Sonko mooy Diomaye, Diomaye mooy Sonko. Cette vérité n’est pas qu’un slogan de campagne, mais une équation politique et stratégique que nul ne peut ignorer. Ensemble, ils incarnent une continuité d’idéal, une fraternité d’engagement forgée dans la même épreuve : celle de la lutte contre un système verrouillé depuis plus d’un demi-siècle.
Si Ousmane Sonko, Président de PASTEF les patriotes a choisi Bassirou Diomaye Faye pour porter le flambeau présidentiel lors de son empêchement, c’est parce qu’il a reconnu en lui la rigueur, la loyauté et la clarté de vision nécessaires pour poursuivre le combat. Mais depuis qu’il tient les rênes de l’État, Diomaye découvre de l’intérieur l’ampleur du mammouth, cette machine administrative tentaculaire et pesante qu’est l’État profond. Ce monstre, nourri par des décennies d’habitudes, de privilèges et de compromis, oppose une inertie redoutable à toute volonté de transformation systémique.
Dès lors, la divergence d’approche entre les deux hommes s’explique. Diomaye croit encore possible de contourner le mammouth, de le comprendre pour mieux le dompter, d’utiliser sa force au service du projet de refondation. Sonko quant à lui, fort de son expérience et de sa lucidité politique, sait que la bête ne se laissera pas apprivoiser. Elle ne recule que devant la confrontation, la clarté du combat et la détermination populaire.
Car il n’existe qu’une voie pour changer véritablement le système : affronter le mammouth à visage découvert, sans peur ni calcul. Mais pour livrer cette bataille, il faut rassembler la majorité du peuple dans toutes ses catégories, civils, militaires, magistrats, hauts fonctionnaires, citoyen lambda, dans un même élan de sursaut national.
C’est tout le sens du grand rassemblement du 8 novembre : faire entendre la voix de la majorité silencieuse, réveiller la conscience collective et rappeler que le pouvoir du peuple surpasse celui des structures. Le Sénégal ne pourra avancer que lorsque le mammouth, représentée par une minorité subversive, cédera enfin le passage à la génération du renouveau.
Le lanceur d’alerte
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terail y a 10 heures
un bon mafé kandia a la viande , avec des lakhass, des crabes, du poisson beurre, bien fumant, avec du jus de bissap à la menthe vaut mieux que d'aller ecouter king kong qui ne sera jamais peresidentionnéééééééé
Répondre à tera
Caisses noires ya bonil y a 10 heures
On ne touche pas mon gourou, plus fort dans le délire que Mao, que Tito, que Fidel Castro.. Kim Chonk Roi des bordels et des ânes.oh oui !!......Kim Chonk, Kim Chonk
Répondre à Caisses noires ya bon
Okayil y a 9 heures
La dg Soda Marieme Ndiaye est elle au Sénégal ? Depuis qu on l a nommée on ne l entend plus,
Répondre à Okay
Senegalil y a 9 heures
Lorsque la crise éclatera au sein du Pastef et que la rupture avec Diomaye Faye deviendra inévitable, il sera impératif de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser sans délai des élections législatives anticipées.
Face à la dérive autoritaire et aux impasses créées par Ousmane Sonko, Diomaye Faye devra prendre ses responsabilités en se détachant définitivement du Pastef pour construire une nouvelle majorité nationale, ouverte et responsable.
Le mot d’ordre sera clair : “Tous contre le Pastef”.
Il s’agira de rassembler toutes les forces vives de la Nation — APR, Barthélémy Dias, Khalifa Sall, Bougane Gueye Dany, Idrissa Seck, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum, Pape Djibril Fall, Talla Sylla, ainsi que les mouvements “Sonko dégage”, “Rappel à l’ordre”, et tous ceux qui refusent de voir le Sénégal sombrer.
Cette large coalition patriotique devra se lever pour mettre fin aux dérives de Sonko, à sa gouvernance conflictuelle et à son projet politique dangereux pour la stabilité du pays.
Ensemble, il s’agira de restaurer l’ordre républicain, de rétablir la confiance et de remettre le Sénégal sur la voie du progrès, de l’unité et de la responsabilité nationale.
Répondre à Senegal
Senegalil y a 9 heures
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Lorsque la crise éclatera au sein du Pastef et que la rupture avec Diomaye Faye deviendra inévitable, il sera impératif de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser sans délai des élections législatives anticipées.
Face à la dérive autoritaire et aux impasses créées par Ousmane Sonko, Diomaye Faye devra prendre ses responsabilités en se détachant définitivement du Pastef pour construire une nouvelle majorité nationale, ouverte et responsable.
Le mot d’ordre sera clair : “Tous contre le Pastef”.
Il s’agira de rassembler toutes les forces vives de la Nation — APR, Barthélémy Dias, Khalifa Sall, Bougane Gueye Dany, Idrissa Seck, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum, Pape Djibril Fall, Talla Sylla, ainsi que les mouvements “Sonko dégage”, “Rappel à l’ordre”, et tous ceux qui refusent de voir le Sénégal sombrer.
Cette large coalition patriotique devra se lever pour mettre fin aux dérives de Sonko, à sa gouvernance conflictuelle et à son projet politique dangereux pour la stabilité du pays.
Ensemble, il s’agira de restaurer l’ordre républicain, de rétablir la confiance et de remettre le Sénégal sur la voie du progrès, de l’unité et de la responsabilité nationale.
Répondre à Senegal
Sirouil y a 7 heures
A vous entendre le premier ministre Monsieur Sonko n´a plus aucun droit, pas le droit d´être malade, pas le droit de réunir ses militants, pas le droit de voyager même plus le droit de rire ou de choisir sa tenue vestimentaire. Vous devenez peu à peu ridicules sans vous en rendre compte "Togue mouye dokh, Teude mouye naawe gassi" c´est fini pour les auteurs de telles articles, allez travailler. Je prie le bon Dieu pour qu´il lui permette d´accomplir sa mission pour qu´on puisse enfin atteindre notre souveranité après 60 ans d´indépendance. Wa Salam
Commentaires (7)
Sonko mooy Diomaye, Diomaye mooy Sonko. Cette vérité n’est pas qu’un slogan de campagne, mais une équation politique et stratégique que nul ne peut ignorer. Ensemble, ils incarnent une continuité d’idéal, une fraternité d’engagement forgée dans la même épreuve : celle de la lutte contre un système verrouillé depuis plus d’un demi-siècle.
Si Ousmane Sonko, Président de PASTEF les patriotes a choisi Bassirou Diomaye Faye pour porter le flambeau présidentiel lors de son empêchement, c’est parce qu’il a reconnu en lui la rigueur, la loyauté et la clarté de vision nécessaires pour poursuivre le combat. Mais depuis qu’il tient les rênes de l’État, Diomaye découvre de l’intérieur l’ampleur du mammouth, cette machine administrative tentaculaire et pesante qu’est l’État profond. Ce monstre, nourri par des décennies d’habitudes, de privilèges et de compromis, oppose une inertie redoutable à toute volonté de transformation systémique.
Dès lors, la divergence d’approche entre les deux hommes s’explique. Diomaye croit encore possible de contourner le mammouth, de le comprendre pour mieux le dompter, d’utiliser sa force au service du projet de refondation. Sonko quant à lui, fort de son expérience et de sa lucidité politique, sait que la bête ne se laissera pas apprivoiser. Elle ne recule que devant la confrontation, la clarté du combat et la détermination populaire.
Car il n’existe qu’une voie pour changer véritablement le système : affronter le mammouth à visage découvert, sans peur ni calcul. Mais pour livrer cette bataille, il faut rassembler la majorité du peuple dans toutes ses catégories, civils, militaires, magistrats, hauts fonctionnaires, citoyen lambda, dans un même élan de sursaut national.
C’est tout le sens du grand rassemblement du 8 novembre : faire entendre la voix de la majorité silencieuse, réveiller la conscience collective et rappeler que le pouvoir du peuple surpasse celui des structures. Le Sénégal ne pourra avancer que lorsque le mammouth, représentée par une minorité subversive, cédera enfin le passage à la génération du renouveau.
Le lanceur d’alerte
un bon mafé kandia a la viande , avec des lakhass, des crabes, du poisson beurre, bien fumant, avec du jus de bissap à la menthe vaut mieux que d'aller ecouter king kong qui ne sera jamais peresidentionnéééééééé
On ne touche pas mon gourou, plus fort dans le délire que Mao, que Tito, que Fidel Castro.. Kim Chonk Roi des bordels et des ânes.oh oui !!......Kim Chonk, Kim Chonk
La dg Soda Marieme Ndiaye est elle au Sénégal ? Depuis qu on l a nommée on ne l entend plus,
Lorsque la crise éclatera au sein du Pastef et que la rupture avec Diomaye Faye deviendra inévitable, il sera impératif de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser sans délai des élections législatives anticipées.
Face à la dérive autoritaire et aux impasses créées par Ousmane Sonko, Diomaye Faye devra prendre ses responsabilités en se détachant définitivement du Pastef pour construire une nouvelle majorité nationale, ouverte et responsable.
Le mot d’ordre sera clair : “Tous contre le Pastef”.
Il s’agira de rassembler toutes les forces vives de la Nation — APR, Barthélémy Dias, Khalifa Sall, Bougane Gueye Dany, Idrissa Seck, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum, Pape Djibril Fall, Talla Sylla, ainsi que les mouvements “Sonko dégage”, “Rappel à l’ordre”, et tous ceux qui refusent de voir le Sénégal sombrer.
Cette large coalition patriotique devra se lever pour mettre fin aux dérives de Sonko, à sa gouvernance conflictuelle et à son projet politique dangereux pour la stabilité du pays.
Ensemble, il s’agira de restaurer l’ordre républicain, de rétablir la confiance et de remettre le Sénégal sur la voie du progrès, de l’unité et de la responsabilité nationale.
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Lorsque la crise éclatera au sein du Pastef et que la rupture avec Diomaye Faye deviendra inévitable, il sera impératif de dissoudre l’Assemblée nationale et d’organiser sans délai des élections législatives anticipées.
Face à la dérive autoritaire et aux impasses créées par Ousmane Sonko, Diomaye Faye devra prendre ses responsabilités en se détachant définitivement du Pastef pour construire une nouvelle majorité nationale, ouverte et responsable.
Le mot d’ordre sera clair : “Tous contre le Pastef”.
Il s’agira de rassembler toutes les forces vives de la Nation — APR, Barthélémy Dias, Khalifa Sall, Bougane Gueye Dany, Idrissa Seck, Thierno Alassane Sall, Thierno Bocoum, Pape Djibril Fall, Talla Sylla, ainsi que les mouvements “Sonko dégage”, “Rappel à l’ordre”, et tous ceux qui refusent de voir le Sénégal sombrer.
Cette large coalition patriotique devra se lever pour mettre fin aux dérives de Sonko, à sa gouvernance conflictuelle et à son projet politique dangereux pour la stabilité du pays.
Ensemble, il s’agira de restaurer l’ordre républicain, de rétablir la confiance et de remettre le Sénégal sur la voie du progrès, de l’unité et de la responsabilité nationale.
A vous entendre le premier ministre Monsieur Sonko n´a plus aucun droit, pas le droit d´être malade, pas le droit de réunir ses militants, pas le droit de voyager même plus le droit de rire ou de choisir sa tenue vestimentaire. Vous devenez peu à peu ridicules sans vous en rendre compte "Togue mouye dokh, Teude mouye naawe gassi" c´est fini pour les auteurs de telles articles, allez travailler. Je prie le bon Dieu pour qu´il lui permette d´accomplir sa mission pour qu´on puisse enfin atteindre notre souveranité après 60 ans d´indépendance. Wa Salam
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