L’intégration de l’avortement avait retardé le vote de la loi sur la Santé de la reproduction. Finalement, cet aspect a été extirpé de la proposition de loi devenue, par la suite, un projet de loi. Mais, aujourd’hui, la révision de ce texte est agitée. Les différents acteurs, qui se prononcent, à cet effet, plaident pour que l’avortement soit autorisé en cas de viol, d’inceste ou de malformation.
« L’Interruption volontaire de grossesse est interdite sauf lorsqu’elle est autorisée par la loi. En aucun cas, elle ne saurait être considérée comme une méthode contraceptive ».
il y a 15 ans
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