Un bébé d'un mois de sexe féminin a été égorgé
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Un bébé d'un mois de sexe féminin a été égorgé
Ce dernier se lève brusquement pour aller prendre ses médicaments.
Principal suspect dans l’affaire A. D., du nom de l’enfant de 5 ans retrouvé mort à Sébikotane, Astou Fall est...
C'est l'information qui est donnée par le grand père paternel de l'enfant, Demba Diop, qui raconte que lors de la confrontation entre les membres de la famille devant les limiers, la mère de bébé Adama a déclaré que la mise en cause...
Une rumeur relative à un bébé égorgé, puis enterré à la plage de Cambérène fait le tour des réseaux sociaux.
les combats entre chasseurs traditionnels dozos et jihadistes de la Katiba Macina, membre du Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (Jnim), y ont redoublé de violence...
Un bébé d'un mois de sexe féminin a été égorgé
Ce dernier se lève brusquement pour aller prendre ses médicaments.
Principal suspect dans l’affaire A. D., du nom de l’enfant de 5 ans retrouvé mort à Sébikotane, Astou Fall est...
Une rumeur relative à un bébé égorgé, puis enterré à la plage de Cambérène fait le tour des réseaux sociaux.
Il est 10 heures. Marie Thiaré regagne sa chambre, son bébé dans les bras. Dans l’intimité de la pièce, elle s’empare d’un couteau et tranche la gorge de son enfant. Le quartier de Saly Tapé s’est réveillé dans l’horreur. Une mère de famille a froidement égorgé son bébé d’un an. Le cadavre de l’enfant baignant dans son sang a été retrouvé par l’époux de la dame, informe L’Observateur.
Nous sommes à l’hôpital de Thiaroye. Mouhamadou Guèye, âgé de 44 ans, est alité ce lundi 11 février à 06 heures du matin au service de réanimation. Son état est jugé critique. Les médecins tentent de le sauver, mais cela semble difficile. Il n’est ni diabétique ni cardiaque..., mais victime d’une tentative de meurtre.
Un Mauritanien a égorgé ses quatre enfants hier soir à Nouakchott, en expliquant ensuite à son épouse lui avoir épargné "les soucis" de dépenses à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd el fitr, a appris l'AFP vendredi auprès de ses proches. Le quadruple infanticide a été commis à Arafat, quartier pauvre du sud-est de Nouakchott où vivait la famille de l'homme, un infirmier du secteur public, quadragénaire, qui faisait régulièrement le trajet entre la capitale et son lieu d'affectation en province.
Rarement dans l'histoire évolutive de la grammaire, l'homonymie et la synonymie n'ont aligné autant de symétrie. Le Sénégal, notre cher pays a perdu la voix et la voie. Comme un cerf volant détaché de sa ficelle, la patrie flotte aux quatre vents, soumise aux ambitions contraires, aux boulimies grossières, aux extravagances, à l'outrecuidance et à l'insouciance. On tire à hue et à dia dans les rues de la Sicap Baobab. En Casamance, plus de 25 soldats sont tombés sous des balles rebelles. En un mois d'attaques, de harcèlement et de guet-apens, le système de défense des Diambars a montré ses limites. Sur un autre front, les prix des denrées de première nécessité sautent comme des bombes. Dans le sillage des produits pétroliers, le riz et l'huile viennent porter l'estocade au Goorgoorlu agonisant. Sur le terrain des oppositions partisanes, le Sopi et le M23 surenchérissent. Il y a comme une accélération suicidaire. Les lames de fond touchent mortellement le Sénégal d'en bas. Une mère de famille a été violée et assassinée à Keur Massar. A Tivaouane, un bébé de 15 mois a été égorgé. Devant le spectacle affligeant de notre chute collective, Wade perd la voix. Son parti perd le Nord. Le Sopi a poussé la faute jusqu'à la transgression. Investir un candidat, un vendredi, à l'heure de la prière musulmane ? Il faut être maboul !
La nommée Marième Kane, âgée de quarante ans et souffrant de troubles mentaux depuis plusieurs années, a commis un acte horrible en tranchant la gorge du nouveau-né de sa cousine, avant-hier, avant de se donner la mort, quelques heures plus tard. Le double drame s’est produit à Guia, village situé à sept kilomètres de Podor où les supputations les plus folles continuent d’être véhiculées par les populations de la localité. Marième Kane a, selon les indications recueillies auprès de la brigade de Podor, attendu que sa cousine prenne le chemin des toilettes pour sa douche matinale pour se saisir d’un couteau et égorger le petit El Hadj Oumar Watt, âgé seulement de quinze jours.
Une dame d’une trentaine d’année a usé d’une lame de rasoir pour mettre fin à la vie de son nouveau né. N.F. a tranché la gorge de son enfant avant de le jeter dans un dépôt d’ordure. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 16 au 17 avril dernier au quartier artillerie dans la commune de Louga. Alertés vers 10 heures par une tierce personne, les éléments de la police du commissariat urbain s’étaient rendus sur les lieux. Sur place, ils ont trouvé le cadavre d’une fille dont le cordon ombilical a été coupé de manière anormale. Selon la police, l’enfant né à terme était visiblement vivant d’après le constat effectué.
Le département de Bakel dans la région de Tambacounda a été le théâtre d'un crime odieux qui a plongé tous les habitants dans l'émoi et la consternation totale. Sadio Badji âgée de 25 ans, mariée et mère de 4 enfants n'a trouvé rien de mieux que d'égorger sa fillette âgée de 13 mois avec un couteau. Les faits se sont produits le vendredi 28 octobre dernier aux environs de 9 heures du matin. Tout serait parti de sa maladie après avoir accouché son 4e enfant au village de Yassara situé à quelques encablures de la commune de Bakel. Pour se reposer et avoir une assistance, le mari l'envoie chez ses parents au village de Bordé sans se soucier de rien.