Paternité du sigle ‘’APTE’’ : Alternative Pour Thiès Émergent met en garde Pastef
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Paternité du sigle ‘’APTE’’ : Alternative Pour Thiès Émergent met en garde Pastef
Babacar Ndiaye est analyste politique et gouvernance, directeur de la recherche du think tank WATHI.
Cartographie d'une Renaissance - Territoire, Ressources et Ambitions durables
L’opposition va-t-elle le contraindre à la cohabitation ?
Moustapha Diop, s’est rendu auprès de la Nouvelle société textile Sénégalaise de Thiès (Nsts).
Enda pronat croit en l’agriculture familiale. Face à l’implantation continue des agrobusiness dans de vastes périmètres arables , cet Ong déroule un projet de recherche pour déterminer l’apport des exploitations familiales à la sécurité alimentaire du pays, histoire de disposer d’arguments scientifiques à faire valoir face à la promotion de l’agro-industrie de plus en plus portée par les Etats.
Les acteurs du tourisme sénégalais se sont réunis lors de la publication de l’agenda touristique de cette année pour arriver au même constat : la filière est en souffrance. Jadis mamelle importante de l’économie sénégalaise, le tourisme paie cash les erreurs répétées d’un pilotage à vue. Les dix années passées n’ont pas été les plus reluisantes pour cette filière. Malgré une cascade de circonstances défavorables et une gestion approximative, acteurs et autorités veulent insuffler un souffle nouveau à une activité sur les rotules.
Nul n’osait penser que la désinvolture d’un homme pouvait atteindre des proportions insoupçonnées allant jusqu’à empiéter sur les limites jusque-là infranchissables du bouclier constitutionnel conçu pour parer à toutes formes de perversion démocratique.
Opposant farouche de Macky Sall, Idrissa Seck continue de brasser large afin de faire mouche d’ici à 2017. Sen24heures a appris de bonnes sources que l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck a rencontré ce mercredi Moubaracl Lo, néo-opposant du président Macky Sall.
Le retour de Wade et l’entrée en scène de Idrissa Seck décochant des flèches assassines contre le pouvoir, semblent avoir redonné un peu plus de vigueur à l’opposition. Et relancer et réhabiliter la scène politique moribonde. Cette montée en puissance des forces de l’opposition va-t-elle relancer ce débat démocratique monotone et monocorde dans lequell a coalition Benno Bokk Yaakaar semble se complaire depuis deux ans ?
Après une absence remarquée de la scène politique, Alassane Dialy Ndiaye revient au-devant de l’actualité politique à la faveur de la proximité de l’élection présidentielle du 25 février 2007. Candidat presque déclaré à la succession d’Abdoulaye Wade, l’ancien ministre socialiste se veut un homme de ruptures et de renouveau pour un pays qu’il juge en danger et qu’il veut remettre à niveau, en partant désormais des qualités des Sénégalais, non de leurs défauts. Cet ingénieur télécoms né le 15 octobre 1942 à Yène dans le département de Rufisque, père de deux enfants, s’émeut de la banalité des détournements de deniers publics au Sénégal, s’indigne de la transhumance politique devenue une valeur et propose de nouvelles attitudes pour un Sénégal émergent
C'est comme s'ils s'étaient passé le mot. Après le secrétaire général de la Ld/Mpt, c’est au tour de celui du Parti de l’indépendance et du travail de brocarder Abdoulaye Wade et son gouvernement. C’était, avant-hier, dimanche, à Paris, à l’occasion de la fête de l’Humanité, le quotidien des communistes français. Devant un public mélangé de Sénégalais, de Français et d’Africains, qui dégustaient en même temps le plat national (Tiebou dieune), en vente dans le stand du Pit, Amath Dansoko accusé le président de la République de reprendre la guerre en Casamance pour avoir un prétexte de repousser les élections législatives et présidentielle couplées du 25 février 2007. Pour lui, il est clair que c’est le chef de l’Etat, depuis qu’il était dans l’opposition, qui embrouillait et continue d’embrouiller la crise casamançaise. Au moment où une partie du public buvait du thé à la sénégalaise, le secrétaire général du Pit annonce que le programme de la Cpa sera finalisé le 15 novembre prochain. Il a souligné que son parti est aussi favorable à une candidature unique de la Cpa, prenant ainsi le contrepied de son ami Abdoulaye Bathily qui soutenait, vingt-quatre heures plus tôt, la pluralité des candidatures.
Que le président de la République ait démenti la rumeur selon laquelle il n'y aurait pas de second tour à la présidentielle importe peu, pour Jean-Paul Dias. La raison est simple : la parole de Wade n'a aucune valeur, selon le premier secrétaire du Bcg qui, dans la seconde partie de l'entretien qu'il nous a accordé à Paris, est revenu aussi sur la situation politique et sociale délétère ainsi que le départ par vagues, à bord d'embarcations de fortune, de jeunes sénégalais à la recherche de l'Eldorado du côté des Iles Canaries. Wal Fadjri : Plus l'élection présidentielle se rapproche, plus les rumeurs se multiplient. Ainsi de celle portant suppression du second tour, avant qu'une autre n'avance un second tour avec quatre candidats. Le président de la République a démenti. Etes-vous rassuré ?
Amadou Moctar Bâ est né à Kaolack et a grandi à Vélingara, dans le département de Kolda où il a fait ses études primaires. Après le bac, il obtient une maîtrise en sciences économiques à l’université de Dakar. Il a ensuite entamé une riche carrière dans le monde des finances et des banques. Pendant longtemps, il a été le fondé de pouvoir d’une grande banque de la place. Depuis six mois, il est à la tête de la Sn/Hlm.