La Sénégambia est une large avenue d'un kilomètre, ceinturée par des restaurants aux enseignes lumineuses et aguicheuses. Selon L'Observateur qui lui consacre un dossier ce week-end, Sénégambia est en haut de l'affiche, pour ceux qui veulent festoyer et se donner du bon temps en Gambie. Un haut lieu donc du sexe et de trafic de drogue en tout genre.Et à en croire nos confrères, le plus hard du bordel sexuel se trouve dans les hôtels et motels miteux de Westfield, Serekunda et Banjul."À longueur de journée, le marché du sexe carbure à volonté.
Des chambres de passe abordables, de la discrétion garantie, car le plus souvent, ces motels sont nombreux à l'intérieur des quartiers et donnent un large éventail de choix. Et là où le bât blesse, parfois de filles jeunes (ou fillettes tombent sans le vouloir: ndlr) sur ces jeunes hommes et femmes qui entrent et sortent, la plupart des motels étant des propriétés familiales.
Et c'est comme si l'Etat gambien ne faisait rien pour contrôler les établissements hôteliers qui nuisent considérablement au tourisme de ce pays", note le quotidien.« Ces propriétaires de motel versent des montants faramineux à l'État gambien, ce n'est pas dans l'intérêt des autorités de fermer ces établissements qui ne remplissent aucune condition d'un point de vue sécuritaire et des commodités de séjour », regrette un professionnel du tourisme.
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