Le politologue Mustapha Sehimi estime que, depuis 2011, les gouvernements successifs menés par le Parti de la justice et du développement n’ont « pas été à la hauteur ».
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Le politologue Mustapha Sehimi estime que, depuis 2011, les gouvernements successifs menés par le Parti de la justice et du développement n’ont « pas été à la hauteur ».
Le Maroc vote mercredi pour renouveler les 395 sièges de députés de la Chambre des représentants et plus de 31 000 élus locaux
Pour profiter d’un marché légal en pleine expansion et améliorer le revenu des cultivateurs, le gouvernement veut légaliser l’usage thérapeutique et industriel du chanvre...
L'Europe, un « marché cible » pour Rabat
Ex-ministre délégué au Budget, député-maire de Fès, président du groupe parlementaire du parti et tout récemment porté à la tête de son Conseil national… L’étoile de Driss El Azami El Idrissi est à son firmament. Qui est-il ? D’où vient-il ?
A deux semaines de leur congrès national, les islamistes ont refusé ce dimanche d'amender leurs statuts pour permettre à Benkirane de rempiler une troisième fois. Une reconduction qui aurait pu menacer l'unité du PJD, selon ses détracteurs.
Durement touché par les sanctions royales, l’ex-Parti communiste a décidé malgré tout de rester dans la coalition gouvernementale.
Khalid El Bouakri, secrétaire général du mouvement de la Jeunesse du Parti de la justice et du développement (PJD), est en première ligne pour faire face aux dilemmes que confrontent le PJD.
Décidée à la hâte, l’interview accordée par le chef du gouvernement marocain aux télévisions publiques ce samedi 1er juillet n’a visiblement pas convaincu le grand public.
Après un long silence, le président de la région la plus agitée du Maroc a répondu aux questions de Jeune Afrique au sujet des protestations qui secouent sa ville.
Les Juifs de Fès ne sont plus qu'une petite centaine. Aujourd'hui, ils essaient avant tout de restaurer leur patrimoine. Reportage.
Saadeddine El Othmani a fait des appels du pied aux principaux syndicats du pays, lesquels, encore traumatisés par la méthode Benkirane, apprécient. Cette embellie semble pourtant bien fragile.
Après une semaine de débats, le Parlement marocain doit voter ce mercredi le programme du gouvernement de Saadeddine El Othmani. Tirant les leçons des concessions qu'il a dû faire dans les négociations gouvernementales, le PJD s'oriente vers un soutien mitigé.
Le chef du gouvernement marocain réunit ce mercredi les 38 membres de son équipe pour finaliser sa déclaration de politique générale. Il est attendu l'après-midi même au Parlement pour le vote d'investiture.
L'ancien chef de gouvernement était en "incompatibilité" avec sa fonction parlementaire. Maintenant qu'il n'est plus député, il va pouvoir se consacrer à une autre mission : resserrer les rangs de son parti après la douche froide du gouvernement.
La composition du nouveau gouvernement marocain nommé ce mercredi n'a pas de quoi surprendre. Mais à le regarder de plus près, il permet de comprendre bien des choses sur les relations entre le Palais et le monde politique. Six, très exactement.
Au Maroc, après plus de 5 mois d'impasse, la formation d'un nouveau gouvernement est en bonne voie. Les négociations entamées, le 21 mars, par le nouveau Premier ministre, Saad Eddine el Othmani, ont abouti à l'annonce, samedi 26 mars, d'une coalition de six partis autour du parti de la justice et du développement (PJD). Le parti islamiste a remporté, sous la houlette de l'ancien Premier ministre, Abdelilah Benkirane, les législatives d'octobre dernier, mais sans majorité absolue, d'où le recours à une coalition gouvernementale.
Numéro 2 du Parti de la Lampe, respecté par tous, El Othmani a été choisi pour succéder à Abdelilah Benkirane et devenir le nouveau chef de gouvernement. Mais, qui est-il vraiment ? La réponse en cinq points.
Le Roi Mohammed VI a désigné M. Saâd-Eddine El Othmani, membre de la direction et président du Conseil national du Parti Justice et Développement (PJD), Chef de gouvernement.
Le roi du Maroc Mohammed VI va désigner au plus vite un nouveau Premier ministre pour remplacer Abdelilah Benkirane, qui n'est pas parvenu à former un gouvernement après cinq mois de négociations, a annoncé mercredi soir le cabinet royal.