Le chef du groupe jihadiste Etat islamique, tué samedi dans le nord-ouest de la Syrie, a déclenché une ceinture d'explosifs lors de l'opération des services secrets turcs, ont rapporté lundi les médias officiels turcs.
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Le chef du groupe jihadiste Etat islamique, tué samedi dans le nord-ouest de la Syrie, a déclenché une ceinture d'explosifs lors de l'opération des services secrets turcs, ont rapporté lundi les médias officiels turcs.
Le "chef présumé" du groupe jihadiste Etat islamique (EI) a été "neutralisé" samedi en Syrie lors d'une opération conduite par les services de renseignement turcs, a affirmé dimanche le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Dans les ruines d’un immeuble de Jandairis, une localité de Syrie durement touchée par le séisme de lundi, les secouristes ont découvert un bébé vivant, né sous les décombres et encore relié par le cordon ombilical à sa mère décédée...
Les autorités turques ont accusé lundi le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) d’être responsable de l’attentat qui a fait au moins six morts et des dizaines de blessés dimanche dans l’artère commerçante d’Istiklal à Istanbul ...
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Un attentat au camion-citerne piégé fait 20 morts en Syrie
Un attentat à la voiture piégée, revendiqué par le groupe Etat islamique (EI), a tué 20 personnes dans l'est de la Syrie aujourd'hui, près d'une base de l'alliance arabo-kurde qui tente d'évacuer les derniers civils piégés dans l'ultime réduit du "califat".
Emmanuel Macron a de nouveau demandé vendredi au président russe Vladimir Poutine de faire pression sur Damas pour faire cesser "l'escalade militaire" en Syrie, afin de protéger les civils et reprendre les négociations, a indiqué l'Elysée.
La France ne prévoit pas de nouvelle opération militaire dans le nord de la Syrie, en dehors de la coalition internationale, contre le groupe Etat islamique (EI), a indiqué vendredi la présidence. Cette précision intervient au lendemain de déclarations de responsables kurdes selon lesquels, après avoir été reçus par le président Emmanuel Macron, Paris allait envoyer "de nouvelles troupes" dans le nord de la Syrie.
Le ton est monté vendredi entre l'Union européenne et la Turquie, à trois jours d'un sommet entre les deux voisins programmé lundi à Varna (Bulgarie). Dans la nuit de jeudi à vendredi, les Vingt-Huit réunis en Conseil à Bruxelles ont "condamné fermement la poursuite des actions illégales de la Turquie en Méditerranée orientale et en mer Égée" et souligné leur solidarité avec Chypre et la Grèce. Des incidents ont eu lieu récemment en mer sur fond de contentieux territoriaux anciens avec les Chypriotes-grecs et la Grèce.
Les forces syriennes libres, aidées de l'armée turque, ont pris, dimanche 18 mars 2018, le contrôle du centre-ville d'Afrine. Cette ville du nord-ouest de la Syrie faisait l'objet, depuis près de deux mois, d'une offensive de la Turquie.
L'ambassade de Turquie à Copenhague a été visée par des jets de cocktails Molotov lundi matin, ont annoncé les autorités, ajoutant que l'incident avait causé des dommages mineurs sur le bâtiment, sans faire de victimes. Les auteurs - au moins quatre selon la police - se sont enfuis quand une patrouille de police est arrivée sur les lieux, a indiqué un haut responsable de la police de Copenhague. "Pour le moment, nous n'avons (arrêté) aucun suspect", a précisé Peter Dahl.
Les forces turques n'ont pas l'intention de rester dans la ville d'Afrine, dans le nord-ouest de la Syrie, dont elles ont délogé dimanche une milice kurde, a affirmé lundi le porte-parole du gouvernement turc. "Ce que nous disons est très clair. Nous ne sommes pas là-bas pour rester, et absolument pas pour occuper", a déclaré le vice-Premier ministre Bekir Bozdag, sans toutefois avancer de calendrier pour le retrait des forces qui y sont déployées et ont hissé le drapeau turc.
Quelque 2000 personnes, selon la Préfecture de police, ont défilé sous la neige samedi après-midi à Paris lors d’une « marche des solidarités » pour dénoncer les violences policières, les discriminations et la politique migratoire du gouvernement qui incarnent selon elles un « racisme d’État ».
Au moins 18 civils, dont cinq enfants, ont été tués vendredi dans des tirs d'artillerie des forces turques sur la ville d'Afrine, dans l'enclave kurde du nord-ouest syrien, cible d'une offensive d'Ankara, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). "Il y a des combats à la périphérie nord de la ville", a précisé l'OSDH, alors que l'offensive turque, menée depuis le 20 janvier avec des rebelles syriens, vise à chasser de la région d'Afrine la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG) qu'Ankara qualifie de "terroriste".
Les combats se poursuivaient en Syrie, notamment dans l'enclave assiégée de la Ghouta orientale et autour d'Afrine, dans la région frontalière de la Turquie, marquant l'entrée du pays jeudi dans sa huitième année de conflit. Déclenché le 15 mars 2011 avec la répression par le régime de manifestations prodémocratie, le conflit en Syrie a fait plus de 350.000 morts et s'est complexifié au fil des ans avec l'implication de puissances étrangères.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan espère que le bastion kurde syrien d'Afrine sera "totalement encerclé" d'ici mercredi soir, a indiqué une source présidentielle, clarifiant des propos du chef de l'Etat espérant la chute de cette ville. M. Erdogan, qui avait déclaré mercredi "j'espère, si Dieu le veut, qu'Afrine sera complètement tombé d'ici ce soir", a en fait voulu dire qu'il espérait que "l'encerclement (d'Afrine) serait totalement achevé d'ici ce (mercredi) soir", a indiqué la source présidentielle dans un message adressé aux médias.
Les autorités turques ont renforcé lundi les mesures de sécurité à Ankara et procédé à un coup de filet contre des militants présumés du groupe Etat islamique (EI), au lendemain d'une "alerte de sécurité" américaine, selon les médias. Douze personnes ont été arrêtées lundi et des mandats d'arrêt ont été émis pour huit autres dans le cadre d'une enquête visant l'EI, a rapporté l'agence étatique Anadolu.
La Turquie a déployé des unités des forces spéciales de la police dans le nord-ouest de la Syrie en prévision d'affrontements urbains contre la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG), a annoncé lundi le gouvernement. "Le déploiement des forces spéciales se fait dans le cadre de préparatifs pour la nouvelle bataille qui approche", a déclaré le porte-parole du gouvernement turc Bekir Bozdag sur la chaîne d'information NTV.
Le président français Emmanuel Macron a déclaré lundi à son homologue turc Recep Tayyip Erdogan que la trêve en Syrie devait aussi être mise en oeuvre à Afrine, la région du nord du pays où la Turquie mène une offensive contre les Kurdes. Dans un appel téléphonique avec le président turc, M. Macron a "souligné que la trêve humanitaire s'appliquait à l'ensemble du territoire syrien, y compris à Afrine, et devait être mise en oeuvre partout et par tous sans délai", a indiqué la présidence française dans un communiqué.