Née à Dakar, au Sénégal, Diarra Bousso s’établit à l’âge de 16 ans en Norvège puis aux USA à 18 ans. Avec un diplôme en Économie, elle entame une carrière à Wall Street avant de réaliser que son intérêt réside dans le monde artistique. Elle crée alors sa plateforme de vente en ligne www.dakarboutique.comen même temps que ses deux marques MINT et db.
Diarra, également photographe et bloggeuse surwww.revesdores.com est invitée aux principaux évènements de mode. Elle a récemment couvert plus de 15 shows pendant la Fashion Week à New York (BCBG, Herve Leger, Louise Amstrup, Misha Nonoo et bien d’autres).
Dans la conception de ses collections été 2013, Diarra Bousso n’a cessé d’explorer le sens du mot “Lost”, la sensation d’être perdu, abandonné, mais toujours dans le style.
Après avoir conté à ses convives l’histoire de “African Voyage” sur Internet, la créatrice les a invités à éveiller leurs sens à l’occasion d’un voyage surprise. Son désir profond était de leur faire ressentir cette sensation d’être perdu et ses effets démultiplicateurs sur la créativité.
De nombreuses personnalités y ont participé, parmi lesquelles Lissa Thiam (« Un café avec »), Bouba Ndour (« Backstage »), Omar Viktor Diop (photographe de mode) ou encore Ngoné Ndour.
Son succès n'ayant pas de frontières dans l'univers digital, Diarra Bousso se veut présente et très active sur instagram ainsi que sur les stores d'apple (AppleStore) et d'android (AndroidStore). db est également sur Facebook et Twitter.
African Voyage : Un voyage mystérieux en 4 escales
Le samedi 15 juin à 15h, une centaine d’invités triés sur le volet, s’est rendue sur le lieu d’un rendez-vous secret à Dakar pour assister au spectacle de mode “African Voyage”. L’adresse n’avait été communiquée que la veille et le programme n’avait pas été révélé.
Etape Une : Le tapis rouge et la maison db
Ces “happy few” ont alors été escortés sur un tapis rouge d’une centaine de mètres jusqu’à la “Maison db”. Les invités ont ensuite savouré des cocktails personnalisés (“Red Camel”, “Orange MINT suit”, “Rêves Dorés” et “Emerald Trends”), autour de la piscine de la luxueuse demeure décorée par la créatrice.
Suite à la réception, un authentique griot a conté aux invités l’histoire de l’ “African Voyage”, dans laquelle la Princesse Fatima (la muse actuelle de db) se retrouve perdue dans diverses régions d’Afrique et s’abandonne à sa passion de la mode pour oublier sa solitude. À la manière d’un ballet, des mannequins ont alors défilé de façon dramatique pour appuyer le récit du conteur tout en arborant, la première partie de la collection MINT.
Etape Deux : Les voitures de luxe
Dès la fin du défilé, les convives ont été invités à rejoindre le convoi db composé de dix voitures de luxe (parmi lesquelles des Porsche, des Range Rover et des Escalades) vers une destination inconnue. Excitation, peur, choc et surprise étaient alors les sensations recherchées par la créatrice pour ses hôtes.
Etape Trois : Les bateaux db
Arrivés sur la plage de Ngor, ces derniers furent accueillis par des agents costumés, les guidant jusqu’à des bateaux db, vers un nouveau lieu inconnu. Il s’agissait de “l’Esprit des Lieux”, une magnifique villa rouge sur une plage semi-privatisée de l’Ile de Ngor. Le propriétaire, l’artiste Abdoulaye Diallo, y expose ses œuvres d’art.
Etape Quatre : L’esprit des lieux sur l’île de Ngor
C’est alors qu’une fête electro-tribale a débuté, avec DJ niché sur une terrasse de la demeure accompagné de musiciens traditionnels battant le djembé. Les invités eurent la surprise d’assister au second défilé MINT : un shooting photo en direct de mannequins en maillot de bain, positionnés sur des rochers dans la mer. Un troisième défilé MINT se déroula un peu plus tard sur la plage, les modèles sortant les uns après les autres de la maison-musée, dans des tenues d’été d’inspiration tribale. La présentation de la marque MINT s’acheva ainsi clôturée en début de soirée pour laisser la place au grand temps fort du spectacle : la présentation de la collection db. Mais afin de bien différencier MINT et db, les mises en scènes avaient évidemment été pensées indépendamment...
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