Les contrôles antidopage sont fréquents dans la lutte. Le président du CNG, Malick Ngom, repris par Record, l’a rappelé lors de sa conférence de presse organisée mercredi dernier pour se prononcer sur la suspension pour dopage de Siteu. Ce dernier n’était pas à son premier contrôle : il «avait déjà effectué le test», renseigne le patron de la lutte. Qui poursuit : «De même que Sa Thiès, Lac Rose, Reug Reug. Même récemment, lors du dernier TOLAC [Tournoi de lutte africaine de la CEDEAO], Tony Jr, Yacine Diatta et Ngagne Sène [des internationaux sénégalais de lutte] avaient subi les tests. Les agents du l’ORAD [Organisation régionale antidopage] étaient venus à l’improviste et avaient exprimé leur souhait de tester les lutteurs précités.»
Malick Ngom signale que si les tests sont publiés c’est parce qu’il y a dopage et que les sanctions vont suivre. «Si les résultats ne sortent pas, cela signifie qu’ils sont négatifs», complète le président du CNG.
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