Les phases nationales des navetanes de l'ONCAV (Organisation nationale de coordination des activités de vacances) se tiendront à Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, du 16 au 31 août 2025.
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Les phases nationales des navetanes de l'ONCAV (Organisation nationale de coordination des activités de vacances) se tiendront à Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, du 16 au 31 août 2025.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Hier, le Pôle urbain de Diamniadio a fait l’objet d’un bilan d’étape, lors de la première édition des « Rencontres professionnelles de la Bhs». Conseil du délégué général, Mbaye Dieng a soutenu que le Pôle urbain de Diamniadio constitue une rupture par rapport aux modèles urbains conçus dans notre pays. Selon M. Dieng, il allie mixité urbaine, zone résidentielle et logements sociaux.
La société Marylis BTP, appartenant à l’ancien ministre ivoirien Adama Bictogo, proche du Président de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, a décroché le marché de construction de l’université Amadou Mokhtar Mbow de Diamniadio.
Le secrétaire général du Ps, Ousmane Tanor Dieng, est formel. Le Président Macky Sall « ne peut pas ne pas tenir compte de l’avis du Conseil Constitutionnel », relativement à la saisine de celle-ci sur la réduction du mandat présidentiel.
Meissa Diouf a dit qu’Idrissa Seck ferait mieux de respecter les Thiessois au lieu de se constituer en donneur de leçon. Ce dernier avait déclaré que, « le président Macky Sall avait promis aux Sénégalais l’émergence mais aujourd’hui tout le monde constate que c’est le contraire qui se produit tout en critiquant également l’Acte 3 de la décentralisation ».
Ce 3 avril 2015, le président de la République, Macky Sall, va encore faire une adresse à la nation. Il va encore promettre des choses. Et pourtant, les promesses qu'il avait faites au lendemain de sa prise de pouvoir en 2012 tardent encore à se concrétiser : retour définitif de la paix en Casamance, réduction du chômage, emploi des jeunes, réduction du mandat présidentiel, couverture maladie universelle, baisse des denrées de premières nécessité…Après trois ans de pouvoir, que sont devenus ses engagements pris lors du traditionnel discours à la nation, veille de la fête de l’Indépendance. Retour sur ses messages économiques, politiques et sociaux du 3 avril 2012, le lendemain de sa prestation de serment.
« Le Président de la République est en train de violer le pacte électoral avec le secteur privé national. […] La mise en œuvre du PSE […] un patriotisme économique de façade ! »
Analysant le débat suscité par le dépôt du rapport de la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), accompagné d’une proposition d’avant-projet de nouvelle Constitution pour le Sénégal, Serigne Mansour Sy Djamil déclare totalement être en phase avec le doyen Mbow et son équipe. Il déclare sans détour que « Le Président de la République doit faire fi des positions partisanes et tonitruantes venant surtout de son propre entourage ».Et, de l’avis de M. Sy et de ses camarades de Bës Du Ñakk, « Cet avant-projet de Constitution mérite d’être diffusé et discuté avec les partis politiques, la Société civile et surtout les populations sénégalaises, que la Cnri, de manière inclusive, avait d’ailleurs largement impliquées par des consultations citoyennes tout au long de l’élaboration de ce gouvernement stratégique pour l’avenir de notre pays ».
Le porte-parole du Parti socialiste est sorti de sa réserve pour dénoncer les nombreuses attaques à l’endroit de la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), dirigée par Amadou Makhtar Mbow.
Prévue le 31 décembre 2013, le dépôt des conclusions de la Commission nationale de Réforme des Institutions (Cnri) n’a toujours pas eu lieu. Mais qu’à cela ne tienne, le président Amadou Moctar Mbow et son équipe continuent de se réunir, à leur siège du Point E, comme c’était le cas hier.
Le patron du Bloc des centristes-Gaïndé (Bcg) de Jean-Paul Dias n’est pas d’accord avec la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri) qui veut exiger désormais l’exclusivité de la nationalité sénégalaise aux candidats à la présidence de la République. «L’exclusivité de la nationalité sénégalaise exigée du candidat à la présidence de la République révèle une véritable hypocrisie pour un pays comme le Sénégal. Le premier et le troisième président de la République étaient au moins binationaux. Des indices très clairs permettent aussi de soutenir que le second était binational.
L’ancien ministre, Djibo Kâ, en veut au président Amadou Mokhtar Mbow et à la Commission de Réforme des Institutions qu’il dirige. Invité de l’émission Opinion sur Walf TV ce dimanche, le patron de l’Union pour le Renouveau démocratique (Urd) a dénoncé « la façon cavalière » dont son parti a été associé à cette initiative. « On n’a pas reçu de courrier d’invitation au niveau des partis qui ont pourtant des sièges bien connus », dénonce M. Kâ.
Le président de la Commission nationale de réforme des institutions (CNRI), Amadou Mahtar Mbow, a présenté les membres cette structure, jeudi à Dakar, au cours d'une conférence de presse.
Depuis quelques temps, Karim Wade est violemment critiqué par ses frères de parti. Même le porte-parole du parti, Babacar Gaye n’a pas positivement apprécié la visite que ce dernier à effectuer chez son adversaire politique Alioune Sow. Cette polémique démontre que certains libéraux n’arrivent jusqu’à présent pas à cerner la personnalité de Karim Wade. Le fils de Wade a des défauts irritants qu’il traîne depuis qu’il est devenu un homme public. C’est parce que nous l’adorons tous, que nous lui donnons gratuitement ces conseils en public.
Sud Quotidien se demande si, disparition du Sénat de l'armature institutionnelle au motif de mobiliser des fonds pour lutter contre les inondations ne cachait-t-elle pas des zones d'ombre et autres insuffisances dans la vision de Macky Sall de réformer en profondeur les institutions de la République? Contrairement au président sortant Abdoulaye Wade qui était passé, par un référendum en 2001, pour entamer sa refondation de l'Etat (durée et limitation du mandat présidentiel, suppression du Sénat de Diouf…). En nommant Amadou Makhtar Mbow, le Président des Assises nationales, à la tête d'une commission chargée de revoir et de consolider les institutions de manière durable, le Chef de l'Etat est en passe de redresser la barre, selon bien des observateurs de la scène politique. Histoire d'éviter… le pilotage à vue dans les réformes institutionnelles et démocratiques.
Même à la retraite, le doyen Amadou Makhtar Mbow, initiateur des Assises nationales, ne chôme pas. Le président Macky Sall vient de donner du travail à l’ancien Secrétaire Général de l’Unesco. Le chef de l’Etat a annoncé, ce vendredi lors de la cérémonie sur les institutions, la nomination d’Amadou Makhtar Mbow, comme président d’une commission en charge des institutions de la République. Une commission dont les réflexions seront tirées des conclusions des Assises Nationales. « J’ai mis en place une commission présidée par le président Amadou Makhtar Mbow qui est chargée de revoir les institutions de la République et de nous proposer à la fin de ce processus de concertation les réformes constitutionnelles qui devront stabiliser de manière durable la constitution sénégalaise », a déclaré Macky Sall sur les ondes de la Rfm. Ainsi, poursuit le président de la République, « il s’agira de partir de réflexions tirées des conclusions des assises nationales, mais il s’agit aussi d’impliquer l’opposition politique et la majorité, la société civile dans cette réflexion prospective. L’enjeu est dans tous les cas, d’élargir et de renforcer le régime des libertés collectives et individuelles, de dresser des remparts contre les injustices et de rendre aux citoyens la plénitude de leur droit », renseigne-t-il.
Attendu par une escouade de jeunes libéraux, renforcés par des nervis, sur la route menant au domicile de Amadou Makhtar Mbow, Macky Sall, le futur adversaire du président sortant, Abdoulaye Wade, a pu accéder sans trop de soucis à destination.
Le Sénégal se prépare à des élections présidentielles. Le premier tour du scrutin est prévu pour le 26 février prochain. A quelques semaines de l’examen de sa candidature par le Conseil constitutionnel puis de l’ouverture de la campagne électorale, le président sénégalais, Abdoulaye Wade, qui brigue un troisième mandat, a reçu Laurent Correau de RFI et Marc Perelman de France 24.
Comme je posais la question dans ma dernière contribution : « ….Niasse et Tanor feront-ils honneur ou honte à nos attentes ? », malheureusement, la réponse est négative, c’est plutôt la honte qui a été servie. Elle a produit une large déception au sein des simples citoyens non militants du PS et de l’AFP. C’est une grave responsabilité que les deux endossent par-là, devant l’histoire et le peuple sénégalais, au cas où, le candidat de l’unité et du rassemblement n’aurait pas lieu dans les conditions prévues et souhaitées par les Assises nationales. Ils porteront aussi l’entière responsabilité de l’éventuelle défaite de Benno, ce qui équivaudrait au maintien du régime libéral ou la poursuite des souffrances des larges couches de notre pays, avec Wade.