Le journaliste Babacar Fall de la RFM libéré après une journée de garde à vue
Le journaliste Babacar Fall, membre du groupe Futurs Médias (RFM), a été remis en liberté dans la soirée, après avoir passé la journée en garde à vue. Son arrestation, intervenue dans la matinée, avait suscité une vive émotion dans le milieu de la presse et sur les réseaux sociaux.
Selon les premières informations recueillies, Babacar Fall avait été convoqué puis retenu par les services de police pour des motifs qui n’ont pas encore été officiellement communiqués. Après plusieurs heures d’audition, il a finalement été autorisé à regagner son domicile.
Sa libération a été accueillie avec soulagement par ses confrères, qui ont salué le professionnalisme et l’engagement du journaliste. Plusieurs organisations de la presse ont également exprimé leur préoccupation face à la multiplication des interpellations de journalistes, appelant au respect des libertés individuelles et de la liberté d’informer.
En attendant plus de précisions sur les raisons de sa garde à vue, Babacar Fall, connu pour son ton franc et ses analyses tranchées sur l’actualité nationale, retrouve enfin ses proches après une journée pleine d’émotions.
Commentaires (51)
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Il fut reporter et pas transformer.. Il est rentre chez lui parce que son etat de sante ne permet pas une detention. C'est un homme malade avec une grande gueule.
avouez plutôt que c’est la pression qui augmente de minutes en minutes que vous n’arrivez plus à gérer cause de sa liberté bande de manipulateurs
Babacar Fall n a même pas bougé là où il était soss rek
Et dire qu'on s'est tellement battu pour ses gens là.
C'est vraiment une très grande déception.
Vite qu'on dégage ses apprentis.
Dommage pour le sénégal pays tant aimé.
Au lieu de défendre la liberté de la presse legui tu es ridicule et tout petit
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
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