Le roi du Maroc Mohamed IV se trouvait lui aussi sur la liste des cibles potentielles du logiciel Pegasus, révèle ce mardi 20 juillet Radio France.
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Le roi du Maroc Mohamed IV se trouvait lui aussi sur la liste des cibles potentielles du logiciel Pegasus, révèle ce mardi 20 juillet Radio France.
Le roi Mohammed VI a chargé cinq hauts commis de l’État de coordonner la stratégie de lutte contre la pandémie du Covid-19
Le 14 octobre dernier, les autorités marocaines ont procédé à l'arrestation de onze personnes suspectées de préparer plusieurs attaques terroristes au Maroc.
De hauts responsables de la police marocaine ont été démis de leurs fonctions ou seront traduits en conseil de discipline après de "graves dysfonctionnements" et des "manquements professionnels", a-t-on appris jeudi de source officielle.
Le dernier rapport du Département d’Etat sur la situation des droits de l’Homme au Maroc se démarque par sa “négligence déconcertante” à l’égard du Royaume, “une monarchie constitutionnelle et un modèle régional en matière de réformes, chose rare dans cette partie du monde en proie à l’instabilité et aux doutes”, écrit jeudi Forbes Magazine, dans une analyse, qui pointe du doigt une politique étrangère US marquée par “l’ignorance et l’arrogance”.
L'attribution la semaine dernière de la Légion d'honneur, la plus haute distinction française, au prince héritier d'Arabie Saoudite a plongé l'exécutif français dans l'embarras, la publication de courriels diplomatiques par un magazine donnant l'impression que Paris s'est plié sans hésiter à une demande de Ryad.
La visite du roi du Maroc Mohammed VI, lundi à l'Élysée, a mis un terme à un an de brouille diplomatique entre Paris et Rabat. L'occasion pour les deux pays de renforcer leur coopération dans la lutte contre le terrorisme.
Lors de la marche républicaine à Paris, le Maroc n'a finalement pas été représenté dans le cortège des chefs d'État en raison de "la présence de caricatures blasphématoires". Dans le pays, le débat est vif entre #jesuischarlie et #jenesuispascharlie.
Le ministre des Affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar, n’a finalement pas pris part à la marche contre le terrorisme dimanche à Paris en raison de la présence de caricatures blasphématoires du prophète dans le défilé, selon un communiqué officiel diffusé par l’ambassade marocaine.
Le gouvernement marocain a annoncé jeudi la suspension des accords de coopération judiciaire conclus avec la France, après une série d'incidents diplomatiques.Des plaintes déposées à Paris contre Abdellatif Hammouchi, le patron du renseignement marocain, accusé de complicité de torture, et des propos blessants pour le Maroc prêtés à un ambassadeur français ont jeté un froid entre Paris et Rabat.
Un vent glacial souffle actuellement sur les relations entre Paris et le Maroc. Habituellement paisibles, ces dernières ont été entachées cette semaine par une affaire diplomatique qui mêle justice et géopolitique. Tout a commencé par la démarche d'une ONG française, Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (Acat), qui a saisi jeudi l'opportunité de la présence en France du patron du contre-espionnage marocain pour demander à la justice française d'auditionner ce responsable, qu'elle accuse de «complicité de torture».