens Sénégalais qui vivaient tranquillement de leur boulot et qui faisaient vivre des milliers de familles Sénégalaises.

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