L'émigration irrégulière peut aujourd'hui être classée au rang de l'esclavage, du génocide et de l'apartheid qui ont marqué les histoires les plus dramatiques du passé de l'Afrique.
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L'émigration irrégulière peut aujourd'hui être classée au rang de l'esclavage, du génocide et de l'apartheid qui ont marqué les histoires les plus dramatiques du passé de l'Afrique.
Après près de neuf ans de tâtonnement, l’aveu d’échec est cuisant.
Les ex-travailleurs des agences dissoutes (Fnpj, Anej, Anama et Ajeb) présentent leurs doléances à la veille de la fête du travail du 1er mai.
Le chanteur nigérian Kiss Daniel a lancé un appel à témoin pour retrouver un fan qui lui a rendu sa chaîne incrustée de diamants d'une valeur de 39 mille dollars mardi soir.
Un collectif d’ex-agents des agences (Anej, Ajeb, Anama et Fnpj) dissoutes ont encore fait une sortie médiatique menaçant d’entamer une grève de la faim réclamant soit un paiement de leurs droits soit une réinsertion. Cette énième agitation appelle les précisions suivantes :
Les bailleurs de fonds ont posé de nouvelles exigences aux conséquences sociales désastreuses à l’Etat. Après l’affaire des heures supplémentaires et des indemnités de correction des épreuves de philosophie, l’on s’achemine lentement mais sûrement vers la suppression d’autres agences, après l'Anej, Ajeb et Anama, avertit Grand-Place.
Il a fêté son anniversaire dans une salle comble appelée le " Titan Club" Bour guéwel, a été nominé à deux reprises,"le sénégalais le plus apprécié de Paris."Au cœur de la capitale Parisienne, plus précisément dans le 18ème arrondissement, il tient un restaurant sénégalais et propose une ambiance purement "afro branchée"Il est devenu le restaurateur préféré des artistes sénégalais qui se produisent en concert à Paris. Aussi a t-il démontré par la foule qu’il a drainée au Titan le jour de son anniversaire, qu'il est beaucoup aimé par ses fans, et certains n’hésitent pas à l'appeler "la star de Paris... "
Les ex agents des agences dissoutes, Anama, Fnpj, Ajeb et Anej, au nombre de 227 dont seulement 27 ont été recasés, sont toujours dans l’expectative d’un redéploiement à l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes (Anpej).
Le liquidateur a fini son travail et tous les arriérés de salaire de même que les droits légaux ont été payés aux ex-travailleurs des agences dissoutes, selon le ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne.
D’anciens employés des agences publiques dissoutes par le gouvernement du Sénégal ont fait part de leur volonté de saisir le Bureau international du travail (BIT) si, d’ici au 3 septembre prochain, l’Etat ne leur paie pas 10 mois d’arriérés de salaires.
Les 227 agents licenciés de l’Ang, Ajeb, Fnpj, Aanama ont lancé à l’Etat un ultimatum qui expire le 3 septembre prochain. En conférence de presse hier au siège de la Cnts (Confédération nationale des travailleurs du Sénégal), ils sont prêts, entre autres options, à ouvrir une procédure judiciaire contre le gouvernement au niveau du Tribunal du travail.
Les travailleurs déflatés de l'Agence nationale pour l'emploi des jeunes (Anej), du Fonds national de promotion des jeunes (Fnpj), de l'Agence pour l'emploi des jeunes des banlieues (Ajeb) et de l'Agence nationale d'appui aux marchands ambulants (Anama) ont décidé d’accélérer la cadence à leur manière.
Le ministre du Travail, Mansour Sy, qui a annoncé 60 mille emplois en 2013 n’emballe pas le Président Macky Sall dans son élan euphorique. Dans son adresse à la Nation du 3 avril, c’est un Macky Sall encore préoccupé par la question de l’emploi des jeunes, qui a égrené un certain nombre de recrutements et de programmes en ce sens.
Les anciens travailleurs des agences pour l’emploi des jeunes, notamment l’Agence pour l’emploi des jeunes des banlieues du Sénégal (Ajeb), l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej), le Fonds national de promotion de la jeunesse (Fnpj) et l’Agence nationale d’appui aux marchands ambulants (Anama), qui ont perdu leur emploi depuis la suppression de leurs structures, au mois de janvier dernier, se sont affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts).
Suite à la dissolution des structures en charge de l’emploi des jeunes, notamment le Fonds national de promotion pour la jeunesse (Fnpj), l’Agence nationale de l’emploi des jeunes(Anej), l’Agence pour l’emploi des jeunes de la banlieue(Ajeb) et l’Agence nationale d’appui aux marchands ambulants (Anama), 227 jeunes agents de ces structures alertent le chef de l’État sur la perte de leur emploi.
L’Etat ne recule pas. Malgré les menaces des ex-agents du Fonds National de Promotion de la Jeunesse (FNPJ), de l’Agence Nationale pour l’Emploi des Jeunes (ANEJ), de l’Agence Nationale d’Appui aux Marchands Ambulants et l’Agence pour l’Emploi des Jeunes de la Banlieue (AJEB), le gouvernement passe à la vitesse supérieure. Après leur suppression annoncée, place à la liquidation.
Les agents du FNPJ/ANEJ se mobilisent pour préserver leurs emplois
« Je ne marche pas sous les coups de la pression », c’est la réaction du ministre de la Jeunesse et de la Promotion des Valeurs Civiques, Benoît Sambou aux ex travailleurs de l’ANAMA, FNPJ, ANEJ, AJEB qui ont improvisé une marche pour réclamer des arrières de salaire et leur déploiement dans des structures étatiques.Le ministre de la Jeunesse et de la Promotion des Valeurs Civiques Benoît Sambou a, par ailleurs, rassuré les ex travailleurs des Agences de l’emploi des jeunes qu’ils seront les prioritaires dans le recrutement de la nouvelle agence de l’Emploi des jeunes.
Mouvement d'humeur ANEJ, FNPJ et AJEP : les forces de l'ordre mettent fin à la grève
Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des valeurs civiques, Benoît Sambou, a annoncé, vendredi à Dakar, ''la réinsertion'' des employés des ex-agences de l'emploi des jeunes dans les nouveaux projets et programmes du gouvernement.