Kaolack : Un Sierra-léonais attaqué en plein sommeil, sa chambre incendiée
Un acte criminel d'une rare violence s'est produit dans la nuit du lundi 29 septembre 2025 au quartier Sing-Sing de Kaolack. T.Bindu, un maçon sierra-léonais de 25 ans, a été victime d'une agression alors qu'il dormait avec son fils.
Attaque nocturne et incendie criminel
Selon les déclarations de la victime, les faits se sont déroulés aux environs de 2 heures du matin. Deux individus se sont introduits dans sa chambre et ont mis le feu à son matelas et à d'autres objets à l'aide d'essence, alors que T.Bindu et son fils étaient endormis selon des sources de Seneweb.
Déclaration spontanée au commissariat
À 2 h 40, le Sierra-léonais s'est présenté spontanément au commissariat central de Kaolack pour signaler l'incendie de sa chambre. Immédiatement, les éléments de la brigade de recherches de la Sûreté urbaine se sont rendus sur les lieux en sa compagnie pour effectuer les constatations d'usage.
Sur place, les policiers ont constaté l'embrasement total du matelas et d'autres objets appartenant à la victime.
Vol et identification des agresseurs
Outre l'incendie criminel, T.Bindu a révélé que les assaillants ont dérobé une somme de cent mille (100 000) francs CFA ainsi que son passeport avant de prendre la fuite.
Point crucial de l'enquête : la victime affirme être en mesure d'identifier les deux individus qui ont mis le feu à sa chambre.
Une enquête a été ouverte par les services de police pour retrouver les auteurs de cette agression particulièrement grave.
Commentaires (5)
La xenophobie prend son élan
Bof faut plutôt dire que la sauvagerie a été libéralisée dans ce pays. Et comme toujours c'est Kaolack qui est précurseur.
Yaa degeur fitt deugg
Tu es sûr de ce que tu avances. Vas-tu demander pardon lorsqu'on te dira que les auteurs sont aussi sierra-léonais ?
pff
J espère que ce n' est pas a cause des discours de certains écervelés qui oublient sur des millions de sénégalais sont aussi disséminés partout dans le monde.
Le senegalais perd petit à petit tout le bien qu'on connaissait de lui, il commence peu à peu a ressembler aux sauvages xénéphobes tels que les gabonais
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