Elles réclament la modification de la loi sur la prostitution au Sénégal. Elles, ce sont les présidentes d’associations des travailleurs du sexe. « Sur les trottoirs, devant les bars ou même devant les auberges, elles sont interdites de « traîner », en dépit de leur carnet de santé. Raison pour laquelle elles ont indiqué que les filles qui font les trottoirs quittent ceux-ci progressivement, préférant pratiquer le métier de façon clandestine », constatent nos confrères du Quotidien. Dans les colonnes du journal, les travailleuses du sexe de plaider en faveur d’un « cadre légal clair et précis » pour l’exercice de leur activité, « afin d’encadrer la prévalence du Sida chez cette couche vulnérable qui est déjà de 18,5% ».
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