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"Un pays vit de fiscalité" : Gorgui Wade Ndoye répond à Sonko, "la presse du Sénégal agonise"

Auteur: Mouhamed CAMARA

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"Un pays vit de fiscalité" : Gorgui Wade Ndoye répond à Sonko, "la presse du Sénégal agonise"

Face au secteur privé, Ousmane Sonko a souligné l'importance de la fiscalité. "Un pays vit de fiscalité, mais elle ne doit pas l'étouffer", a-t-il déclaré.

Pourtant, un secteur pâtit de la nouvelle politique du gouvernement Diomaye Faye - Ousmane Sonko : la presse. Ce que le journaliste El Hadji Gorgui Wade Ndoye a signifié au chef du gouvernement. "Monsieur le Premier Ministre, la Presse du Sénégal est étouffée, s'étouffe et agonise ! Souffles rédempteurs ! Souffles vivicateurs ! Souffles de Renaissance !", a-t-il écrit.

Le dernier exemple en date de cette crise qui touche la presse est le communiqué du Groupe Futurs Médias, qui a annoncé une restructuration interne face aux problèmes financiers.

Auteur: Mouhamed CAMARA

Commentaires (11)

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    Diop il y a 1 jour

    Monsieur gorgui Ndoye pour être sérieux et responsable il faut commencer d'abord par dire la vérité à tes confrères de la presse c'est ce qu'a fait l'avocat MameAdama gueye hier soir sur le plateaudemaimouna ndour faye. Ils ont accumulé des dettes fiscales immenses pendant des années et ne donnent aucun signe de vouloir le reconnaître et donner des gages pour les payer. Avant de demander des droits il faut d'abord remplir ses devoirs.

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    bangala il y a 22 heures

    YOUTUBE Va tuer de télés, des journaux etdes radios. Donc s'adapter ou périr.

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    AS il y a 1 jour

    A qui la faute si la presse agonise?
    Messieurs les journalistes, il faut réinventer votre modèle économique et changer de paradigme.
    Il faut que vous travailliez sur la qualité. Les Senegalais veulent bien acheter les journaux mais faudrait qu ils la trouvent. Le contenu et la qualité rédactionnelle laissent à désirer.
    Ceci est vrai aussi bien pour la presse ecrite que pour la presse parlée. Certains des journalistes prononcent mal certains mots en français pour la presse parlée - Television, radio , etc .Certains te diront , par exemple, estatut, escolaire, con dam ner , etc .

    En tout cas certains Senegalais ne mettront pas leur argent là où ils desapprennent . De plus l argent du contribuable est utile ailleurs.
    Aux jeunes journalistes. Il faut vous que vous vous cultiviez.

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    leBaolbaol TIGUI il y a 23 heures

    tu preferes vivre en suisse occupes de tes affaires

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    Abdou il y a 23 heures

    Des entreprises privées de presse ou de commerce de mécanique ou d industrie doivent faire face a leurs obligation ou fermer boutique. Arrêtez de faire le culte de la malhonnêteté .

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    Presse il y a 22 heures

    Certaines personnes de la presse sénégalaise ne sont pas logiques, pourquoi ces gens pensent l'état doit toujours les entretenir.
    Un pays pauvre avec 18M de sénégalais avec des centaines d'organe de presse(privés) ils servent à quoi réellement pour que l'état leur verse l'argent du contribuable.

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    Goor il y a 22 heures

    Gorgui si vous n'avez rien à dire faut se taire c'est mieux. Ça vous évitera de raconter du n'importe quoi

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    CITOYEN il y a 22 heures

    Vivement qu'elle passe de vie à trépas, cette presse pourrie. Payez vos impôts et cotisations sociales et revenez nous voir. Longtemps, cette presse était dans la manipulation, le mensonge et le parti pris. On a pas oublié votre posture de 2021 à 2024. Figurez-vous que certains de vos confrères ont annoncé la victoire de Amadou Ba aux dernières présidentielles. Et vous réclamez aujourd'hui l'aide à la presse. Pensez vous que vous la méritée ? Bon débarras

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    Blankagiga il y a 22 heures

    Le cri d'alarme de Gorgui Wade Ndoye sur la presse sénégalaise étouffée est un parfait exemple de dramatisation. La presse sénégalaise est en crise, non pas à cause d'une nouvelle politique fiscale, mais parce que son modèle économique est à bout de souffle. Accuser le gouvernement d'Ousmane Sonko d'être responsable de cette agonie, c'est se décharger d'une responsabilité qui incombe aux médias eux-mêmes.
    C'est une crise mondiale : le public s'est habitué à l'information gratuite, la publicité s'est déportée vers les plateformes numériques, et la presse traditionnelle n'a pas su s'adapter. Les problèmes du Groupe Futurs Médias ne sont qu'un symptôme de ce malaise bien plus profond.
    Demander à l'État de "sauver" la presse est un aveu d'échec. La renaissance ne viendra pas d'une subvention publique ou d'un allégement fiscal, mais d'une réinvention complète du métier : diversifier les revenus, innover dans le numérique, et surtout, produire un contenu qui justifie son coût.
    C'est une triste ironie que les médias, qui se veulent des sentinelles de la transparence, refusent de voir leur propre reflet dans le miroir. La presse sénégalaise est malade, mais elle est son propre pire ennemi.
    Sénégal sunu reew

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    Nabil il y a 21 heures

    GFM n est pas un groupe de presse mais un groupe de propagande aux mains de macky sall contre l opposition. Gfm ne beneficie des largesses du defunt regime et ne peut plus sunsister. Tant mieux. GFM groupe de fabrication de mensonges pour defendre macquis sale

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    Chouchou il y a 19 heures

    La presse s'y est mal prise, les patrons ont misé sur le mauvais cheval. Soyez neutres à l'avenir, informez juste et vrai rek. Action de la presse/réaction des autorités et puis quoi encore ?

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    Mamadou Lamine diedhioum il y a 14 heures

    Gorgui ta sortie est mal venue. On te connaissait plus réfléchi et mature que ça

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