Partie de plaisir contre iPhone 8
"J'ai une amie qui a vendu son corps en échange d'un iPhone 8", témoigne une jeune fille nommée Alima dans les colonnes du journal. Selon elle, cette amie "a couché avec un mec qui est un ami à moi. La fille avait besoin d'un iPhone 8, et lui de passer du bon temps. Ils ont trouvé un compromis et la fille s'est vendue à lui pour un iPhone 8".
De son côté, Thierno Kandji, raconte dans L'OBServateur avoir perdu son amoureuse à cause d'un iPhone 7. D'après lui, après 3 années de relation, sa fiancée l'a quitté car il était dans l'incapacité de lui offrir le téléphone qu'elle désirait. "Une matérialiste", dit-il, qui d'ailleurs n'a pas hésité à le recontacter lorsqu'il s'est affiché sur les réseaux sociaux muni du dernier iPhone 11.
"L'OBS nous traite de p… et ça passe"…
Sur les réseaux sociaux, les réactions n'ont pas tardé. L'humoriste Mame Balla Mbow est catégorique "de la même manière que les filles s'adonnent à la prostitution pour un iPhone, des hommes embrassent l'homosexualité ou le gigolisme".
Même son de cloche chez la blogueuse Jaly Badiane. "Les hommes se prostituent plus que les femmes", écrit-elle sur facebook. Elle estime que cet article de L'OBServateur est "pleins de stéréotypes et de préjugés".
Dans le groupe de femmes, "Femmes chics", le coup de gueule est passé par l'administratrice Mariama Kébé. Elle écrit "Donc nous femmes sénégalaises n'avons aucun amour propre pour notre corps, notre réputation et notre futur? C'est vraiment désolant".
Quant à la politicienne Aida Niang, elle n'y est pas allée de main morte. D'après elle, L'OBS, a tout simplement traité les femmes sénégalaises "de putes".
Commentaires (144)
UNE FEMME SE PROSTITUE AVEC UN HOMME.DONC FEMME PROSTITUée=homme prostitué..
et les hommes qui se prostituent pour l argent (pédophilie)
Vous vous sentez insultees mais c la verite. Un Iphone coute presque 750ooo cfa pour 1 modele neuf, des femmes se sont vendues pour moins d'un dixieme de ca, foutez nous la paix. Les hommes senegalais en savent bien quelque chose.
Il y'a de bonnes femmes ,dignes, morales et respectueuses mais les petasses materialistes sont de plus en plus nombreuses.
toute vérité n'est pas bonne à dire.
toute vérité n'est pas bonne à dire.
toute vérité n'est pas bonne à dire.
L'Obs a generalize mais la plupart de ce qu'il dit est vrai. Maintenant la prostitution n'est rien dans notre pays. Femme married no married you name it.
j' espère que ceux qui ont pondu cette merde n'ont pas aussi oublié leur maman, leur femme leur sœur dans la catégorie des femmes putes d'"iPhone" au Sénégal.
Au lieu d'écrire , l' Obs a préféré écrire , si le droit le permet, on devrait poursuivre l' Obs pour avoir pointé du doigt ttes les sénégalaises. Je reconnais par ailleurs que ce problème existe au Sénégal.
le probleme du senegal ;c est la presse;des hommes d affaire qui ne connaisse rien au journalisme ne sont interesse que par le gain;emploi des inconscients ignorants
Il ne faut pas généraliser!
On voit de tout et son contraire!
Pour les brebis égarées c'est leurs problèmes mais je pense à toutes celles qui se battent malgré les difficultés pour garder un peu de dignité.
Lobs il faut mettre en valeur ces braves femmes.
Vous cherchez toujours l'article merdique.
Yéneu nieup gni fi commenté ay sandwich, ay 500f, ak lénène ak lénène, yéna bone beu bokk bone.
lo thi guiss? goor you beuri di takhawalou thi deuk bi, démouniou, dikouniou. Dieu a pitié du pauvre et du misérable, ce que sont ces femmes-là. femme bi sou amone limou djeundé sandwich khéyna dou djaay boppam.
Bilay yéna bone. Yéna ngui condamné sène bopp thi kanamou yalla di ! Wa, Kolène yapp?! Jigeen dou mala di, Yalla ko sakk té beugeuko, khamni niou ci beuri dénio nééw dolé.
Niou dème beu fin ba rek, di nguène khamni doundou bi yémoule fi. Té fi sakh, lo déff guissko
L OBS a juste mis à nu une réalité celle de la prostitution déguisée à laquelle s adonne plein de filles au Sénégal pour moins que le prix d'un iphone. Une fois j'étais à Dakar pour une mission je suis allé dîner au Gondolier Virage et je vous assure que pour 3000f je suis reparti avec 2 copines dans ma résidence. Une autre histoire c'est avec une guichetière dans une banque de la place et j'en passe. Alors le journal n a fait que révéler ce que tout le monde connait. La fille sénégalaise en plus d être facile est malhonnête et hypocrite.
Les féministes d en haut feraient mieux de lancer de caravanes de sensibilisation au lieu de se victimiser alors qu au fond d elles mêmes elles savent que c'est un phénomène très répandu chez la gente féminine sénégalaise.
Tu es rentré avec deux prostituées et alors? C'est juste la preuve que t'es un looser incapable de séduire une femme sans débourser de l'argent et non que "les sénégalaises" sont des "prostituées matérialistes".
Tous ces connards dans les commentaires qui se targuent d'abuser de la vulnérabilité financière voire pauvreté de certaines femmes dans les quartiers populaires pour les attirer dans leurs lits sont à gerber!!
Y'à rien de moins minable que de devoir payer même si c'est un seul sandwich pour pouvoir baiser, alors vous devez plutôt la fermer aulieu de bomber vos muscles flasques.
En réalité la majorité des hommes sénégalais ( et là ce n'est pas une généralisation) sont tellement sales, incultes et mauvais au pieu que c'est un supplice que de coucher avec eux sans compensation matérielle!
Tous les jours, des milions d'hommes couchent avec des milions de femmes dans le monde et dans la respect mutuel avec ou sans mariage. Mais sénégalais, bou guissé sa pothie rek commencé di doule di dadjalé, thiaga par ci, filles facile par là... tellement, ils sont obsédés par le sexe féminin qu'il ne peuvent obtenir sans courir ou payer.
Dieu merci de m'avoir fait lesbienne sinon diaralone nama oute djeukeurou niak, indien, toubab, chinois tout sauf sénégalais.
Toutes les filles qui ont des iPhone 80% , moy loolou.
LOBS a dit haut ce que bcp pensent trop bas
Dès qu'on touche aux femmes bonjours le bla bla bla et les arguments à 2 balles. Trop d'hypocrites cet article a une part de vérité, les femmes sont de plus en plus calculatrices voire matérialistes. Arrêtez de vous voiler la face, la réalité est qu'aujourd'hui, les rangs de la prostitution gonflent de jour en jour pour des besoins purement matériels. Expliquez-nous comment presque toutes les filles ont un iPhone entre les mains, alors chez elles on peine à manger 3 fois par jours. Les cheveux naturels, fringues, appartes... proviennent de qui?
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Safara ci dina beuri ay goor....
Madou dénguèna fokk ni dolène fèy pour chaque femme bounguène teudé té dou sène diabar?!
Niouné détt way, nguène di bakkou.
Que cela soit écrit : Ils sont fiers de leurs péchés, de leurs abominations.
Narna saf sap
Yéneu nieup gni fi commenté ay sandwich, ay 500f, ak lénène ak lénène, yéna bone beu bokk bone.
Lo thi guiss? goor you beuri di takhawalou thi deuk bi, démouniou, dikouniou. Dieu a pitié du pauvre et du misérable, ce que sont ces femmes-là. Sou amone loumou djeundé sandwich khéyna dou djaay boppam.
Bilay yéna bone. Yéna ngui condamné sène bopp ni thi kanamou yalla di !
Niou dème beu fin ba rek
Les gars vraiment vous êtes entrain de niquer le business, ils se passent pire à dakar, ces genres d'articles et de discussions vont faire que certaines filles vont commencer à réfléchir, à se cacher ou à commencer à refuser certaines choses, faut pas nous emmerder quoi, laissez nous gérer quand même, fermez là aah
Moi j'ai croisé un rastaman jamaicain a Paris à la station gare du Nord il m' à dit qu'était à Dakar une fois mais que chaque jour il avait une fille sur son lit et que ça lui donne envi du retourner
Cet article ne parle pas de généralité mais c'est une réalité au Sénégal. Les femmes mettent plus en avant le matériel. Pour moins que le prix d'un IPHONE elles se donnent au premier venu alors ça ne m étonne pas cet article qui met le doigt sur une réalité dans le pays de la teranga. La quête de l'argent facile des iPhones aux cheveux naturels en passant par les vêtements chics la femme sénégalaise ne recule devant rien pour être bien vu respecté en apparence.
Dieu a créé la femme et la sacralisé donc son corps est sacré mais c'est dommage que certaines en fassent un Open Space juste pour des biens matériels.
Revoir l éducation est très important et surtout que la femme est le pilier du monde donc son image et son respect est capital.
Wassalam
Cette attitude de yomb des sénégalaises se voient même en Europe où elles n hésitent pas à se donner au 1e venu pour un kebab un McDo ou un kfc. Il suffit de passer 30mns devant chez Lamp Fall sur la rue Doudeauville dans le 18e pour subir des propositions de jeunes filles genres" grand doma hébergé tay ma defal leup lo beug ci goudi bi" alors imaginez si tu lui proposes un iphone c'est la bénédiction.malheureusement cet article ne fait que dire tout haut ce que tout le monde connait. Les féministes au lieu de s attaquer au journal l OBS devrait plutôt lancer une campagne de sensibilisation de jeunes filles sur les dangers qui les guettent en agissant de la sorte. Même si c'est pas général mais comme on dit c'est" une pomme de terre pourrie qui va pourrir tout un sac de pomme de terre
L'obs a été maladroit avec ce titre qui laisse penser que toute les sénégalaises sont pareilles.
Mais si on se voile pas la face, il faut admettre qu'il ya beaucoup de filles faciles sur le net.
Shit country , shittier men!
Shit country , shittier men!
Moi mon probleme c'est les egouts partout est la salete partout comments les gens peuvent vivre sur la merde.
Lool toi tu ne parles que des égouts, il faut vraiment qu'on règle ce problème je suis d'accord
Rappelez vous de la fameuse série « dinama neekh» c’es une traduction de cet article de l’obs cette serie est plus grave que cet article alors qu’elle est jouée par des femmes sénégalaises.
Bilay Lobs c'est le pure vérité pour un iPhone nou diay sene bop
l'obs n'est pas,un journal....ils ne font que de la promotion toujours positiver leurs et negativer les leurs.les senegalaises sont belles et honnettes
je vois pourqoi mes amis detestent la gfm
Bonjour ce n'es pas du tout une injure... je rentre de DK pour un sandwish ou un plat de thieb a 1000 F cfa tu as tout avec elle... donc l'OBS s'est trompe un vrai iphone coiute 500 000 cfa...c archi faux moi je dit.. Pour 1000 francs tu as tout de nos soeur c triste mais c ainsi... J'etais aux Maristes, et autour de mon domicile pleins de nigerioans et de Ghanaeens qui louent des apparts et chambres.. je les voyais defiler avec nos soeurs entres sorties... toute la journee ca defilait , ils coucahient avac elle pour rien ils mon dit.. je vous le jure. Et le soir les gars sont sur leur smarthphone et ordinateurs pour hameconner des gens a travers le monde.
Mais retenez bien pour 1000 f CFA 2 $ ou 1,5 € tu as une belle senegalaise viege meme si tu veux.
Croyais mi je suis seneglais qd j'ai vu ca j'en etais pas fiere.
Elles ont trop materialistes les seneglaises...
La mentalite de hommes senegalais me rappelle ce qui se se passait au moyen age avec la chasse aux sorcieres. Il fallait par tous les moyens controller ces femmes qui devenaient de plus en plus assertive et independantes.
Ici, il me s'agit pas de la question ou du bucher, ici c'est le bullying public de tout un sexe, c'est une violence morale qu'il ne faut surtout pas accepter!
Un moins que rien qui surement abuse les femmes dans sa propre maison et se permet d'ecrire un torchon sur toutes les femmes senegalaises ne merite pas notre attention. Le directeur de la redaction est celui qu'il faut saisir. Comme cet article reflete l'opinion generale du journal, j'invite tout le monde a les boycotter, jusqu'a presentation publiques d'excuses a toutes les femmes. Nous voulons un article qui feature des exemples de femmes qui se levent tot, s'occupent de leurs familles ensuite vont au travail ( marche, bureau, hopitaux, chantiers , you name it you see us there); un article qui parle des filles qui gagnent des prix au concours general, qui realisent de grands projets, qui representent la nation lors des competitions internationales, qui gagnent des championats du monde de thiere, des femmes qui restent au foyer et elevent la prochaine generation...
Les hommes sont frustres et en colere car maintenant on est partout, on travaille et on fait mieux qu'eux..
Je veux encourager les femmes a aller au bout de leurs reves, tout est possible. Il ne faut absolument pas accepter que les hommes vous tirent vers le bas. Nioune khamna niou souniou valeur, et s'il y a des simples d'esprits qui ne peuvent pas tolerer notre succes, oh well! Don't ever associate with people who make you feel bad, let your light shine!
Bien entendu, il y a quelques hommes en or au Senegal, je souhaite a toutes les femmes la chance de les avoir dans leur vie.
Vous encouragez la polygamie alors si vous souhaitez à toutes les filles du Sénégal de rencontrer ces rares hommes en or.
Seule la vérité blesse
Vraiment triste comments on peut parler comme de nos soeurs.
Obs laalnaleen dé
les filles non éduquée couchent pour moins que cela même
Adouna weurnguel kêp gorou Sénégal niofi yess
Celui qui a pondu cet article est un pauvre type un.minable un mauvais fils un.vaut rien
Comment peut on parler ainsi des femmes
Mais quand on a boubou ndour comme patron on peut tout se permettre
A lobs c'est sûrement comme ça que vous prenez vos femmes apres avoir fait d'elles des prostituées
Nit loumou khame rek lay wax di nguene yag ci torox kou toroxal djiguein yallah toroxal la
Ana ndoye bane eva tra mamie diop lane nguene di xar pour wax ci li thème moungui ni wax lene ci gor yiy xass djiguein di.lene toroxal
Yene rek.lay deglou
Adouna weurnguel kêp gorou Sénégal niofi yess
Celui qui a pondu cet article est un pauvre type un.minable un mauvais fils un.vaut rien
Comment peut on parler ainsi des femmes
Mais quand on a boubou ndour comme patron on peut tout se permettre
A lobs c'est sûrement comme ça que vous prenez vos femmes apres avoir fait d'elles des prostituées
Nit loumou khame rek lay wax di nguene yag ci torox kou toroxal djiguein yallah toroxal la
Ana ndoye bane eva tra mamie diop lane nguene di xar pour wax ci li thème moungui ni wax lene ci gor yiy xass djiguein di.lene toroxal
Yene rek.lay deglou
Adouna weurnguel kêp gorou Sénégal niofi yess
Celui qui a pondu cet article est un pauvre type un.minable un mauvais fils un.vaut rien
Comment peut on parler ainsi des femmes
Mais quand on a boubou ndour comme patron on peut tout se permettre
A lobs c'est sûrement comme ça que vous prenez vos femmes apres avoir fait d'elles des prostituées
Nit loumou khame rek lay wax di nguene yag ci torox kou toroxal djiguein yallah toroxal la
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Yene rek.lay deglou
Adouna weurnguel kêp gorou Sénégal niofi yess
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A lobs c'est sûrement comme ça que vous prenez vos femmes apres avoir fait d'elles des prostituées
Nit loumou khame rek lay wax di nguene yag ci torox kou toroxal djiguein yallah toroxal la
Ana ndoye bane eva tra mamie diop lane nguene di xar pour wax ci li thème moungui ni wax lene ci gor yiy xass djiguein di.lene toroxal
Yene rek.lay deglou
Ah oui?Triste pour ton papa
C'est la triste réalité.
C'est la triste réalité.
Ecrire un tel article est une injure inacceptable à nos sœurs et mères.
Cela est totalement inadmissible de la part d'un journal et d'un journaliste.
Moi, jai personnellement arrêté d'acheter tous les journaux qui coûtent 100 francs, je n'achète que LE SOLEIL, qui bien que gouvernemental, recoupe au moins ses informations.s et respecte les sénégalais.
L'OBS doit être boycotté par tous les sénégalais, pour que ces attitudes s'arrêtent pour de bon.
Ce journal doit présenter des excuses publiques à la femme sénégalaise en particulier et aux sénégalais en général.
Quelle injure, et de quelles Sénégalaises parle l'OBS ? Je suis dans une ville de plus de 60.000 habitants à moins de 25 kilomètres de la capitale Dakar. Je vous jure que les filles à plus de 98% se fichent d'un Iphone ! Arrêtez de faire passer les Sénégalaises pour ce qu'elles sont très loin d'être, c'est à dire de vulgaires putes qui vendraient leurs charmes pour un objet aussi banal ailleurs dans le monde. Nous avons des portables de moins de 10.000 FCFA et de faux Iphones de moins de 15.000 fcfa d'origines Chinoises et on s'en fiche dès lors qu'on a des conversations audibles avec. Non, en Général les Sénégalaise sont pleines de vertus et Dakar n'est pas le Sénégal! Et même à Dakar nos filles sont très loin de manquer de vertus, même si on y rencontre des prostituées.
Quelle injure, et de quelles Sénégalaises parle l'OBS ? Je suis dans une ville de plus de 60.000 habitants à moins de 25 kilomètres de la capitale Dakar. Je vous jure que les filles à plus de 98% se fichent d'un Iphone ! Arrêtez de faire passer les Sénégalaises pour ce qu'elles sont très loin d'être, c'est à dire de vulgaires putes qui vendraient leurs charmes pour un objet aussi banal ailleurs dans le monde. Nous avons des portables de moins de 10.000 FCFA et de faux Iphones de moins de 15.000 fcfa d'origines Chinoises et on s'en fiche dès lors qu'on a des conversations audibles avec. Non, en Général les Sénégalaise sont pleines de vertus et Dakar n'est pas le Sénégal! Et même à Dakar nos filles sont très loin de manquer de vertus, même si on y rencontre des prostituées.
Quelle injure, et de quelles Sénégalaises parle l'OBS ? Je suis dans une ville de plus de 60.000 habitants à moins de 25 kilomètres de la capitale Dakar. Je vous jure que les filles à plus de 98% se fichent d'un Iphone ! Arrêtez de faire passer les Sénégalaises pour ce qu'elles sont très loin d'être, c'est à dire de vulgaires putes qui vendraient leurs charmes pour un objet aussi banal ailleurs dans le monde. Nous avons des portables de moins de 10.000 FCFA et de faux Iphones de moins de 15.000 fcfa d'origines Chinoises et on s'en fiche dès lors qu'on a des conversations audibles avec. Non, en Général les Sénégalaise sont pleines de vertus et Dakar n'est pas le Sénégal! Et même à Dakar nos filles sont très loin de manquer de vertus, même si on y rencontre des prostituées.
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Papa c toi? Mon papa a le meme age que toi. Il m'a appris a croire en moi. Il m'a appris a me battre et a ne jamais dependre de personne.
Papa merci pour tout. Je prie et je prierai toujours pour toi, pour avoir ete mon socle, un exemple, une force dans ma vie. Papa, sou ma bakhé sama yaye la, mais aussi yow la. Tu m'a inculque des valeurs, tu m'a mise en securite, tu m'as guidée jusqu'a ce que je devienne ce que je suis aujourd'hui et surtout, tu m'as montré comment je dois me faire traiter en traitant bien ma maman. Merci papa. Merci papas!
Quelle injure, et de quelles Sénégalaises parle l'OBS ? Je suis dans une ville de plus de 60.000 habitants à moins de 25 kilomètres de la capitale Dakar. Je vous jure que les filles à plus de 98% se fichent d'un Iphone ! Arrêtez de faire passer les Sénégalaises pour ce qu'elles sont très loin d'être, c'est à dire de vulgaires putes qui vendraient leurs charmes pour un objet aussi banal ailleurs dans le monde. Nous avons des portables de moins de 10.000 FCFA et de faux Iphones de moins de 15.000 fcfa d'origines Chinoises et on s'en fiche dès lors qu'on a des conversations audibles avec. Non, en Général les Sénégalaise sont pleines de vertus et Dakar n'est pas le Sénégal! Et même à Dakar nos filles sont très loin de manquer de vertus, même si on y rencontre des prostituées.
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Merci tonton
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Les gars de l'OBS ont parlé des sénégalaises, donc ils n'ont pas exclu leurs mamans et soeurs
Je suis homme marié et je refuse les avances de pas mal de filles pour ne pas tromper ma femme parcequ'elle ne le mérite pas.
nos femmes d'aujuordh'hui li Yalla xaam doyna so dawoul douniou daw
Je suis homme marié et je refuse les avances de pas mal de filles pour ne pas tromper ma femme parcequ'elle ne le mérite pas.
nos femmes d'aujuordh'hui li Yalla xaam doyna so dawoul douniou daw
D'abord moi je n'en ai rien à foutre avec un iphone je n'en ai pas ,je ne cherche pas en avoir ,mais cet article ne fait que refléter la mentalité que la plupart les hommes senegalais ont envers les femmes: aucun respect et c'est cela qui se répercute dans les menage .90% des divorces proviennent du mauvais comportement des hommes car ils ont mal éduqués dans notre société sénégalaise à la limite ils se comportent comme des rois,et se croient tout permis .Apprenez a respecter les femmes ,nous sommes vos mères ,vos épouses ,vos sœurs, bref il faut changer cette mentalité sexiste. Quand à cet quotidien l'observateur il y' longtemps que je l'ai boycotté des lors que je me suis rendue compte que ces journalistes sont juste nuls sans aucun professionnalisme.
D'abord moi je n'en ai rien à foutre avec un iphone je n'en ai pas ,je ne cherche pas en avoir ,mais cet article ne fait que refléter la mentalité que la plupart les hommes senegalais ont envers les femmes: aucun respect et c'est cela qui se répercute dans les menage .90% des divorces proviennent du mauvais comportement des hommes car ils ont mal éduqués dans notre société sénégalaise à la limite ils se comportent comme des rois,et se croient tout permis .Apprenez a respecter les femmes ,nous sommes vos mères ,vos épouses ,vos sœurs, bref il faut changer cette mentalité sexiste. Quand à cet quotidien l'observateur il y' longtemps que je l'ai boycotté des lors que je me suis rendue compte que ces journalistes sont juste nuls sans aucun professionnalisme.
D'abord moi je n'en ai rien à foutre avec un iphone je n'en ai pas ,je ne cherche pas en avoir ,mais cet article ne fait que refléter la mentalité que la plupart les hommes senegalais ont envers les femmes: aucun respect et c'est cela qui se répercute dans les menage .90% des divorces proviennent du mauvais comportement des hommes car ils ont mal éduqués dans notre société sénégalaise à la limite ils se comportent comme des rois,et se croient tout permis .Apprenez a respecter les femmes ,nous sommes vos mères ,vos épouses ,vos sœurs, bref il faut changer cette mentalité sexiste. Quand à cet quotidien l'observateur il y' longtemps que je l'ai boycotté des lors que je me suis rendue compte que ces journalistes sont juste nuls sans aucun professionnalisme.
D'abord moi je n'en ai rien à foutre avec un iphone je n'en ai pas ,je ne cherche pas en avoir ,mais cet article ne fait que refléter la mentalité que la plupart les hommes senegalais ont envers les femmes: aucun respect et c'est cela qui se répercute dans les menage .90% des divorces proviennent du mauvais comportement des hommes car ils ont mal éduqués dans notre société sénégalaise à la limite ils se comportent comme des rois,et se croient tout permis .Apprenez a respecter les femmes ,nous sommes vos mères ,vos épouses ,vos sœurs, bref il faut changer cette mentalité sexiste. Quand à cet quotidien l'observateur il y' longtemps que je l'ai boycotté des lors que je me suis rendue compte que ces journalistes sont juste nuls sans aucun professionnalisme.
souleymane faye a raison de dire que il ya beaucoup de musulmenteurs
on a oublie l'episode de habib avec la fillle qui voulait un iphone
les senegalais femme comme homme y'a en bcp de materialisste
souleymane faye a raison de dire que il ya beaucoup de musulmenteurs
on a oublie l'episode de habib avec la fillle qui voulait un iphone
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souleymane faye a raison de dire que il ya beaucoup de musulmenteurs
on a oublie l'episode de habib avec la fillle qui voulait un iphone
les senegalais femme comme homme y'a en bcp de materialisste
souleymane faye a raison de dire que il ya beaucoup de musulmenteurs
on a oublie l'episode de habib avec la fillle qui voulait un iphone
les senegalais femme comme homme y'a en bcp de materialisste
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquoi elle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
ces sales hipocrites de senegalaises naiment pas entendre la verité sinon elle commencent a chialer et a pleurnicher
Les hommes senegalais sont pour la majorité pauvres d'esprits , pauvres financièrement et pire beaucoup sont capables de tout pour s'en sortir et pensent forcement que les femmes sont pareilles.
Réveillez vous les Femmes pour la plupart sont plus évoluées elles travaillent elle fréquentent pas forcement cette majorité des hommes.
ET Y A DES SENEGALAIS QUI PEUVENT OFFRIR DES IPHONES CADEAU.
catale sa ndeye sale connard de merde je deteste les hommes faibles et naifs qui croient que les femmes sont des anges si tu est un homme sache que tu est le genre de pedé que les femmes appellent sama doff bi
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Des Opfers nazies. Du copier coller
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Là où Dieu ne vous aura pas permis de trouver "la règle ultime", c'est qu'il est des hommes étant femmes comme vous le décrivez ici. Et des femmes étant homme, comme décrit ici également. Vous vous perdez, vous vous perdrez encore, car comment saurez-vous tous et toutes les reconnaître à présent?!!
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
Quand ce ne sont pas les filles elles-mêmes qui se prostituent pour un portable ou un resto ce sont les mères qui les marient ( vendent) à travers la fameuse dot !
Toujours la même chose quand un journal met le doigt où ça fait ( toute vérité n'est pas bonne/belle à dire)
les vierges effarouchées s'indignent alors que si vous observez le manège de certaines, il faut reconnaître que la femme sénégalaise ne se satisfait JAMAIS DE SON SORT ( je parle de ces femmes ou jeunes filles qui draguent sans honte ni moralité , idem pour les hommes ( gigolos)
Ceux qui offrent un IPhone8 pour tirer un coup ou deux sont FOUS
en arpentant les bars de la capitale et ailleurs on peut s en sortir à 100 fois mois mini
A moins que ces mademoiselles ne soient des tops modèles
sa waye fii top model sou kowe ba kowe 100milles dou ko depasser.
Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est? destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux? grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non? par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance ; elle doit? obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le ?rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs ; sa vie peut ?s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus ?douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par ?nature, ni meilleure ni pire.
Ce qui rend les femmes particulièrement aptes à? soigner, à élever notre première enfance, c’est qu’elles ?restent elles-mêmes puériles, futiles et bornées ; elles? demeurent toute leur vie de grands enfants, une sorte d’intermédiaire entre l’enfant et l’homme. Que l’on observe une jeune fille folâtrant tout le long du jour avec? un enfant, dansant et chantant avec lui, et qu’on imagine ?ce qu’un homme, avec la meilleure volonté du monde, ?pourrait faire à sa place.
Chez les jeunes filles, la nature semble avoir voulu? faire ce qu’en style dramatique on appelle un coup de ?théâtre ; elle les pare pour quelques années d’une beauté, ?d’une grâce, d’une perfection extraordinaires, aux? dépens de tout le reste de leur vie, afin que pendant? ces rapides années d’éclat elles puissent s’emparer for?tement de l’imagination d’un homme et l’entraîner à se? charger loyalement d’elles d’une manière quelconque. ?Pour réussir dans cette entreprise la pure réflexion et? la raison ne donnaient pas de garantie suffisante. Aussi? la nature a-t-elle armé la femme, comme toute autre? créature, des armes et des instruments nécessaires pour? assurer son existence et seulement pendant le temps? indispensable, car la nature en cela agit avec son ?économie habituelle : de même que la fourmi femelle, ?après son union avec le mâle, perd les ailes qui lui ?deviendraient inutiles et même dangereuses pour la ?période d’incubation, de même aussi la plupart du temps, après deux ou trois couches, la femme perd sa beauté, sans doute pour la même raison. De là vient ?que les jeunes filles regardent généralement les occupations du ménage ou les devoirs de leur état comme? des choses accessoires et de pures bagatelles, tandis? qu’elles reconnaissent leur véritable vocation dans ?l’amour, les conquêtes et tout ce qui en dépend, la toilette, la danse, etc.
Plus une chose est noble et accomplie, plus elle se? développe lentement et tardivement. La raison et l’intelligence de l’homme n’atteignent guère tout leur développement que vers la vingt-huitième année ; chez la? femme, au contraire, la maturité de l’esprit arrive à la ?dix-huitième année. Aussi n’a-t-elle qu’une raison de ?dix-huit ans bien strictement mesurée. C’est pour cela? que les femmes restent toute leur vie de vrais enfants. ?Elles ne voient que ce qui est sous leurs yeux, s’attachent? au présent, prenant l’apparence pour la réalité et préférant les niaiseries aux choses les plus importantes. Ce ?qui distingue l’homme de l’animal c’est la raison ; ?confiné dans le présent, il se reporte vers le passé et ?songe à l’avenir : de là sa prudence, ses soucis, ses ?appréhensions fréquentes. La raison débile de la femme? ne participe ni à ces avantages, ni à ces inconvénients ; ?elle est affligée d’une myopie intellectuelle qui lui permet, ?par une sorte d’intuition, de voir d’une façon pénétrante? les choses prochaines ; mais son horizon est borné, ce? qui est lointain lui échappe. De là vient que tout ce qui ?n’est pas immédiat, le passé et l’avenir, agissent plus ?faiblement sur la femme que sur nous : de là aussi ce ?penchant bien plus fréquent à la prodigalité, qui parfois touche à la démence. Au fond du cœur les femmes? s’imaginent que les hommes sont faits pour gagner de ?l’argent et les femmes pour le dépenser ; si elles en sont ?empêchées pendant la vie de leur mari, elles se dédom?magent après sa mort. Et ce qui contribue à les con?firmer dans cette conviction, c’est que leur mari leur? donne l’argent et les charge d’entretenir la maison. —? Tant de côtés défectueux sont pourtant compensés par ?un avantage : la femme plus absorbée dans le moment? présent, pour peu qu’il soit supportable en jouit plus ?que nous ; de là cet enjouement qui lui est propre et la ?rend capable de distraire et parfois de consoler l’homme? accablé de soucis et de peines.
Dans les circonstances difficiles il ne faut pas dédai?gner de faire appel, comme autrefois les Germains, aux ?conseils des femmes ; car elles ont une manière de con?cevoir les choses toute différente de la nôtre. Elles vont? au but par le chemin le plus court, parce que leurs ?regards s’attachent, en général, à ce qu’elles ont sous? la main. Pour nous, au contraire, notre regard dépasse? sans s’y arrêter les choses qui nous crèvent les yeux, et ?cherche bien au delà ; nous avons besoin d’être ramenés ?à une manière de voir plus simple et plus rapide. Ajoutez à cela que les femmes ont décidément un esprit? plus posé, et ne voient dans les choses que ce qu’il y a ?réellement ; tandis que, sous le coup de nos passions ?excitées, nous grossissons les objets, et nous nous peignons des chimères.
Les mêmes aptitudes natives expliquent la pitié, l’humanité, la sympathie que les femmes témoignent aux ?malheureux, tandis qu’elles sont inférieures aux hommes en tout ce qui touche à l’équité, à la droiture et à la ?scrupuleuse probité. À cause de la faiblesse de leur? raison, tout ce qui est présent, visible et immédiat, ?exerce sur elles un empire contre lequel ne sauraient ?prévaloir ni les abstractions, ni les maximes établies, ?ni les résolutions énergiques, ni aucune considération? du passé ou de l’avenir, de ce qui est éloigné ou absent?. Elles ont de la vertu les qualités premières et principales, mais les secondaires et les accessoires leur font défaut….. Aussi l’injustice est-elle le défaut capital des natures féminines. Cela vient du peu de bon sens et de réflexion que nous avons signalé, et ce qui aggrave? encore ce défaut, c’est que la nature, en leur refusant? la force, leur a donné, pour protéger leur faiblesse, la ?ruse en partage ; de là leur fourberie instinctive et leur? invincible penchant au mensonge. Le lion a ses dents ?et ses griffes ; l’éléphant, le sanglier ont leurs défenses, ?le taureau a ses cornes, la sèche a son encre, qui lui? sert à brouiller l’eau autour d’elle ; la nature n’a donné? à la femme pour se défendre et se protéger que la dissi?mulation ; cette faculté supplée à la force que l’homme? puise dans la vigueur de ses membres et dans sa raison. ?La dissimulation est innée chez la femme, chez la plus? fine, comme chez la plus sotte. Il lui est aussi naturel? d’en user en toute occasion qu’à un animal attaqué de? se défendre aussitôt avec ses armes naturelles ; et en ?agissant ainsi, elle a jusqu’à un certain point conscience ?de ses droits : ce qui fait qu’il est presque impossible? de rencontrer une femme absolument véridique et ?sincère. Et c’est justement pour cela qu’elle pénètre si? aisément la dissimulation d’autrui et qu’il n’est pas prudent d’en faire usage avec elle
pour pas mal de filles, c'est totalement vrai
Ne pas donner l'occasion aux autres de dénigrer la femme sénégalaise. Il ne faut pas généraliser. Je suis émerveillé quand je vois les femmes aux aurores se lever pour gagner honnêtement leur vie. Les marchandes de fruits à Pout Sebikotane levées au premier chant du coq et qui travaillent jusque tard dans la nuit. Lobs est lu partout à travers le monde. Ne nous laissons pas jeter en pâture chers journalistes.
ndaiye sa leufou ndeye ;lobs a raison je detste les hommes naifs et faibles comme toi qui prennent les femmes pour des anges ; tu est le genre didiots que les femmes appellent sama doff bi
Ton échantillon n'est pas représentatif. A cette heure, tu as surement vu les pétasses alcoolisées qui rentrent d'une nuit de baise.
la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
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la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
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la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
la femme seengalaise se denigre elle meme ; ici en europe tout le monde se mocque d'elles a cause de leur perruques et du khessales elles sont stupides et materialistes
Ki biindeu li, khana ci guéllame wala diabarame lako guissé ?
en tout cas nos journalistes doivent être plus responsables ...vouloir faire un buzz en ternissant l'image du pays et des senegalais.est une indignité ..si nous ne nous respectons pas qui nous respectera ?
en tout cas nos journalistes doivent être plus responsables ...vouloir faire un buzz en ternissant l'image du pays et des senegalais.est une indignité ..si nous ne nous respectons pas qui nous respectera ?
Les journalistes ne gèrent personne. Ils disent les choses telles qu'elles sont vécues.
Boulène niou sonal. Ce que dit ce journal est la pure vérité. Epargnez-nous ce discours féministe et politiquement correcte. Les sénégalaises de la nouvelle generation sont des matérialsites prêtes à se prostituer pour des biens de luxe. Qui a créé le terme mbarane. Tous les homes africains vous dissent les sénégalaises sont materialists. Il ne faut pas se voiler la face. Seule une petite minorité nio ame jom am lou niouye bagne. Moi je n'ai aucun respect pour elles et je décourage les autres à s'approcher d'elles. Il faut aller voir ailleurs.
Sama wadji loy wakh ni... Bayil rek niouy Tabaski makka... Reendi djeggi rek...
il faut appeler le chat par son nom. qui se sent morveux n'a qu'à se moucher. on ne peut nier le fait que les hommes perdent leur amour pour des raisons uniquement pécuniaires. elles le clament haut et fort : "Garab bou la soutoul dou la may keer". leur amour n'est que mascarade et tricherie
L'obs a été très pudique dans son traitement du phénomène. Les sénégalaises sont faciles même les françaises ne se dégraffent plus aussi vite.
En vacances au Sénégal, j'ai rencontré une belle fille, élancée, teint noir naturel, belle comme une djinne, je n'osais même pas toucher son bras, un soir rek mou sekh bagaz bi, ma saigner ko vite fait.
J'oubliais que cela a continué jusqu'à la veille de son mariage.
Le prix du sexe sur le marche international varie entre 20 et 100 euros la passe. Aucun homme ne va depenser plus quelque soit la beaute de la p.......
Lol... tu n’as rien compris
Entre 20 et 100 dollars... soumarak, il faut hisser la barre
500- 1000 dollars l’heure
Quel est l interet de ce torchon?
Certains journalistes font preuve d'une grande légèreté avec leur plume. Vous voulez que les femmes qui ont acheté leur Iphone cache leur appareil? Cessez d'insulter les femmes et le peuple sénégalais.
elles n'ont qu'à montrer comment elles ont fait pour dépenser 500.000 sur un portable
elles n'ont qu'à montrer comment elles ont fait pour dépenser 500.000 sur un portable
DANS LES QUARTIER MODESTE POUR NE PAS DIRE PAUVRE
IL SUFFIT D'UN TANGANA A 400 FRS POUR BAISER
SIMPLE COMME BONJOUR
SEULS LES IGNORANTS DONNENT DE GROS MONTANT POUR BAISER
SANDWICH 500FRS AKK MINUTE MAID 250FRS REKK DOYNA
Saway do bombeu lou bakh deh ay mbalitt tel ngay Daniel. Loll
pfffff dans les quartiers modestes n'importe quoi ........les salopes on les trouve partout même à beverly hills pour ne pas dire almadies
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
RIEN DE SURPRENANT POUR CE JOURNAL LOIN D’ÊTRE CRÉDIBLE
Cest un secret de polichinelle
Pour une fois l obs a raison
Des histoires inventées sans vergogne
il y a des brebis galeuses partout
Une vérité fait mal, les femmes ki ne se voient pas à travers cette publication de l'OBS ne réagiront pas
L'Obs verre et celui qui a osé signer ce torchon aussi. RV dans les tous prochains jours.
Un journal doit avoir des correcteurs pour éviter pareil dérapage.
Dagnouy dof doflou rek, kou thi kheuy amoulo dépense bou bénène yooné di nga réfléchir doo ga bind.
Désolé mais cette affaire généralise donc toute femme se sentent insultées
Que chacun s'occupe de ses péchés,se repente et prie que le Tout Puissant nous pardonne tous. .soutoura alors mandou..
je viens de changer mon samsung duos apres des années de bons et loyaux services et je peux acheter tout de suite 2 I phone mais je n'en vois pas l'intérêt je suis une femme et je ne le fais pas
arrêtez de stigmatiser les femmes
nous pardonne tous ? yaw hana wero ? Dieu a envoyer 124.000 prophetes pour vous avertir que lenfer existe ; tu crois que noonou la yombé ? tu aura de sacrés surpprise au jugement dernier Dieu nest pas un viellard genre pere noel bisounours
nous pardonne tous ? yaw hana wero ? Dieu a envoyer 124.000 prophetes pour vous avertir que lenfer existe ; tu crois que noonou la yombé ? tu aura de sacrés surpprise au jugement dernier Dieu nest pas un viellard genre pere noel bisounours
nous pardonne tous ? yaw hana wero ? Dieu a envoyer 124.000 prophetes pour vous avertir que lenfer existe ; tu crois que noonou la yombé ? tu aura de sacrés surpprise au jugement dernier Dieu nest pas un viellard genre pere noel bisounours
nous pardonne tous ? yaw hana wero ? Dieu a envoyer 124.000 prophetes pour vous avertir que lenfer existe ; tu crois que noonou la yombé ? tu aura de sacrés surpprise au jugement dernier Dieu nest pas un viellard genre pere noel bisounours
Seul Jésus sauve de l'enfer (et il ne suffit pas de dire "Seigneur, Seigneur"). La volonté de Dieu est dans la Bible.
Toujours là à pleurnicher dé qu'on parle d'eux . LOBS parle d'une partie des filles sénégalaise donc faut pas généraliser . YA à une tonne qui sont prête à coucher sucer pour un IPHONE EN PLUS iPhone sakh beurina khalé bofi yobou restaurant so ko laloul si yow le des dé fois sakh fast food ça suffit . Et c'est partout dans le monde les femmes sont devenus de plus en plus matérialiste à qui la faute . Les hommes quand à eux ils aiment la facilité maintenant maname DATA bou yomb leniou weur SEN KHALIS LENIOUY YOR DI KHAR CHAIR FRAÎCHE. Ne nous faite pas chier .
La plupart des hommes mariées au senegal on coucher avec vos copines sœur etc donc posez vous la question .
La prostitution existe et tous les moyens légaux sont bons pour obtenir l'objet de ses désirs par contre le Sénégalais n'ira pas jusqu'à vendre un de ses reins pour un iPhone ce qu'on a vu en Chine
NE NOUS FATIGUEZ PAS VOUS ETES TOUTE DES P.... SURTOUT LES FEMMES VOILÉES ON SAIT TOUT ALORS ENCAISSEZ ET FERMEZ LA BRAVO L'OBSERVATEUR
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
Les sénégalais sont les plus sale d’Afrique !
DEUG nekhoul deh wayeh ta une part de vérité dans les propos parus dans le journal. Il y en a ki sont trop matérialistes amoul loumou lenn diaraloul nak.
toi même tu as dit il y en a .... donc faut pas généralisé
Aka wa Lobs no wakh deug il faut sortir surtout le soir pour voir dans les boîtes elles ne parlent que de ça iPhone rdk
Et c'est toutes les femmes qui sont dans ces boîtes?
Donc il y'a des mecs qui couchent avec des femmes et leur donne 400.00? Wagnilène waay.
Mane je suis très yéwén mais nak meussou ma wéssou 70.000 FCFA.
Wessou Nga yewen.
Comment peut on généraliser en n'intervenant que quelques personnes. Ceux qui l'ont écrit n'ont qu'a regarder dans leur entourage pour voir qu'ils se sont trompés de jugement. Moi je suis un homme mais je respecte bien la femme Sénégalaise.
Il faut zapper cette pourriture qu'est l'Obs. Toute une équipe de journaleux paresseux et personne n'a pensé corriger cette merde. Vous n'avez certainement pas pensé a vos sœurs et vos propres mamans quand vous pondiez ce torchon. L'Obs et moi c fini pour la vie #JETERLOBSALAPOUBELLE.
En tout cas limotakh cisse lo bayilen fi yobou niang kharagne. Doulnalistes de merde
En tout cas limotakh cisse lo bayilen fi yobou niang kharagne. Doulnalistes de merde
J'ai vu des filles être envoyées au chômage parce qu'elles ont refusé une promotion canapé.
J'ai vu des filles se mettre dans un bus et faire des heures pour rallier leurs lieux de travail alors qu'elles ont refusé le véhicule qu'a voulu leur offrir un homme qu'elles n'aiment pas.J'ai vu des femmes se lever très tôt le matin pour aller chercher du poisson à revendre pour vivre dignement.
Ah ! Ces bonnes ! Celles qui s'occupent de nos maisons pendant que nous sommes au boulot ou pendant que nous nous prelassons aux heures chaudes de la journée, et à qui nous ne payons en moyenne que 35000 frs le mois,parce qu'elles refusent de se prostituer.Elles sont nombreuses et on en retrouve presque dans tous les foyers.Je rends hommage à toutes les femmes"qui refusent" et particulièrement à ces dernières.
Tenez bon!
Hommage à la femme Sénégalaise !
J'ai vu des filles être envoyées au chômage parce qu'elles ont refusé une promotion canapé.
J'ai vu des filles se mettre dans un bus et faire des heures pour rallier leurs lieux de travail alors qu'elles ont refusé le véhicule qu'a voulu leur offrir un homme qu'elles n'aiment pas.J'ai vu des femmes se lever très tôt le matin pour aller chercher du poisson à revendre pour vivre dignement.
Ah ! Ces bonnes ! Celles qui s'occupent de nos maisons pendant que nous sommes au boulot ou pendant que nous nous prelassons aux heures chaudes de la journée, et à qui nous ne payons en moyenne que 35000 frs le mois,parce qu'elles refusent de se prostituer.Elles sont nombreuses et on en retrouve presque dans tous les foyers.Je rends hommage à toutes les femmes"qui refusent" et particulièrement à ces dernières.
Tenez bon!
Hommage à la femme Sénégalaise !
L'Obs verre et celui qui a osé signer ce torchon aussi. RV dans les tous prochains jours.
Un journal doit avoir des correcteurs pour éviter pareil dérapage.
Dagnouy dof doflou rek, kou thi kheuy amoulo dépense bou bénène yooné di nga réfléchir doo ga bind.
c'est ça l'hypocrisie senegalaise tout le monde sait que les filles couchent meme pour un sandwich. On veut faire exprés en jouant aux choquées et pourtant j'ai vu plein de filles publié pour s'indigner et elles couchent pour beaucoup moins que ça. D'ailleur quel homme va donner 400 000 FCFA à une fille pour un simple coup de 5 minutes khana doff sakh dou deff lolou car les plus belles et jeunes fille à dakar le coup est à 10 milles francs au maximum 20 milles pour celles qui sont de bonne famille et fonctionnaire dans une banque.
lobs a absolument raison ; les negresses du senegal sont betes stupides materialistes faut vraiment etre un con pour en epouser une ; sans parler de leur perruque de merde de complexées qui puent
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquo ielle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquo ielle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquo ielle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquo ielle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
lobs a raison jai mainte fois baiser des filles pour un hamburger ; faut se dire la verité les négresses nont aucune valeur voila pourquo ielle sont complexées et portent des perruques puantes pour ressembler aux blanches
Ne vous fâchez pas mes sœurs LOBS n'a fait que dévoiler ce qui se passe dans les locaux de GFM et de L'OBS. Vous ne remarquez pas que personne par elles n'est choquée au point de critiquer l'article!!!
Ne vous fâchez pas mes sœurs LOBS n'a fait que dévoiler ce qui se passe dans les locaux de GFM et de L'OBS. Vous ne remarquez pas que personne par elles n'est choquée au point de critiquer l'article!!!
Ne vous fâchez pas mes sœurs LOBS n'a fait que dévoiler ce qui se passe dans les locaux de GFM et de L'OBS. Vous ne remarquez pas que personne par elles n'est choquée au point de critiquer l'article!!!
Au Sénégal, on ne respecte pas la femme, il faut reconnaître cette triste réalité...
Après la première dame, maintenant toute la gente féminine.
Certaines femmes sont pitoyables comme des hommes le sont encore plus mais avec une société qui les couvrent malgré toutes les saletés, c'est un fait.
Au Sénégal, on ne respecte pas la femme, il faut reconnaître cette triste réalité...
Après la première dame, maintenant toute la gente féminine.
Certaines femmes sont pitoyables comme des hommes le sont encore plus mais avec une société qui les couvrent malgré toutes les saletés, c'est un fait.
Moi 1 sandwich rek
Pauvre type !
Pauvre type !
l'obs a fait une erreur à la fois petite mais enorme, il suffisait juste de remplacer les senegalaises par" certaines" pour ne pas généraliser, d'ailleurs je crois meme que c'est une minorité mais pour autant tout n'est pas faux, nagn waxaneté deuggeu. il y a des filles qui en profitent pour lever le ton et les organisations feminines mais dégg nagn fi audio whatsap pour iphone 7 etc.. waxaneté deugg té diapalaneté pour lou bone diougué fi, amna guel yo khamni iphone sah beuri na hamburger wala getzner etc..gnou diokh le sen bopp, goor tamit sou bahone djiguéne dou yégg fofou. kou si bokoul daal diaroul wax jou beuri, chacun(e) se connait mieux k quiconque
je salue les braves femmes qui gardent leur dignité malgré les difficultes et les tentations de certains mauvais hommes, respect à vous!
Encore un exemple patent de ce que j'appelle la démonstration par l'exemple chère à nos journalistes et animateurs. Tu entends parler de 2 ou 3 exemples et tu en fais une théorie. Où sont les socilogues pour faire des études sérieuses sur la société sénégalaise? Svp ne laissez pas le champ libre aux approximations.
Ceci est typiquement le raisonnement de la famille ndour c est comme ça qu ils pensent ils croient que tout s achéte par l argent
Ceci est typiquement le raisonnement de la famille ndour c est comme ça qu ils pensent ils croient que tout s achéte par l argent
Ceci est typiquement le raisonnement de la famille ndour c est comme ça qu ils pensent ils croient que tout s achéte par l argent
Ceci est typiquement le raisonnement de la famille ndour c est comme ça qu ils pensent ils croient que tout s achéte par l argent
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