« On a décidé d’effacer les chroniqueurs. Cela viole gravement la séparation des pouvoirs. La démocratie est en train de s’effriter. Nous sommes en danger, alors que toutes les conditions sont réunies pour garantir notre sécurité. Je plaide la relaxe pure et simple. Celui qui accuse doit apporter la preuve. La plainte visait la diffamation, mais le parquet savait que cela ne tenait pas. Bachir Fofana n’avait pas à être là. Une simple clarification de l’Assemblée nationale aurait suffi. Jusqu’à présent, on ignore qui a remporté le marché. Aucun élément contraire n’a été produit. C’est ça, la transparence ? Jusqu’à preuve du contraire, ce que Bachir Fofana a dit est vrai », a déclaré Me El Hadji Diouf, avocat de Bachir Fofana.
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