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Le prêcheur Iran Ndao: « Ce n'est pas mon langage qui est vulgaire, mais la langue wolof »

Auteur: thiesvision

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Dans un entretien exclusif à paraître lundi sur ThiesVision.com, le prêcheur Ibrahima Badiane dit Iran Ndao parle du difficile métier de communication auquel se livrent les prêcheurs. Ps trés facile de parler de religion au Sénégal surtout lorsqu’on veut dire les choses sans tabou, ce que certains semblent reprocher au prêcheur de Sud Fm Thiès et Sen Tv, très actif par ailleurs dans le domaine de l’action sociale pour ses nombreux services rendus aux démunis, aux prisonniers de la maison d’arrêt et de correction de Thiès à qui il apporte son soutien (...). Très tôt orphelin de père, Iran Ndao a dû faire face à la vie et ses rudes épreuves aux côtés de sa mère (...).

 La chasse, la mendicité infantile, la maltraitance aussi, autant d’épreuves auxquelles il a été confronté dans son enfance passée dans un daara (...). Aujourd’hui encore, Iran en porte les stigmates, mais dit ne pas en tenir rigueur à ceux qui ont fait subir ces sévices au jeune garçon qu'il fut. Un passé douloureux qu’il évoque dans cet entretien où il parle de Macky Sall à qui il conseille de soutenir Bougane Guèye, « un homme méritant mais très effacé». De Oustaz Alioune Sall, entre autres. 

Thiesvision.com vous propose un extrait dans lequel il confie avoir converti à l’islam plusieurs personnes, dont une haute personnalité du pays récemment. A ceux qui lui reprochent de s'exprimer dans un langage vulgaire, Iran Ndao renvoie à la langue wolof qui a du mal à désigner les choses par leur nom…, selon lui. « Un enseignement se doit d’être clair et précis », dit-il. Regardez !

 

Auteur: thiesvision
Publié le: Vendredi 07 Mars 2014

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