Les recherches militaires se concentrent près de Missirah dans une zone de mangrove (illustration). AFP/ SEYLLOU DIALLO
Premiers sur les lieux du crash hier, des piroguiers ont dû couper la mangrove pour secourir les victimes. Kémon Sy est l'un de ces sauveteurs. "Les gens criaient, raconte-t-il sur la Rfm. On a été obligés de fracasser une partie de l'hélicoptère pour les faire sortir. Il y avait des blessés graves. Il y avait du sang jusque sur les sièges."
Les ministres des Forces armées, Augustin Tine, et de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr), sont annoncés sur place.
Les gendarmes qui ont fini de prendre les choses en main, ont quadrillé le site dont l'accès est formellement interdit aux civils.
Selon des témoins oculaires, la position de l'hélicoptère, une partie dans l'eau et l'autre émergeant, renseigne sur la violence du choc. Des débris de l'épave flottent aux alentours de l'appareil.
Huit morts et 12 blessés dont certains dans un état grave, c'est le bilan de l'accident.
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