Une tentative de vol a viré au drame à Touba ! Tout a commencé lorsqu'un voleur s'est introduit vers 4 heures du matin dans un domicile situé au quartier Sam selon des sources de Seneweb.
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Une tentative de vol a viré au drame à Touba ! Tout a commencé lorsqu'un voleur s'est introduit vers 4 heures du matin dans un domicile situé au quartier Sam selon des sources de Seneweb.
Un réseau de prostitution et de proxénétisme à Diamaguène, Léona et Pikine de Saint Louis a été démantelé.
L'année 2020 aura été particulièrement macabre et figurera certainement parmi les années noires de l'histoire du Sénégal.
Durant ses 12 mois, le pays a pleuré nombre de ses valeureux fils.
L’ancien ministre de l’Education nationale du régime libéral venait à peine de souffler sur sa 71e bougie
Les Décès de grandes figures à la Une
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Nafissatou dia Diouf ajoute une nouvelle corde à son arc. Elle vient en effet de publier « Sociobiz, chroniques impertinentes sur l’économie et l’entreprises ».Le lancement de ce livre , qui sera dédicacé le 24 avril prochain « Aux quatre vents », a eu lieu , hier. Chroniqueuses au magazine mensuel du Business « Réussir » et employée dans des entreprises depuis plus de 13 ans, l’écrivain Nafissatou Dia Diouf a tenu à partager, dans un livre , son expérience dans ces deux domaines. «Sociobiz, chroniques impertinentes sur l’économie et l’entreprise » a en effet été lancé, hier, dans un restaurant de Dakar, en présence de sa famille, de Baye Dame Wade, Directeur de « Réussir »,
Pour l’un, cela symbolise une réelle reconversion dans la vie active ; pour les deux autres, c’est la passion qui les a guidés. Mais la majorité des jeunes qui s’adonnent à l’aviculture avoue avoir changé le cours de leur vie avec cette activité. L’élevage des poulets est le nouveau créneau investi par bon nombre de jeunes sénégalais. Phénomène de mode ou créneau porteur, l’aviculture est aujourd’hui investie par plusieurs individus. Surtout les jeunes gens qui ne semblent plus laisser ce secteur au seul « Baye Ganar » (vendeur de poulet) du coin. Aujourd’hui, beaucoup d’entre eux en ont fait leur gagne-pain
Le démenti qu’il a servi au journal Le Populaire pour préciser que la captive dont le fils de Moustapha Niasse dit être sa maman n’aura pas suffi à Sidy Lamine Niasse. De retour d’un voyage au Maroc, il persiste : « Ma maman est Chérif, la captive est la mère de mes demi-frères. » Ça sent la guerre de familles ! Dans cet entretien qu’il nous a accordé, Sidy Lamine Niasse, visiblement affecté par cette déclaration revient sur les relations entre son frère Ahmed Khalifa Niasse et le leader de l’Afp Moustapha Niasse. Il les qualifie de « politiciens opportunistes » qui utilisent toute une famille religieuse pour régler leurs comptes. Non sans avouer qu’il a pitié du « gosse de divorcé que son papa manipule pour attaquer des tierces personnes. »
On insulte et on s’insulte partout au Sénégal, jusque dans la cour des marabouts hal pular. Un privilège laissé aux « almubbé ngay ». Si l’insulte et l’injure peuvent être infamantes et punies par le Code pénal, elles peuvent être tout aussi joyeuses entre amis sincères ou chez les Lawbés. Avec une société en déliquescence, l’insulte et l’injure ont de beaux jours devant elles. La respiration haletante, le visage dégoulinant de sueur, un vendeur de tissus de luxe s’agrippe au collet d’un jeune homme, la bave à la bouche : « guiss naala fi rek, may k...na sa ndèye » (traduction littérale en wolof : je vais b... ta mère si je te revois encore roder dans les parages). Libéré de cette empoignade, le jeune mis en cause, sous les huées d’une foule de badauds, ne demande pas son reste pour prendre la poudre d’escampette.