Enquête sur les violences politiques : Cinq familles de victimes entendues, trois autres convoquées ce mardi
L’enquête sur les violences politiques survenues entre 2021 et 2023 se poursuit activement à la Section de Recherches de la Gendarmerie de Colobane. Selon des informations de Seneweb, cinq représentants de familles de victimes décédées ont été entendus, ce lundi, par les enquêteurs chargés du dossier.
Pour la journée du mardi, trois autres parents de victimes sont convoqués pour être entendus à leur tour. Il s’agit d’Issa Sarr et d’Assane Ndiaye, respectivement pères de Bassirou Sarr et Mor Ndiaye, tous deux décédés lors des manifestations. Leur audition, initialement prévue lundi, a été reprogrammée pour ce mardi. Le père de Lassana Diadié Diary Sow sera également entendu dans le cadre de ces investigations.
Commentaires (4)
j'attend toujours l'audition des familles des deux jeunes filles brûlées vives dans le bus de yarakh, de la famille de doudou ly, agent de la mairie de médina tué par des manifestants en mars 2023, de celle du gendarme Malang man tué par balle à Diamniadio le 2 juin 2023 etc
Aujourd’hui, il semble que seul Pastef cherche à trop judiciariser son mandat, en insistant sur les affaires politiques et judiciaires passées. Pourtant, la réalité est que la majorité des Sénégalais ne se passionnent pas pour les événements de 2021 à 2024. Leur principale préoccupation, ce sont les questions concrètes du quotidien : le coût de la vie, l’accès aux produits de première nécessité, l’électricité, le logement, et l’emploi. Il suffit de constater le faible nombre de vues, de commentaires et de partages des articles traitant de ces affaires pour comprendre que ces débats politiques intéressent peu la population. La vraie inquiétude des Sénégalais se situe ailleurs : dans leur capacité à subvenir à leurs besoins et à assurer un avenir meilleur pour leurs familles. En insistant trop sur la judiciarisation, on risque de déconnecter le discours politique des attentes réelles des citoyens.
Aujourd’hui, il semble que seul Pastef cherche à trop judiciariser son mandat, en insistant sur les affaires politiques et judiciaires passées. Pourtant, la réalité est que la majorité des Sénégalais ne se passionnent pas pour les événements de 2021 à 2024. Leur principale préoccupation, ce sont les questions concrètes du quotidien : le coût de la vie, l’accès aux produits de première nécessité, l’électricité, le logement, et l’emploi. Il suffit de constater le faible nombre de vues, de commentaires et de partages des articles traitant de ces affaires pour comprendre que ces débats politiques intéressent peu la population. La vraie inquiétude des Sénégalais se situe ailleurs : dans leur capacité à subvenir à leurs besoins et à assurer un avenir meilleur pour leurs familles. En insistant trop sur la judiciarisation, on risque de déconnecter le discours politique des attentes réelles des citoyens.
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