Des confidences poignantes de Gouy-Gui, dans la livraison du jour du quotidien L'Observateur : « C’est le souvenir le plus amer de ma vie. Un vieux, dont je vais taire le nom, ne pouvant plus me supporter chez lui, m’avait accusé de vol, en 2003, pour se débarrasser de moi.
« Il a pris sa montre et l’a mise dans mon sac. Il a alors demandé aux pensionnaires de la maison de la chercher dans mon sac. Et malheureusement pour moi, ils l’y ont trouvée.
« J’ai failli me suicider ce jour-là, en plongeant dans la fosse sceptique.
« Après sa mort, je me suis rendu à Thiénaba. Devant sa tombe, j’ai prié Dieu de nous juger, car l’accusation m’a tellement fait mal et je ne cesserai de le dire à chaque fois que l’occasion se présentera », confie le lutteur Gouy-Gui, tristement.
Commentaires (0)
Participer à la Discussion