Le coordonnateur départemental du parti démocratique(Pds) sénégalais a initié, dimanche, une caravane de prospection dans les quartiers touchés par les inondations.
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Le coordonnateur départemental du parti démocratique(Pds) sénégalais a initié, dimanche, une caravane de prospection dans les quartiers touchés par les inondations.
En réponse à la présumée " apologie de la transhumance " à laquelle s’est livrée le Président Macky SALL dans sa dernière sortie médiatique, Ahmet FALL Braya a présenté samedi un groupe de jeunes proches de Mbaye NDIAYE (Pikine 2) et qui ont décidé de tourner le dos à ce leader.
Ameth Fall Braya sonne la mobilisation pour la libération de Karim Wade, incarcéré à la prison de Rebeuss et condamné à une peine de 6 ans ferme et à 138 milliards d'amende par la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei). “Je lance un appel à tous les libéraux.
Ameth Fall Braya, responsable du Parti démocratique sénégalais (Pds) et candidat malheureux aux élections locales de Saint-Louis, pense que Macky Sall doit changer de fusil d'épaule dans ses rapports avec le Président Abdoulaye Wade. “Le Sénégal ne mérite pas de vivre des situations qui peuvent compromettre sa stabilité politique et sociale. Les bailleurs de fonds n'investissent que dans les pays stables. Il est de la responsabilité du chef de l'Etat, qui dit avoir de l'affection pour Wade, de prouver ce sentiment par les actes. Il dit qu'il a de l'affection pour Wade, c'est pourquoi il ne s'est pas prononcé. Qu'il traduise en acte cette affection”, dit-il dans un entretien avec “L'Observateur”.
Les prolongations du match des élections locales du 29 juin entre Mansour FAYE et Ahmed Fall Baraya sont terminées. En effet, la Cour suprême vient de confirmer le beau-frère du président de la République à la tête de l'équipe municipale de Saint Louis. Ainsi, elle déclare irrecevable le recours d'Ahmed Fall Baraya qui voulait briguer le fauteuil de maire de cette ville. La Cours suprême confirme par la même occasion la position de la Cour d'Appel de Saint Louis.
Le coordonnateur de l'APR à Saint-Louis, Mansour FAYE, a invité Alioune Badara Cissé à mettre fin à ses tournées internationales et revenir dans l’animation politique de ce parti à Saint-Louis.
Le Pds, usé, vieilli et fatigué par le pouvoir est un «meurtrier» politique. Le maintien de Wade à la tête du parti souligne a contrario la faiblesse du leadership libéral qui veut se tourner vers l’avenir pour tenter de conjurer la déroute de leur aventure. Pour les «rebelles», les Législatives seront une sacrée paire de manches comme le confirment leurs performances électorales de ces dernières années. Au fond, ils se sont toujours réfugiés sous le parapluie…électoral de Wade qui aimantait la sympathie des Sénégalais lors des rendez-vous électoraux.
Pour un Parti démocratique Sénégalais qui ne veut pas mourir et surtout rester dans l’opposition, la qusetion du N°2 se pose. Une autre équation se pose aussi et qui est celle de savoir si Wade va rester le N°1 pour surveiller, lui, qui d’après des sources, veut se lancer dans la course des législatives. Les noms d’Ousmane Ngom et ceux d’Ousmane Masseck sont évoqués pour occuper ce poste, même si Ahmeth Fall Braya, lui a émis le voeu de voir Idrissa Seck proposé. Mais une position que les partisans d’Ousmane Masseck Ndiaye, par la voix du secrétaire général de la fédération départementale de Saint- Louis, n’entendent pas de cette oreille puisqu’ils brandissent l’argument de la "loyauté" et de la "constance" et qui fait de lui, un potentiel candidat pour conduire les législatives.
Malgré la scission, l’Unacois a tenu samedi dernier son assemblée générale ordinaire. Et c’est l’opérateur économique Idy Thiam qui a été réélu pour un mandat de 4 ans. Occasion saisie par le Ministre de la Famille Aïda Mbodj pour réitérer le soutient et l’engagement de l’Etat en faveur du nouvel élu.
Les libéraux Ahmed Fall Braya et Malick Sylla risquent de s'affronter au tribunal. Le second reproche au premier de l’avoir escroqué et d’avoir abusé de sa confiance, mais aussi de voie de faits.Une vive altercation a opposé, avant-hier, aux environs de 15 heures, Ahmed Fall Braya, président de l’une des tendances de l’Unacois, au Secrétaire général adjoint du Pds aux Etats-Unis, Malick Sylla. Les faits se sont passés au niveau de Castors où le député libéral tient des magasins de location. Restés longtemps sans entrer en contact, les deux hommes se sont rencontrés, samedi, pour s'expliquer sur les lenteurs dans la livraison des magasins que Sylla avait pris en location auprès de Braya. Il s'ensuivit un échange de propos aigre-doux. Car Malick Sylla n'a pas aimé que les magasins loués, un an plus tôt, soient occupés par d'autres personnes. Ceci, alors qu'il aurait déboursé une somme de 825 000 F en guise de caution. N'eussent été les témoins de la scène qui sont intervenus, selon nos sources, le pire pouvait arriver. Car le député Ahmed Fall Braya, pas content de l'attitude de son frère de parti, était prêt à en découdre avec lui à tout prix. Mais, d’après les témoins, c’est le sang-froid du responsable libéral de New York qui a permis d'éviter l'irréparable. N'empêche, la chemise de Malick Sylla s'est retrouvée en lambeaux. Après la bagarre, Malick Sylla s’est rendu à la brigade de gendarmerie de Hann pour déposer une plainte contre Ahmed Fall Braya pour voie de faits, escroquerie et abus de confiance, mais aussi menaces de mort. Une plainte à laquelle il entend joindre, dès ce lundi, un certificat médical.
Gorgui va-t-il enfin faire revenir au bercail les militaires Sénégalais envoyé au Darfour ? On se souvient qu’à la suite de l’assassinat de soldats Sénégalais par les troupes rebelles, le Sénégal, à travers le ministère des Affaires étrangères, avait menacé de retirer ses troupes si jamais l’Union africaine (Ua) ne faisait pas quelque chose. La tempête passée, l’affaire n’avait pas connu de suite. Cette fois-ci, ce sont des civils sénégalais qui ont payé de leur sang. Selon nos informations, deux civils sénégalais figurent sur la liste macabre des 30 autres tués lors des échanges de tirs entre les rebelles et les forces armées soudanaises à Khartoum, dans la banlieue d’Omburman.
Voilà deux agresseurs qui croyaient qu’ils pouvaient continuer à semer la terreur impunément. Mais qui ont trouvé plus coriaces qu’eux sur leur chemin. Semant la terreur à la Gueule-Tapée, ils violentaient et dépouillaient toute personne esseulée qui avait la malchance de roder dans les lieux où ils ont l’habitude de se terrer. Des filles, des dames, de jeunes noctambules et des hommes sans défense… ils sont nombreux à avoir rencontré ce duo d’agresseurs sur leur chemin. Agresseurs qui étaient toujours armées de machettes et de poignards et qui n’hésitaient pas une seule seconde à en user. Qu’une victime se blesse ou passe de vie à trépas leur importe peu. L’essentiel est qu’ils puissent emporter le butin qu’ils convoitent. Point barre.
C’est un vieux dossier qui se réveille. Vous vous souvenez sans doute du stade Assane Diouf, sis à Rebeuss. En effet, l’Etat voulait céder le site à des privés Pakistanais avant que les choses ne s’emballent. Plus précisément, les populations de Rebeuss avaient rué dans les brancards, créant un mouvement comme pas possible. Eh bien, après s’être fait oublier, l’Etat revient à la charge ! Eh oui, selon nos radars et antennes, un projet a été ficelé pour, officiellement, construire sur le site du stade, qui sera déclassé pour utilité publique, un centre hospitalier pour enfants. Nos radars renseignent d’ailleurs que Gorgui a commencé par envoyer un de ses hommes de l’ombre à Rebeuss pour calmer les «décideurs».