Rejet du recours de Barthelemy Dias : “Un coup de massue”, pour Khalifa Sall
Khalifa Sall apporte son soutien à Barthélémy Dias qui a été débouté par la Cour suprême hier jeudi. Pour le leader de Taxawu Sénégal, le rejet de ce recours “est un coup de massue porté à la souveraineté électorale, à la démocratie et aux principes de libre administration des collectivités territoriales”.
Khalifa Sall, qui a réagi via ses plateformes numériques, déclare que le suffrage des Dakarois s’en voit confisqué et surtout “sacrifié sur l’autel de dérive autoritaire”. Le leader du mouvement politique Taxawu Sénégal estime que ce verdict est l’expression implacable de la violation de la souveraineté populaire.
Commentaires (7)
Yow doule boule gnou sonale ypocrite bi ngua done yow tu es le premier a trahir barth amo lo wakh doule
Khana un coup de massue en coton?
Ces 2 là doivent aller se reposer leur manière de faire la politique est dépassée, cette dégueulasse méthode de combine beurre, woor, tekkhell et autres entreloupe ne asse plus.... En plus ils sont là à nous poker l'air depuis temps PS...... DAFADOY
Khalifa apporte la poisse depuis qu'il a trahi les sénégalais en allant au dialogue de macky pour empêcher ousmane d'être candidat
Lettre ouverte : Quand le droit est dit, il faut savoir l’entendre
Le rejet du recours de Barthélémy Dias par la Cour suprême a suscité de vives réactions, notamment celle de Khalifa Sall, qui parle d’un “coup de massue porté à la souveraineté électorale” et d’un suffrage “sacrifié sur l’autel de dérive autoritaire”. Mais il est essentiel de rappeler une vérité simple : le droit a été dit, et la loi appliquée.
Barthélémy Dias a suivi tous les recours possibles, dans le respect des procédures prévues par notre système judiciaire. Il a été débouté par la plus haute juridiction du pays, qui a statué en toute indépendance. Que l’on soit d’accord ou pas, personne n’y peut rien : la décision est définitive, et elle s’impose à tous.
Qualifier ce verdict de “violation de la souveraineté populaire” revient à nier le rôle fondamental des institutions judiciaires dans la régulation démocratique. La Cour suprême n’a pas confisqué le suffrage des Dakarois : elle a simplement tranché un litige selon les règles de droit. Et comme le dit la célèbre formule : “Dura lex, sed lex” — la loi est dure, mais c’est la loi.
Il est temps que chacun, y compris les leaders politiques, admette le véridique, même s’il est douloureux. Car la démocratie ne se mesure pas à l’issue d’un procès, mais à la capacité de ses acteurs à respecter les décisions de justice, à accepter les limites du droit, et à continuer le combat dans le cadre républicain.
Le Sénégal mérite une opposition forte, mais aussi lucide et responsable. Ce n’est pas en contestant systématiquement les institutions que l’on renforce la démocratie. C’est en les respectant, même dans la défaite.
Khalifa Sall et Sonko ont trahi Barthélémy. Il est le plus loyal des trois. Dieu ne dort pas.
Khalipha Sall est finalement comme Ousmane Sonko. Il faut que la justice tranche en leur faveur sinon le droit est bafoué.
Yenee neeg la, borom mossiy fanane... Sonko dileen kheexal ngir ngen nek candidat, ngen diko khexx, Yallah nieuw attee
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