L’Alliance Pour la République (APR) célèbre une étape majeure dans son histoire avec la décision 2025-01, signée le 17 mars 2025 par le Président Macky Sall, qui fixe la composition du nouveau Secrétariat Exécutif National (SEN).
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L’Alliance Pour la République (APR) célèbre une étape majeure dans son histoire avec la décision 2025-01, signée le 17 mars 2025 par le Président Macky Sall, qui fixe la composition du nouveau Secrétariat Exécutif National (SEN).
Momar Coumba Diop n’est plus. L’annonce de sa mort, à Paris, a eu lieu dimanche après-midi.
Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 05 juin 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres...
Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 05 juin 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres...
C’est sa mère qui fait la révélation dans un portrait que L’Observateur a consacré à l’un de ses huit enfants, ce lundi.
La « faible » représentation de la gent féminine dans le nouveau gouvernement du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, continue de susciter de vives réactions
La « faible » représentation de la gent féminine dans le nouveau gouvernement du chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, continue de susciter de vives réactions.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Cheikh Momar Faalo Seye, plus connu sous le nom de Serigne Mor Seye
Les urnes ont dicté leur loi. A l’issue de l'élection des 80 membres du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) tenue le 4 septembre dernier, le Conseil constitutionnel a rendu publics les résultats définitifs du scrutin. Dans son délibéré rendu ce jeudi 15 septembre 2016, ladite juridiction estime que sont déclarés définitivement élus : Pour Dakar : Cheikh Guèye, Aïssatou Fall et Babacar Sadikh Seck. Les nommés Moussa Sow, Yacine Ndaw et Mamadou Diouf constituent respectivement leurs suppléants.
La chanteuse, Coumba Gawlo Seck, s'est rendue, hier lundi, journée de visite de Karim Wade, à la prison centrale de Rebeuss pour rendre visite à l'ex-ministre d'Etat, condamné à 6 ans ferme pour enrichissement illicite. Elle est arrivée à la Maison d'arrêt vers 11 heures pour ressortir un peu après 12 heures, informe «La Tribune». Personnes ne sait ce qu'ils se sont dit puisque leur rencontre a été en tête à tête.
Sur décision d'Abdoulaye Wade, le Parti démocratique sénégalais est réorganisé ainsi qu'il suit :
Le procès du responsable de l’Union des Jeunesses Travaillistes et Libérales (UJTL) ouvert hier au tribunal Correctionnel de Dakar, il y avait du monde pour soutenir Bara Gaye, le coordonnateur du parti démocratique sénégalais (PDS), Oumar Sarr, Babacar Gaye, Me El Hadji Amadou Sall dans la défense de Karim Wade dans le cadre de la traque des biens mal acquis qui a fini par arborer sa robe d’avocat pour plaider la causer de son camarade de parti en passant par le président du Groupe parlementaire des libéraux, Modou Diagne Fada qui, pas du tout content de la tournure du dossier du patron de l’UJTL, tonne.
Après la sortie de Coumba Gaye demandant la clémence du chef de l’Etat, Macky Sall, pour Bara Gaye, la présidente de la Commission féminine de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Ujtl), Fatou Thiam, est montée au créneau pour prendre son contrepied. «Coumba Gaye est mal placée pour parler parce que devant ce régime dictatorial, elle n’a pas voulu porter le combat, préférant se réfugier aux Etats-Unis. Elle avait fui le terrain», peste la jeune députée libérale dans l’Obs. «Bara a été arrêté, il n’a qu’à être jugé ou libéré, mais il n’a demandé pardon à personne. Bara a été digne devant ses frères et sœurs de parti. Cette sortie de Coumba Gaye n’engage ni la Commission féminine, ni l’Ujtl nationale, encore moins Bara Gaye. Elle n’engage que son auteur», soutient Fatou Thiam qui rappelle que Bara Gaye assume tous les propos qui lui valent actuellement un séjour carcéral.
Ils ont été adversaires politiques, mais ne sont pas des ennemis. C’est le commentaire qu’inspire la sortie de Coumba Gaye, responsable des jeunes libéraux et ministre sous Wade, qui appelle le président Macky Sall à « faire preuve de clémence pour la libération de notre frère Bara Gaye ». A moins que ce ne soit pour la jeune dame de Rufisque une manière de signer son retour au-devant de la scène, après une longue évanescence. « Nous faisons tous partie de sa famille, qui ne manque pas, par moments, de lui causer des torts. Dans cette situation, seul le pardon l’honore », justifie celle qui, durant les derniers années du régime Wade, s’était illustrée par une opposition radicale à Modou Bara Gaye, pour la conquête de l’Ujtl. L’arbitrage de l’ancien président avait même dû intervenir pour trancher en faveur de l’actuel détenu du Cap Manuel. Coumba Gaye donne l’impression d’avoir tourné cette page, pour appeler à la solidarité. La perte du pouvoir est bien sûr passée par là.
Les rapports d’audit de l’Armp, de la Cour des comptes, de la Centif et de l’Ige pendants au parquet impliquent ministres d’Etat, gardes du corps, Officiers de police judiciaire, directeurs de société…
Lorsque, le 18 décembre 2008, à l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ambassadeur d’Argentine Jorge Arguello, avait lu un «Appel pour la dépénalisation de l’homosexualité» au nom de 66 pays signataires, précédé en cela par une étonnante sortie du directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé, se disant confiant, car : «Les négociations avec le gouvernement sénégalais sont en bonne voie», l’Etat du Sénégal, qui était soupçonné d’en être signataire, s’était empressé, par la voix de son ministre en charge des Droits humains (Coumba Gaye) et de celui en charge des Affaires religieuses (Bamba Ndiaye) de démentir officiellement et formellement une telle information. A la grande satisfaction des 98% de croyants (musulmans comme catholiques) de notre cher pays.
A l’instar de nombreux compatriotes, l’Organisation islamique JAMRA a été scandalisée, à la lecture du « scoop » livré par le quotidien « Le Populaire », dans sa livraison de du jeudi 28 mars 2013, confirmant, strictement, ce que JAMRA n’a de cesse de dénoncer : les manœuvres souterraines de puissants lobbies homosexuels étrangers, s’appuyant sur leurs relais locaux, pour faire « avaler » à l’Etat du Sénégal la nécessité de « s’aligner sur les standards démocratiques internationaux, dans la gestion de la problématique des droits de l’homme », en se fondant sur le principe d’universalité des droits humains, consacrés dans la Déclaration universelle.
Si la Section de Recherche de la Gendarmerie a pu bétonner le dossier d’accusation relatif aux «biens mal acquis» c’est grâce aux nombreuses auditions de proches de Karim Wade. En effet, ils ont été nombreux à défiler devant les enquêteurs de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI).
A l’instar de nombreux compatriotes, l’Organisation islamique JAMRA a été scandalisée, à la lecture du «scoop» livré par le quotidien «Le Populaire», dans sa livraison de ce jeudi 28 mars 2013, confirmant, strictement, ce que JAMRA n’a de cesse de dénoncer : les manœuvres souterraines de puissants lobbies homosexuels étrangers, s’appuyant sur leurs relais locaux, pour faire «avaler» à l’Etat du Sénégal la nécessité de «s’aligner sur les standards démocratiques internationaux, dans la gestion de la problématique des droits de l’homme», en se fondant sur le principe d’universalité des droits humains, consacrés dans la Déclaration universelle.