Au Mali, chaque entrée dans Bamako de camions-citernes escortés par l'armée est désormais un exploit, conséquence d'un blocus jihadiste en cours depuis un mois sur le carburant importé des pays voisins et dont la pénurie commence à perturber fortement ce pays sahélien enclavé.
Des frappes aériennes menées lundi par l’armée nigérienne contre des jihadistes dans l’ouest du pays ont causé la mort de dizaines de civils, selon des sources locales vendredi 26 septembre.
Niger: 22 villageois tués par des hommes armés dans l'ouest
Burkina: une cinquantaine de civils tués dans des attaques jihadistes depuis mai, selon HRW
Six chauffeurs sénégalais ont été enlevés hier par des éléments présumés du JNIM, la branche sahélienne d’Al-Qaïda
Mali: des jihadistes prennent le contrôle d'une localité stratégique
Des civils ont fui la ville malienne de Farabougou après une attaque jihadiste cette semaine contre une position de l'armée dans cette partie du centre du pays...
Le 20 novembre 2024, la Cour pénale internationale (CPI) a condamné Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud à une peine de 10 ans d’emprisonnement pour sa participation à des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis entre mai 2012 et janvier 2013 à Tombouctou, une ville historique du nord du Mali. Ancien membre du groupe Ansar Dine, qui avait rallié Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Al Hassan a joué un rôle central dans l’occupation de la ville par les groupes armés islamistes, qui avaient instauré une répression violente contre la population civile.
Les forces armées américaines ont affirmé dimanche avoir tué 37 "terroristes", dont des membres de Hourras al-Din, groupe lié à l'EI et Al-Qaïda, dans deux frappes distinctes en Syrie, selon un communiqué du Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom).
Les forces armées américaines ont affirmé dimanche avoir tué 37 "terroristes", dont des membres de Hourras al-Din, groupe lié à l'EI et Al-Qaïda, dans deux frappes distinctes en Syrie, selon un communiqué du Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom).
Les jihadistes affiliés à Al-Qaïda ont revendiqué mardi une double attaque contre l'aéroport militaire et un camp de gendarmerie à Bamako. Ce que l'on sait de cette opération sans précédent depuis des années dans la capitale malienne.
Les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), affiliés à Al-Qaïda, ont revendiqué une attaque audacieuse et inédite depuis des années mardi dans la capitale malienne Bamako, où les combats continuent près de l'aéroport.
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), affilié aux jihadistes d'Al-Qaïda, a publié une courte vidéo vendredi dans laquelle apparaissent deux hommes présentés comme "deux otages russes" qui disent avoir été enlevés à Mbanga, dans le sud-ouest du Niger.
Les autorités pakistanaises ont déclaré vendredi avoir arrêté un "proche associé" du défunt Oussama Ben Laden, fondateur d'Al-Qaïda.
Human Rights Watch a accusé mercredi un groupe jihadiste lié à Al-Qaïda et une milice communautaire d'avoir tué au moins 45 civils lors de deux évènements distincts en janvier dans le centre du Mali.
Al-Qaïda a diffusé des images des funérailles de Khalid Batarfi, le corps enveloppé dans un drapeau portant le nom de l'organisation djihadiste, selon le centre américain de surveillance des sites islamistes SITE.
L’organisation terroriste a appelé les musulmans à commettre “des attentats sanglants” pour soutenir le Hamas et la Palestine.
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), alliance jihadiste affiliée à Al-Qaïda, a revendiqué la prise vendredi d'un camp de l'armée malienne dans la région de Tombouctou (nord), et a assuré avoir infligé de lourdes pertes à l'adversaire.
Dix jours après l’annonce du décès du préfet de Gourma-Rharous (Mali), Drissa Sanogo, enlevé il y a trois ans (le 2 mai 2020), le groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (Jnim - organisation terroriste en lien avec Al-Qaïda) vient de se rétracter.
L'armée malienne a rapporté l'attaque de deux de ses postes dans le nord et l'ouest du pays, les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM) affilié à Al-Qaïda revendiquant la prise temporaire de l'un d'eux.
