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And Gueusseum : La grève largement suivie à Thiès

Auteur: Cheikh CAMARA (Correspondant à Thiès)

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And Gueusseum : La grève largement suivie à Thiès

Le mot d'ordre de grève de 48 heures décrété par l’Alliance des syndicats autonomes de la santé (ASAS) And Gueusseum est largement suivi à Thiès. Au centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéyène, seules les urgences sont assurées. Toutes les salles de soins sont boycottées et bon nombre de patients ont rebroussé chemin.

«Une grève en réponse au dilatoire de l'État», regrettent les blouses blanches, selon qui «la santé des populations ne préoccupe pas les autorités». 

La centrale syndicale du secteur de la santé entend poursuivre le combat jusqu'au bout de sa logique pour obtenir du gouvernement la satisfaction d’une vingtaine de revendications restées sans réponse.

Auteur: Cheikh CAMARA (Correspondant à Thiès)
Publié le: Mardi 25 Novembre 2025

Commentaires (3)

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    LACHE VOYS ÊTES il y a 2 heures

    La greve des lâches ! Aucune rqison d'aller en grève. Vous êtes des politiciens encagpulés. Lâches vous êtes !

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    MOMELA il y a 2 heures

    de mémoire de sénégalais jamais je n'ai vu le secteur de la santé aussi mal géré que maintenant
    c'est une horde de nullards qui commande ce secteur ou ils ignorent
    diomaye diambalegnou waay sona na niou

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    Momo2 il y a 1 heure

    L’Etat doit prendre ses responsabilités et licencier tous les meneurs qui ont pris les travailleurs en otage. De grandes sociétés l’ont réussi, à l’image de CBAO et Sen’eau. Trop c’est trop, le pays est en crise financière et ces politiciens jouent avec la santé des populations, au même moment ils vont dans les cliniques et à la fin du mois ils perçoivent l’intégralité de leurs salaires, ils vivent de Ribba. Que l’Etat mette l’armée à contribution, en plus il y a des centaines de jeunes en chômage alors qu’ils ont fini leur formation en santé (infirmiers, sage-femmes), l’Etat n’a qu’à ouvrir une liste de volontaires, la plupart de ces jeunes ont déjà de l’expérience dans le public et le privé qui les exploitent.

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