Cette seconde LFR a pour objet de constater en recettes du budget général de l’Etat, les sommes encaissés au titre de la quote-part sur la plus-value de cession d’actifs et d’occupation d’un immeuble par la SONACOS (2.498.314.563 de francs CFA).S'y ajoutent aussi la redevance de cession versée par la société Dubaï Port World (24.600.355.371 francs CFA) au titre du ticket d’entrée pour la concession du terminal à conteneurs du port de Dakar et du complément de la redevance de la deuxième licence de téléphonie mobile (11,365 milliards de francs CFA) soit un total de 38,464 milliards de francs CFA.Selon le ministre de l’Economie et des Finances Amadou Bâ, ces montants ont permis de prendre en charge de nouvelles dépenses telles que la construction et l’équipement de bâtiments pour l’hébergement des étudiants des universités, l’équipement de la Sûreté nationale, la construction du centre international de conférence de Diamniadio, la construction du lycée de Sandiara, des centres d’enseignement technique féminin, etc.''Ce qui est fait aujourd’hui est accepté par le Fonds monétaire internationale(FMI)’’ , a dit Amadou Bâ, estimant que du point de l’orthodoxie budgétaire, ‘’ il n’y a aucun problème’’.''Au niveau du ministère, nous sommes dans les dispositions pour pouvoir sécuriser ses fonds et nous allons les sécuriser’’, a assuré Amadou Bâ.
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