Le ministre du Tourisme et des transports aériens et son collègue en charge de la Culture et de la communication ont tenu, ce matin à Toubacouta, un Comité régional de développement spécial sur la relance du pôle touristique du Sine et du Saloum. Durant une demi-journée, les ministres, leurs agents et les acteurs ont réfléchi et échangé sur les forts et les faiblesses du tourisme local. L'ensemble des potentiels qu'offre cette zone a été identifié, partant des festivals, des manifestations culturelles, des sites et des monuments classés.
'' Cette rencontre est une occasion pour les acteurs du tourisme et de la culture de mettre en lumière l'énorme potentiel dont dispose le Sine et le Saloum '', indique Alioune Sarr, ministre du Tourisme et des transports aériens. Mieux, il rajoute qu'elle vise également à réfléchir et échanger sur la manière de promouvoir la destination de cette zone et aussi à développer son produit touristique local. Pour la tutelle, '' l'industrie touristique est un puissant levier de croissance économique et de création d'emplois.
Et par conséquent, d'amélioration des conditions de vie des populations ''. Ce pôle touristique du Sine-Saloum constitue un fort potentiel de ressources touristiques qui peut jouer un rôle crucial dans la stratégie de développement et de repositionnement de la destination Sénégal. Pour sa part, Abdoulaye Diop a salué le dynamisme qu'il y a entre les deux ministères. Le ministre Abdoulaye Diop a insisté sur la mise en place d'infrastructures d'accueil qui vont dans le sens de l'offre touristique. Abdoulaye Diop a aussi invité à ce que le programme de relance soit élargi à leurs collègues de l'éducation nationale. '' Il serait bon d'élargir cela à l'éducation nationale. Dans le cadre de l'éducation de nos élèves, leur donner l'amour, l'estime d'aller découvrir leur pays et connaître tous les potentiels de leur pays '', dit Abdoulaye Diop. Au cours de cette rencontre, la formation des guides a été évoquée.
Auteur: Khady Ndoye (Correspondante) Mbour
Publié le: Mardi 15 Octobre 2019
Commentaires (8)
NOUS N AVONS PAS ÉTÉS INFORMÉES DE LA VISITE DU MINISTRE A TOUBACOUTA EN TANT QUE VIC PRÉSIDENT DES ANIMATEURS ET FACILITATEURS ÉCONOMIQUES DU PROJET CULTURE ET DÉVELOPPEMENT DE TOUBACOUTA CRÉATEURS DU CENTRE D INTERPRÉTATIONS ARTISTIQUES ET DU VILLAGE ARTISANAL ONUDI UNESCO O.M.T MGD FUND NOUS SOMMES EXCLU DE SE CENTRE OU NOUS DEVIONS AVOIR UNE BUREAU DEPUIS 6 CAR NOUS SOMMES LE CADRE DE PÉRENNISATION J EN APPEL AU DIRECTEUR DU PATRIMOINE CULTUREL CLASSE POUR RÉPARER CETTE INJUSTICE
Un touriste, d'où qu'il vienne, ne fait pas un voyage pour patauger dans les tas d'ordures... encore moins pour être harcelé. Depuis le nouvel aéroport (déjà sérieusement endommagé ),dans quelque direction qu'on aille, ce ne sont que détritus, ordures, déchets. Pour le moment ils sont moins visibles à cause de la végétation qui les cache, mais lorsque la saison débutera, ce ne sera qu'une suite de saletés répandues jusque dans l'océan, dans les marigots, les tans, les forêts et les villages. Au moment où l'attention internationale est portée sur l'écologie et le rourisme vert, notre pays est une poubelle, notre population jette ses déchets n'importe où et le résultat se voit et se sent.
De plus, en dehors de certains établissements gérés par des étrangers, il y a dans ce secteur un je-m'en-fourisme professionnel et une abscence de qualité qui dessert les objectifs des ministères...
Un élève qui sort d'une école hôtelière locale ne sait même pas faire la différence entre un verre à bière ou à vin et un verre à eau.
Si en plus on veut réinstaurer un visa, il faudra le faire intelligemment sinon on aura une nouvelle fois une cacophonie, une chienlit et un désordre auquel les touristes, d'où qu'ils viennent, ne sont pas habitués.
Avant de relancer quoi que ce soit, essayez de nettoyer la capitale d'abord qui est classée
parmi les 10 villes les plus sales du monde.
On ne peut et ne doit des touristes vers de villes plus insalubres que les dépositoires d'ordure.
Le cas de Kaolack est honteux.
AVANT DE PARLER DE RELANCE PARLER NOUS DU VISAS OU PAS VISAS MERCI
Mr le ministre tant que cet incompétent deDG des aéroports du Sénégal est à tes côtés c l'échec.faids des visites surprises a kedougou kolda Kaolack c'est des forêts classées et non des aéroports.pidte et parking aéroports délabrés brèches partout.ea Cap skirring zig kolda kedougou.
A vrais dire ou voyage dans un autres pays du monde pour voir comment on taitre un touriste.
il faut d'abord tout nettoyer ! et changer les mentalités : un touriste, on ne le vole pas, on ne l'arnaque pas ...
être visible à tout prix...par tout moyen.
Ceux qui ne travaillent pas sont invisibles. La question c'est plutôt Fausse ou vraie visibilité ? Car celui qui travaille est forcément visible.
Participer à la Discussion