Un mois et demi après le décès de Joan Rivers, le bureau du médecin légiste de New York vient de dévoiler son rapport d'autopsie. Selon lui, l'animatrice américaine serait décédée d'un manque d'oxygène dans le sang qui aurait causé des dommages irréparables au cerveau.
Joan Rivers s'était rendue à la clinique Yorkville Endoscopy le 28 août dernier pour y subir une opération des cordes vocales. L'animatrice de "Fashion Police" avait alors été mise sous Propofol, l'anesthésique à l'origine de la mort de Michael Jackson, explique le médecin légiste à Fox News. Mais pendant l'intervention, la circulation de l'oxygène a été coupée, causant des dommages irréparables au cerveau. Victime d'un arrêt respiratoire, l'animatrice de 81 ans a été hospitalisée au Mount Sinaï Hospital où ses fonctions vitales ont été maintenues en vie artificiellement jusqu'à son décès le 4 septembre. "Une complication prévisible", selon le légiste."Sa mort est classée dans les cas de complication thérapeutique", affirme-il. "Ce qui signifie que le décès est survenu à la suite de complications prévisibles lors d'une opération". Le département de la Santé de l'État de New York a ouvert une enquête entourant les circonstances du décès. Melissa Rivers, la fille de Joan Rivers, Melissa, a déclaré dans un communiqué que la famille était à ce jour toujours très attristée par cette mort tragique.
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