Dans les colonnes de Libération, l'on apprend que le mouvement du 23 juin (M23) a passé au peigne fin certains secteurs de l’activité économique et sociale que sont la traque des biens mal acquis liée au traitement de l’affaire Tahibou Ndiaye, les anomalies devant conduire à une révision du Code des mines, la marche anormale de la Fonction publique ou encore l’acte III de la décentralisation. Ce qu'on peut retenir, c'est que les camarades de Mamadou Mbodji ne sont pas satisfaits de la gestion des dossiers qui étaient à l'ordre du jour.
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