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De trois unités en 2012, au lancement du projet financé par la Jica (coopération japonaise), le nombre d’écovillages est passé à 400 quatre ans plus tard. Le représentant résident de la Jica, Yuyi Moriya, a fait le décompte hier, vendredi 24 juin, à quelques jours de la fin du projet, au mois de juillet.
L’initiative, informe Le Soleil de ce samedi, était destinée aux zones rurales situées dans les régions de Thiès, Louga et Fatick. Son objectif était de concilier économie et écologie.
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